Destin inattendu

Angela

Je dédie ce chapitre à ma sœur de cœur que j'aime tellement EscouTaty    

Parfois sans s'en rendre compte le destin nous joue des tours tellement qu'on se demande ce que nous avons fait ou juste le destin veut nous donner une bonne leçon qu'on oubliera jamais et te fait rencontre des épreuves pour pouvoir atteindre le bonheur.

Ce que Djuma voyait pour le futur de son patron et Usanirirenga lui restait perplexe, il se demandait si ils allaient réussir à surmonter ses épreuves, si leur amour pourra surmonter tout cela.

L'oncle de Novak venait d'arriver du Mississippi il venait de signer un contrat de plusieurs centaines millions avec la famille la plus connue des États-Unis Thompson.

- Alors mon petit neveu comment ça va? Vos colonies?

- Bien tonton , mon oncle s'occupe bien de ça. je m'y étais habitué.

- C'est bien gamin. A ce que je sache tu t'es spécialisé en finances, je voudrais que tu ailles gérer mes affaires au Mississippi je viens de signer un gros contrat pour ma société et je veux quelqu'un pour bien prendre soin de mes affaires je pourrais pas y aller tous les jours. et je voudrais quelqu'un qui puisse y rester un moment.

Novak n'avait pas arrêter de sourire durant tout le récit , il n'en croyait pas ses oreilles, peut être que ce Dieu existe réellement se dit il. comment la réponse pouvait lui parvenir si rapidement.

De l'autre côté du pays, Paul devenait de plus en plus dépendant de la belle Zuba. comment expliquer qu'à chaque fois qu'il devait la quitter il se sentait triste au fond de lui, parfois il se disait que Zuba lui avait donné des portions venant d'Afrique pour le marabouter mais se souvint qu'elle était venu avec rien du tout. son cœur pur l'avait séduit c'est tout.

parfois il discutait de tout et de rien et le rire sincère qu'elle dégageait le faisait fondre, il n'avait jamais connu cela avec ses autres maitresses qui étaient de vraies matérialistes, elle riaient juste pour lui faire croire qu'elles avaient écouté son récit parfois même elles riaient alors qu'il n'y' avait rien pour rire.

- Je pars travailler je veux qu'à mon retour tu aies terminé de lire ce livre et tu me fais un petit résumé.

Depuis peu il lui avait appris à lire et à écrire il voulait faire d'elle quelqu'un d'instruit il se disait que cette ségrégation prendra fin un jour ou l'autre et elle devait se débrouiller si ce jour venait à arriver.

- Oui chef.

Elle le disait avec ce sourire qui appelait Paul à rester avec elle. il lui donna un baiser chaste et partit.

Zuba ne voulant pas lire le livre immédiatement descendit pour visiter la maison, elle ne l'avait pas jamais fait car elle ne sortait jamais de la chambre.

Simone était une jeune femme belle, mince elle avait dans les vingtaines. Chaque jour elle se faisait belle pour que Paul la remarque mais jamais, elle se disait qu'un jour elle deviendrait la maitresse de la maison et profiter de ce luxe. Elle avait supporter toutes ses maitresses et se sentait jalouse à chaque fois qu'il leur donnait du plaisir combien de fois n'avait elle pas rêvé elle aussi de sentir ses mains sur sa peau, combien n'avait elle pas souhaiter qu'il lui fasse gémir. Mais toutes ses maitresses n'avait duré plus d'une semaine.

Quand elle avait vu Zuba son cœur a failli sortir, elle était d'une beauté naturelle très belle même. Maintenant Zuba passait sa troisième semaine avec eux et une jalousie plus forte que celle qu'elle avait ressenti auparavant la ronger. Elle l'avait vu dans le salon admirant des objets.