D A N G E R O U S L Y A T T R A C T

C H A P I T R E ~ 36

E L L E

Cela fait une semaine que l'incinération de Sky est passé et comment vous dire que j'ai eu mal à en crever, mais pourtant je n'ai versée aucunes larmes, n'est prononcer aucuns mots. Je suis rester devant cet immense four, seule, le regard dans le vide, à penser à rien.

De retour chez James je me suis habillée directement en sport et est couru une bonne heures et demie sans m'arrêter, je ne sais pas d'où viens cette endurance, probablement de ma colère mélanger à ma tristesse, mais or de question qu'elles me bouffe.

Sky fait peut-être plus partie de ce monde désormais mais moi je suis là pour vivre, pour elle.
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Nous sommes déjà mardi et je viens de finir ma course et comme d'habitude la sueur me coule dessus comme si je venait de prendre une douche.

J'attend l'arrivée d'Antoine, je sais qu'il va pas tarder, suffit de voir la panique de James chaque fois que quelqu'un frappe à sa porte alors que ce n'est que la vieille voisine qui viens se plaindre de la musique trop forte que je met quand je cours, ou encore son agitation dès qu'il entend un bruit suspect.

Il s'en veut toujours et je lui en veut toujours, mais d'une certaine manière il m'aide à aller de l'avant, je ne sais pas encore ce que deviendra cette certaine relation qu'on a, et plus précisément, je sais pas si je reveux la relation qu'on avait.

Je finis par me relever et sort de la pièce pour aller dans la salle de bain.
La douche finie, je sors prendre un short en coton ample ainsi qu'un tee-shirt de James que je rétrécis à l'aide d'un noeud.

Quand je descend, une bonne odeur de cookie me viens de la cuisine, quand j'y monte je le retrouve torse nu avec son jogging tombant sur ses hanches me laissant apercevoir son V superbement bien dessiné, ce qui me fait mordre la lèvre.

Il est tout simplement...Magnifique même si il a un saladier dans le bras droit ou de l'autre il mélange son contenue tout en lisant un livre de recette et grimaçant.

-Le fameux grand James Henderson qui cuisine ! Qui l'aurait cru?

Le saladier glisse de son bras par son sursaut mais j'arrive attend pour le rattraper tout en rigolant, quand je me relève je le vois me regarder avec un sourire alors que mon rire se calme.

-Quoi?

-Rien, t'es belle c'est tout.

Je roule des yeux tout en essayant de cacher mon sourire, il se penche vers mon oreille, son souffle caresse mon cou ce qui me procure des frissons et coupe ma respiration.

-On serait dans un certain film tu aurait mériter la fessé bébé pour avoir fait ça.

Ses paroles contracte tout mon être instinctivement, il c'est l'effet qu'il a sur moi, mais il n'est pas seul à pouvoir jouer à ce petit jeux.

-Qui c'est, j'aurais peut-être aimé après tout, lui chuchotais-je à mon tour tout en passant derrière lui, ma main passant sur ses fesses muscler, me mettant à ces côtés.

Vu sa tête je sais que j'ai réussi à inversé les rôles.

-Alors, tu fais quoi de bon?

-Euh...Des, il racle sa gorge essayant de retrouver la parole ce qui me fait encore plus sourire, cookies.

-Ok.

Je trempe mon doigt dans le saladier en question et l'amène à ma bouche tout en le regardant langoureusement, mais une fois en bouche une marrée de sel me fait grimacer de dégoût.

-Tu as mis combien de tonne de sel là dedans?

-Une pincée.

-C'est quoi une pincée pour toi au juste?