Je suis la toute première louve originelle, je n'avais que 2 ans et demi quand une famille est arrivé et que j'ai découvert que mon parrain avait couche avec cette femme sans que son mari le sache.
Aujourd'hui ils sont les Originels et vivent dans l...
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9 mai 2012
« Caroline dépêche toi on doit partir pour la nouvelle-Orléans. Crie une voix.
- Non je ne bougerais pas d'ici hors de question d'abandonner le corps de ma mère ici Rebekah. Dis-je.
- Caroline Fleur Elizabeth Forbes bougez vos fesses de louve originelle jusqu'à cette voiture où sinon je viens te chercher par le pot de tes fesses. Crie t'elle.
- Essaye toujours on verra après. Dis-je. »
Je sens une main se poser sur mon épaule et quelqu'un m'attraper pour me jeter sur son épaule, je regarde la personne et abandonne l'idée de me débattre puisque Klaus est plus fort que moi.
« Tu ne te débats pas ? Dit-il.
- Non t'es plus fort que moi parfois. Dis-je. »
Il me dépose sur le siège passager de la voiture et se place derrière le volant avant de démarrer et sortir de l'allée de la maison suivit de la voiture de Rebekah.
10 mai 2012
On arrive après 5h d'avion et 2h de route pour arriver jusqu'au vieux quartier français de la Nouvelle-Orléans où se trouvait une vieille maison qui appartenait au Originel, je regarde cependant les maisons défile devant mes yeux et quand la voiture s'arrête je n'en sorti pas tout de suite ne voulant pas descendre.
« Sort d'ici Caroline. Dit Klaus.
- Non j'ai pas envie. Dis-je.
- Tu ne me laisse donc pas le choix. Dit-il. »
Il s'avance et ouvre la portière, je croise mes bras sous ma poitrine alors qu'il détache ma ceinture pour me mettre sur son épaule, je grogne et tape l'arrière de son crâne.
« Lâche-moi j'ai des jambes alors laisse moi marcher ou je te fais manger la peau de ton cul. Dis-je.
- Même pas peur love. Dit-il.
- J'ai envie de vomir. Je ne rigole pas Klaus j'ai vraiment envie de vomir. Dis-je. »
Il me lâche et je cours à travers la maison pour trouver les toilettes et vomir à l'intérieur, je manque de m'écrouler par terre en me relevant, je m'aide du lavabo pour tenir debout et me rincer la bouche.
Je rejoins les autres en bas et commence à défaire mes affaires avant qu'une tornade passe dans la pièce où je suis et emmène toute mes affaires.
« Nik où sont mes affaires. Dis-je.
- Dans ma.. Ah non dans notre chambre. Dit-il.
- Non non non Klaus sa ne marche pas comme sa. Dis-je.
- Pourtant moi je pense que si. Dit-il.
- Je Hmm.. en faite je.. dis-je. »
Je cours jusqu'à toilette encore une fois, je m'adosse contre le mur et ferme les yeux pour essayer de calmer ma respiration.
