Ce soir.
Ce vendredi 13 décembre 2014, il allais sauter.
Il allais le faire.
Dans cette station de métro, dans une ville a mon goût surpeuplée, un garçon de 17 ans étais devant moi, prêt à sauter, dès l'arrivée de ce putain de métro.
J'étais là. J'attendais pour retourner chez moi.
Il étais à ma droite, je sentais son désespoir. non, je le ressentais, ce garçon venait de plonger dans mon empathie. J'étais réellement entrain de le vivre. Il m'a poignardé. Ce désespoir, cette tristesse à avalée mon cœur au moment où j'ai vue son visage.
Des goûtes salées le brûlais. et les mienne remplissaient mes yeux.
À ce moment j'ai découvert mon hypersensibilité. Celle qui lui à sauvée la vie.
J'ai pris sa main, froide comme la glace. Pendant que lui trouvais la mienne plus chaude que le feu.
Sans lui poser aucune question, j'avais tiré son bras, et je l'ai amené en dehors de cet endroit pollué.
Il ne voulais pas bouger, mais ma force était plus forte que son refus.
Je l'ai tiré plus loin du bord, attendant que le métro arrive, puis on est entrés, sans se parler.
On est allés chez moi
dans mon petit studio, l'air était chaud ce soir la, ça l'avais réconforter.
Dans mon salon, nous nous sommes assis, une question, je lui ait posé.
"Pourquoi ?"
Je savais que la réponse n'allais pas se faire. Je le savais mais j'attendais bêtement qu'il me dise quelque chose.
Ce soir la, je n'ai pas entendu sa voix.
La chaleur de mon studio n'avais pas changée, mais l'ambiance était tellement glaciale.
Je ne savais quoi faire, quoi dire, comment le dire.
Cette nuit la, cet inconnu à dormi sur mon canapé.
J'avais tellement peur qu'il parte que je n'ai pas fermer l'oeil de la nuit.
Le lendemain, à 9 heures, le petit déjeuné était prêt.
J'attendais avec une telle impatience que ce froid inconnu se réveille.
J'avais la ferme intention de le réchauffer.
Il se réveilla, pas longtemps plus tard en sursaut, se demandant où il était.
Je m'était alors doucement approcher de lui, et lui avais dit d'une voix douce qu'il était chez moi, que je n'étais pas un psychopathe mais que je voulais simplement l'aider, parce qu'hier, il allais sauter.
Je lui avais annoncer le petit déjeuner d'un ton qui se voulais joyeux, mais c'étais bien entendu raté.
Il à doucement accepté la nourriture. Une fois qu'il avais fin de manger, je lui ait montré la salle de bain, pour qu'il prenne sa douche, ce qu'il n'avais pas non plus refuser.
Pendant que le sauvé était dans la douche, je me posais milles-et-unes questions.
Je me demandais pourquoi n'avait-il pas refuser mon "aide" ?
Pourquoi accepte t-il le fait de dormir chez moi ?
Pourquoi ne montre t-il aucun refus ?
Il à sûrement vraiment besoin de moi...
Je voulais tout savoir.
Sorti de sa douche, je l'ai invité à aller nous asseoir dans le "salon". (juste un canapé en face d'une télé)
Il avais l'air si froid, si abattu, si usé.
Alors je me suis simplement approché de lui, et lui ait fait un câlin.
Je l'ai serré dans mes bras, puis je l'ai relâché.
À ce moment, j'avais mal au coeur, il faut dire qu'avoir un inconnu dépressif qui, le jour précédent voulais se jeter sur la ligne de métro, c'étais pas très joyeux.
Je voulais connaître cette histoire, toute l'histoire
Alors je lui avais demander.
Et Yoongi, c'est plutôt un joli prénom.
534 mots omg j'ai réussi :)
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Empathy
FanfictionQuand l'empathie combat en vain. « Je n'ai pas décidé de ma vie, nais-je donc pas le droit de décider de ma mort non plus? » { Parce que l'amour est la seule chose qui transcende le temps et l'espace.} - Interstellar