Gayoon

Chapitre 8

PDV Gayoon

Il s'approche de moi. On a que quelques millimètres l'un de l'autre, je ne bouge pas, je le regard. Du regard, il me demande l'autorisation de poser ses lèvres sur les miennes, j'accepte. Il réduit le peu d'espace entre nous en sellant nos lèvres dans un baiser doux. Je réponds à son baiser. Je sens ses mains sur ma taille, je mets les miennes sur sa nuque. Nos langues jouent entre elles. Je le sens sourire contre nos lèvres et je fais de même. On coupe notre baiser, nos sourires toujours sur nos lèvres.

  

Gayoon – Faut que j'aille me changer.

Hoseok – Ouais bien sûr. Je t'attends... Hm... En bas, ok ?

Gayoon – Ok.

Il me fait un bisou sur la joue que je lui rends en souriant et monte dans ma chambre pendant que lui descend dans la salle de danse. Je rentre dans ma chambre. Je n'y crois pas, je l'ai embrassé et j'ai aimé ça. Je souffle un bon coup et prend une brassière dans une de mes valises que je n'ai pas encore rangé dans mon dressing. Je prends aussi un legging. Je me fais une queue de cheval et garde le peu de maquillage que j'ai.

Je redescends dans la salle de danse où la musique bas déjà son plein. Hyunsook et Jungkook se chamaillent comme des petits enfants. C'est assez drôle à voir. Je me mets à côté d'Hoseok et commence à m'échauffer avec lui pendant qu'il me regarde de la tête. Je l'interroge du regard.

Hoseok – T'es jolie.

Gayoon – Merci Hoseok.

Je rougis légèrement en souriant peu habituer aux compliments. Il sourit et m'embrasse ma joue comme il a fait avant que j'aille me changer.

Hoseok – Pour nous, enfin ce qui s'est passé en haut... Non oublie le début de la phrase.

Il coupe sa phrase comme ça, ne comprenant pas trop.

Gayoon – Non, vas – y continu, je t'écoute.

Hoseok – Je me disais qu'on pouvait prendre notre temps sans presser les faits. Et ce qui arrivera, arrivera. Mais, c'est stupide.

Gayoon – Rien n'est stupide Hoseok, bien au contraire. Regarde-moi s'il te plaît.

Je mets mes deux mains sur ses joues et lui relève la tête car il avait baissé gêné, il met ses deux mains sur mes poignets.