/// Réponses aux questions /// Vous m'excuserez, mais étant donné qu'il y en a énormément, je suis obligée de pas trop... m'étaler sur le sujet, et de regrouper certaines questions.
1. Comment je choisi les médias et prénoms :
Pinterest est mon très grand ami. Je trouve beaucoup, beaucoup d'inspiration sur ce site que j'adore et que je vénère, ainsi que de nombreuses photos qui m'aident à mieux visualiser ce que je fais. On y trouve notamment des listes de prénoms qui m'ont été très utiles. Sinon, souvent quand j'entends un prénom qui me plaît je le note, ou je demande à mes proches, surtout à mon frère, que je sollicite beaucoup.
2. Où je trouve l'inspiration et mes idées :
Bonne question. Les idées me viennent assez naturellement, mais j'avoue avoir deux trois tactiques pour être plus inspirée :
- Je regarde une masse de bande-annonce, toutes catégories confondues.
- Je lis des tonnes de citations d'auteurs pour y trouver des idées, des symboles, ou la façon d'exprimer telle ou telle chose.
- Je regarde de nombreuses photos d'artistes, de portraitistes (surtout sur Instagram), ce qui développe vraiment l'imagination. Par exemple quand je vois un portrait d'une fille dont la beauté, la manière de s'habiller, la pose, le regard ou encore le sourire m'interpelle, j'invente directement sa personnalité, son histoire. A chaque photo, je fais comme si je découvrais une nouvelle personne.
- Je m'inspire de mon quotidien. De mes amies, de mes proches, de mes cours et des attitudes et comportements qu'on les personnes autour de moi. Je visualise beaucoup de scénario, et m'applique à cerner les personnalités des personnes que je côtoie. J'essaye de voir toujours le meilleur dans chacune d'elle, et de comprendre d'où viennent leurs défauts. De quelle douleur provient ce rejet ? De quel manque découle cet égoïsme ?
- Je me fais des films à partir de musique, quel que soit le genre. J'invente des histoire, des passages de mon livre, à partir de musique. Ça me stimule au plus haut point.
Pour Expérience 21 et pour créer un livre, généralement, je définis tout ce que je veux mettre dedans. Dans ce cas précis, je me suis dis : je veux de l'action, je veux des armes, je veux une intrigue. Je veux que mon héroïne ne soit pas seule et qu'elle possède une équipe, avec laquelle elle se battra. Se battre contre quoi ? Je voulais une bataille forcée, dans laquelle elles auraient été immergées sans réelle préparation. Guerre ou sélection forcée ? Sélection forcée, c'est mieux. Sélection pour quoi ? Et si c'était l'intrigue ? Ok. Maintenant, quel rapport va-t-elle entretenir avec le garçon du livre ? Et si je les opposais, ce serait plus intéressant ! Je vais les faire s'affronter pour des épreuves. C'est l'idéal. Maintenant, il faut quelque chose qui les rassemble. La dimension psychologique que je voulais, c'est la réflexion sur la douleur, et comment elle impacte les vies, les personnes... On va faire en sorte qu'ils aient tout deux souffert pour intégrer ce projet au bouquin. Etc, etc...
Voilà un exemple de comment fonctionne mon cerveau. C'est comme ça que, progressivement, tout ce met en place.
3. La façon dont j'imagine les tortures :
Les méduses, c'est issu d'un reportage animalier. Les menottes... Je ne sais pas réellement, comme je l'ai expliqué précédemment, je vois ce que je veux faire, et ensuite j'adapte. Elle doit être attachée ? Ok. Par quoi ? Menottes ? Ok, mais d'où va venir la pression ? De l'extérieur ? Et pourquoi pas des menottes elles-mêmes ? Comment faire ? Par le biais d'électricité ? Voilà comment je raisonne.
4. Où je trouve mes répliques :
Ahhhhhh... Alors ça... C'est naturel. Malheureusement, beaucoup plus à l'écrit qu'à l'oral, à mon grand désespoir.

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Expérience 21
Science FictionPeut-être que la force est pour vous une notion abstraite. Que vous contemplez chez le sexe opposé. Que vous admirez chez vos semblables. Mais pour moi, la force est un concept clé. Le seul qui m'ait permis de survivre, jusqu'à présent. Sans cet obj...