Journal intime

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La pluie n'avais pas cesser depuis plusieurs jours, le groupe d'amies était réuni devant un feu de cheminer. Des bouteilles d'alcools en tout genre était poser sur la table. Chacun d'eux avait le visage fermer, grave. C'était aujourd'hui qu'il avait enterrer une des leurs. Aucuns d'eux ne parlait pour dire quoi? Ils était tous triste et ne comprenait pas ce qui c'était passer, ils ne comprenait pas ce qu'ils avait manquer.

Floriane entrepris de servir ces amies, elle commença par les filles, Lou, Sophie, Anna, Marie et ensuite elle enchaîna sur ces amis, elle ne leurs demanda même pas ce qu'ils voulais, depuis des années qu'elle l'ai fréquentait, elle savait tout. Ensuite elle se servi et retourna s'installer près de Deen. Celui-ci passa son bras autour de ces épaules et la rapprocha de lui. Ils se regardait tous dans les yeux. Le silence régnait entre eux, alors qu'avant les blagues aurait fuser, des rires, des cris. Mais ce soir ce n'était pas le cas. Cette nuit allais être longue, vraiment longue. Après quelques second de silence, Idriss souffla bruyamment.

- Qui veut commencer? Demanda-t-il enfin.

Personnes ne répondis.

- Je vais le faire, fini-t-il par dire.

Entre ces mains, il tenait un petit cahier violet, sa couleur préféré pensa-t-il. Il ouvrit le cahier et souffla une nouvelle fois.

" 1 er  janvier 2017

Bon, je trouve ça ridicule mais mon psy me la conseiller, enfin bref, je m'appelle Maëlle, j'ai 25 ans, je suis célibataire, je n'ai pas d'animaux. J'avais pourtant une vue parfaite, une famille que j'aimais et qui m'aimais, des amies formidable a qui je ne cachait rien... Ce n'ai que la second séance chez le psy et j'en ai déjà marre, mais Deen m'a forcer à y aller, il m'y emmène pour être sûr que j'y vais. A vrai amour ce Burbi.

Mais je le déteste, il me force a parler d'eux, a parler de ce que je ressent... mais j'y arrive pas, même avec mes amies je ne peux pas alors que je l'ai connais depuis de nombreuse années. Même écrire est compliquer pour moi, je trouve ça ridicule. Je ne suis pas dû genre a raconter ma vie, mes soucis, mes problèmes. Mais le psy m'a dit que sa me ferait du bien... je ne vois pas en quoi... vraiment pas...

Mais faut l'avouer que je ne vais pas bien... que depuis un mois ces la descente aux enfer... enfin je n'ai plus d'appétit, je n'ai plus envie de rire, de sortir, même avec les gars c'est compliquer... Je n'arrive plus a être moi-même et je crois que Framal s'en ai rendu compte. Je l'aime beaucoup ce mec, je me sens bien avec lui. Il me fait rire avec des conneries. Je sais que je ment très mal, il lis en moi comme dans un livre ouvert...

Mais dire a haute voix que mes parents et mon frères sont morts à cause de moi est difficile..."

Idriss ferme le cahier violet et regarde autours de lui, aucuns de ces amies ne parle... Sa gorge est sèche et il a même du mal à avaler sa salive. Il attrape son verre et le bois cul sec. Il passe ensuite le cahier à sa voisine Floriane. Il savait que si elle était là, elle serai assise près de lui, a se moquer de ces cheveux trop long et de sa barbe mal tailler, il lui aurai sans doute dit de la fermer et l'aurai chatouiller. Elle aurai rie au éclats et pour terminer, il l'aurai pris dans ces bras et l'aurai serrer fort contre lui... Maëlle lui a briser le cœur et aux autre aussi...