Un nouveau destin ou un nouveau calvaire

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Le matin arriva assez vite pour Zuba qui se vit écarter de toutes tâches. Son maître lui demanda d'aller se laver car elle allait partir.
Elle prit le peu d'eau qui resta et le mit dans le sceau pour se laver. Elle se demanda alors ce qui allait se passer pour elle maintenant? Allait elle souffrir de plus?  Les larmes coula sans qu'il puisse les arrêter.

Paul Everson allait avoir ce qu'il avait longtemps convoité malgré qu'elle lui avait coûtée très cher. Elle voulait quelqu'un pour assouvir ses désirs dès qu'il s'en lassera il la vendra. Mais son choix s'était dirigé vers cette noire la race qu'on méprise. Mais elle était tellement belle, son Corps l'appellait.
La voiture s'arrêta dans la cour et se mit près de la fenêtre pour la voir mieux. Elle descendit et il vit de la peur dans ses yeux sans doute se demandait elle qu'allait-il lui arriver?

- Attends par ici le maître va te recevoir.

Elle resta debout dans un grand salon et avec une peur indeterminée et n'osa pas lever les yeux. Elle sentait que sa vie allait changer radicalement mais se consola en se disant que tout le monde avait peur de l'inconnu.

- Bonjour je suis Paul Everson et je serais dorénavant ton maître. Lady Simone va te montrer ta chambre.
Simone mets la dans la chambre d'à côte de la mienne et aide la à se préparer. Et donne lui à manger elle est mince.
- Bien monsieur. Suis moi.

N'ayant pas employer de vouvoiement ne le choqua pas puisque ces noirs étaient inférieurs à eux. Il alla se plonger dans son travail pour oublier ce mal qu'il ressentait dans son bas ventre.

- Voilà ta chambre et va te laver dans cette autre pièce et laves toi bien parce que le maître n'aime pas de la saleté et je ne veux pas ton corps sale au risque d'attraper des maladies.

Elle l'avait pressenti que cette Simone ne la porterait pas dans son coeur.
Elle entra dans la douche et se souvint des leçons que sa mère lui avait appris, comment se doucher pour recevoir son mari mais avec ces parfums à utiliser qui étaient différents de ceux de son pays elle se sentit pris dans un piègée. Elle décida de prendre un au hasard et commença sa douche.
À la sortie de sa douche elle trouva un petit déjeuner très copieux mieux que celui de son ancien maître et une robe assez légère qui pourrait laisser voir son corps et conclut que c'était la sienne,quand, elle la mit ses formes étaient exposées et se sentit souillée elle voulait pleurer  mais se retint.

Paul trouva Zuba debout et son petit déjeuner n'avait pas été touché.

- Pourquoi tu n'as pas mangé?
- Je pensais que c'était le vôtre.
- Assis toi et mange.

Elle s'exécuta et Paul s'asseoit non loin d'elle dans un autre fauteuil.

- Est ce qu'un homme t'a t il déjà touché ici ou dans ton pays?
- Non monsieur.

Il n'en croyait pas ses yeux il allait être le premier. Il ne laissa pas une onde de surprise passait sur son visage.

- C'est bien.

Usanirirenga était entrain de lire son livre comme William le lui avait demandé avant d'aller rejoindre son père dans les champs quand Djuma entra.

- Bonjour Usanirirenga.
- Bonjour Djuma. Comment tu vas?
- Ça va bien et toi?
- Ça va.
- Comment le maître te traite t il?
- Bien.
- Je te l'avais bien dit que le maître était différent. Mais je voudrais que tu saches que quoi qu'il arrive un nouveau destin arrive pour toi un destin brillant plein de douleurs certes mais un beau destin.
- Mais de quoi est ce que tu parles Djuma.
- Des épreuves vont bientôt arriver que tu devras surmonter avec sagesse et utilise ton intelligence pour comprendre le vrai du faux. Promets le moi.
- Je te le promets mais Djuma...
- Merci maintenant je dois aller rejoindre mon maître.

Il sortit du bureau et laissa Usanirirenga perplexe, elle ne comprenait pas pourquoi Djuma lui avait prédit cela. Serait-ce un devin? Un sorcier? Elle allait devoir découvrir qui était Djuma.

Jacob et son fils parcouraient les champs pour voir comment les activités se faisaient. William ne cessait de penser à Usanirirenga qui était seule dans le bureau il voulait tellement que cette visite se termine.

- Pourquoi tu veux tant garder cette fille auprès de toi will? Pour assouvir tes envies sexuelles.
- Pas du tout père juste elle fait mieux le travail que Djuma et je prefère tous les deux les garder. Djuma pour écrire ce que j'ai pas de trouver normal lors de mes visites dans les champs et Usanirirenga pour s'occuper du bureau.
- Je vois que tu sais même parfaitement parler leurs noms et dis moi pourquoi tu ne leurs changes pas de nom?
- À force de les entendre s'appeler par leur nom j'ai appris. Usanirirenga je compte lui change de nom mais pas Djuma et ne me demande pas pourquoi.
- D'accord.
Je vois que les champs se tiennent à merveille je vais y aller je vais passer à la banque pour voir comment ça se passe.
- Aurevoir père.

Son père quitta les champs et William attendit que son père soit loin pour retourner à son bureau.

- Tu m'avais tellement manqué ma belle.

William se jetta littéralement sur elle après avoir fermé la porte. Il l'embrassa avec passion que Usanirirenga lui rendit leurs lèvres parlaient pour eux, leurs corps étaient faits pour être ensemble. Il l'allongea sur le canapé et commença à la caresser doucement, Usanirirenga n'avait connu de désir si intense qu'elle gemissa William prit ses seins et son érection ne fit que s'accroître il continua ses caresses qui furent une torture pour Usanirirenga.

- Je veux pas le faire comme ça. Et e veux pas te prendre ta virginité de cette façon.
- Je veux que ce soit toi le premier.
- Mais ça se passera pas comme ça, je veux que tu ne l'oublies jamais et que tu ne m'oublies pas.
- Je pourrais jamais t'oublier.
- Je veux que tu rentres et que quand tout le monde commencera à manger le voir viens me voir ici au bureau.

Usanirirenga sortit du bureau. William essaya de se plonger dans le travail pour l'oublier mais la seule image que son cerveau lui envoyer était le corps d'Usanirenga qui l'appellait pour y plonger, mon Dieu cette fille va finir par me tuer se dit il.

- Je sais pas si ton ancien maître te l'a dit quand tu es venue ici mais c'est pour assouvir mes désirs je sais pas si je me suis fait bien entendre.

Elle hocha la tête positivement, elle savait que ça allait arriver un jour mais pas si vite que ça. Combien de fois on avait demandé à son maître d'être livré à ses ivrognes pour qu'elle assouvisse leurs désirs malsains mais son maître refusait leurs prix qu'il jugeait très peu.

- Puisque c'est ta première fois je vais me montrer très doux avec toi je ne veux pas te brusquer.

Là où Usanirirenga était seule se demandait comment aller se passer la nuit. Mais se souvint de leur promesse entre elle et Zuba de se raconter leur première fois.
Zuba se demandait à qui elle allait en parler puisque Usanirirenga était loin d'elle.

Destin inattenduOù les histoires vivent. Découvrez maintenant