{Jean x Reader} Virtuel puis Réel

99% des personnes ne lisent pas le titre alors c'est pas grave si j'en met pas

Jean : Je... Je ne veux plus être avec toi [TP].

Je sers les poings.

Moi : Mais... Pourquoi ?...

J'ai mal au cœur, si soudainement...

Jean : Je pense... Que je n'ai plus rien à savoir pour toi, c'est pour ça...

Moi : Pour ça que tu veux me quitter ?

Jean : C'est pour ça que je veux que se soit toi qui reste à mes côtés.

Moi : Hein ??

Il... Se met à genoux... Devant moi. Je dois rêver...

Jean : Veux-tu m'épouser ?

Je reste là, sans dire un mot, retenant mes larmes...
Il sort une boîte en verre.

Moi : T'es con ou quoi ?! Bien sûr !

Je fond en larme, pendant qu'il me met la bague au doigt, puis il m'embrasse encore une fois...

Jean : On devrait rentrer... Il commence à faire froid.

Moi : Oui c'est vrai...

J'essaie de m'arreter de pleurer du mieux que je peux.

Moi : Rentrons.

...

...

Après notre retour en France, on nous a accueilli avec des roses et des fleurs.

Puis, j'ai découvert que la mère de Jean et mon père se voyait depuis tout ce temps, pour nous permettre de faire ce voyage de rêve, ainsi que notre magnifique mariage. Alors que j'avais que 16 ans...

Mais bon, ils ont bien fait finalement.

Parce que je l'aime plus que tout.

....

Jean : [TP] ! Tu peux prendre le dernier carton dans le camion ? Je rapporte l'autre le temps.

Il se tient dans les escaliers de l'immeuble, essoufflé.

Moi : Et si je dis non ?

Jean : Tu devras essuyer le sol plus les vitres. *rit*

Moi : Mais je plaisante ! Bien sûr !

Jean : Je plaisantais pas moi !

Moi : Ah ah très drôle...

Je part chercher le carton. Il y a quoi dedans au juste ?

Berf... Je le prend.

??? : [TP] ?!

C'EST QUI CE FOU PUTAIN ??
Je me retourne, et m'appercois que c'est...

Moi : Marco ???!!!

Il vient vers moi en courant, puis s'arrête en face.

Marco : Ouais c'est moi... Ça faisait longtemps.

Il me tend sa main.
Je la lui serre donc hein... Je suis pas une salope non plus.

Moi : Alors ? Quoi de beau ?

Marco : Pas grand chose... j'ai trouvé l'amour de ma vie, et je vais aménager pas très loin d'ici.

Moi : Je suis heureuse pour toi !

Marco : Ah merci... Et toi alors ?

Je réfléchi un peu avant de répondre :

Moi : Je suis devenue la femme de Jean, que j'aime, encore heureux, et on est entrain de monter les cartons, celui là c'est le dernier.