chapitre 4

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Les deux adolescent entrent dans la pièce en me saluant. Le directeur, moi et les deux nouveaux sommes tous les quatre assis. Le directeur prends la parole : 

- Je te présente ma fille.

J'ignorais qu'il avait une fille. 

- Salut, je suis Rayan.

Dis-je.

- Je m'appelle Yoko.

Me répond-elle poliment. 

- Yoko, suis-moi. 

Dit soudain le directeur en se dressant d'un coup. Yoko se leva, l'expression sur son visage m'informe qu'elle sait exactement ce que son père va lui dire. 

Ils vont s'installer sur un fauteuil près de la porte et son père lui chuchote quelque chose mais j'ai du mal déchiffré ce qu'il lui dit. 

J'abandonne et me concentre sur le blondinet assis en face de moi. Il est tellement silencieux. Il fixe le plancher, l'air de ne pas comprendre ce qu'il fait là. 

- Tu vas bien ? 

Dis-je bêtement.

Il prends du temps à percer mes mots et leva la tête pour me regarder puis acquiesça. Il n'est pas trop bavard. Il semble épuisé , comme s'il avait subit un traumatisme. Quel idiot, je me suis tellement renfermé sur cette pièce que j'en est oublié l'extérieur. Tu parle d'un traumatisme. C'est bientôt la fin du monde !

Dans l'intervalle :

PDV : YOKO

- Non papa, je te le répète encore, il n' est pas contaminé.

- Comment tu peux en être certaine ? Tu as vu son état.

- Comment peux-tu me gronder pour ça. Je te rappelle que toi aussi tu est venu accompagné d'un individu.

- Chérie, ce n'est pas pareil. Je t'avais pourtant interdit de sortir. 

- Papa, je veux t'aider, je veux sauver des personnes. Je ne veux pas être un boulet qu'on doit sans arrêt protégé ! J'ai 18 ans, arrête de t'inquiéter pour moi tu veux bien ? Je veux gagner ta confiance et me battre contre ses monstres qui ont tué maman. Cette chose douloureuse est éparpillée en moi. Je me vengerais papa .Je tuerais ces monstres et je sauverais des vies. Je protègerais les gens que j'aime et je n'échouerais jamais. 

- Promet moi que tu restera en vie. Je ne pourrai pas faire front à te perdre. 

- Je t'en fait le serment.

PDV : RAYAN

Alex me manque.

Les yeux du blondinet se ferment. Il s'écroule soudain. Je panique et me rapproche de lui. Je pose mes mains sur sont front. Il est chaud, brûlant. Je crie :

Directeur ! Directeur !

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Nous sommes désolé pour le retard. Les leçons sont nombreuses en ces moments. Nous rattraperons notre retard grâce aux vacances. Merci de continuer à lire notre histoire.

L'épidémie Où les histoires vivent. Découvrez maintenant