Colonel Aaron

Chapitre 2 : Exercices.

J'acouru à la cour, d'ignobles palpitations prennent placent dans mon corps. Je m'avance vers Maria déjà incrustée dans le groupe de soldats.

Malheureusement pour moi, le Colonel, qui étais en train de faire le tour remarqua ma présence et me fixa. Il s'avanca vers moi le pas nonchalant. Le visage visiblement fermé.

-Tiens donc, étonnant ! Je sais pas si tu as remarqué mais...t'es en retard. Il conclua sa phrase par un désespérant pas si inaudible qu'il n'en à l'air.

Puis il redirigea son regard vers le miens avant de continuer.

- Va dans le groupe N°12, de suite ! Je n'accepterais aucune erreur de ta part. Hop, hop, hop.

Il fit des signes de mains. Du style, GROUILLE TOI. Qui à mon avis, ne se serais pas gêné de dire s'il il n'étais pas occupé.

Le groupe en question se mirent en gardes. Je ne mis pas beaucoup de temps à les rejoindre.

Le Colonel repris la parole, lâchant un léger raclement de gorge. De sa voix rauque et grave il donna les consignes.

- Aujourd'hui, comme vous pouvez le constater, il y a une nouvelle recrue donc les entraînements seront différents. On va commencer par abdos-fessiers 50 fois, facile.

-  Nous  feront des roulements !! groupe 113 pompes, groupe 114 tir... Surtout, n'oubliez pas une chose.

-Vous lâchez, vous recommencez.

Je n'écoutais strictement rien, jusqu'à ce que le nom de mon groupe soit cité.

-Et groupe 112, ABDOS-FESSIERS! En passant. La nouvelle en aurais bien besoin.

À côté de moi Maria se dandine à l'idée de faire des abdominaux.

-Quoi!? Dis-je en me moquant. N'accepterais tu pas la moindre idée de faire ça?

-Je n'y arrive pas cest tout. Et cpmme tu peux le voir, il est, quelque peu... énervé. Et encore franchement là ça va. 50...

Je ne répondis pas. Remarquant que le Colonel me fixais inévitablement. Et qu'elle était étrangement pas rassurée.

Je m'éxécuta. Je regardais le tapis positionné devant moi avec impatience.

- Le Colonel est habituellement ainsi ? Continuais-je, en me couchant.

-C'est assez étrange comme ça, mais il fais simplement son métier, mais....

-Je vois, je pense certainement qu'en temps normal, cet un homme est différent ! Ainsi, je mettais mes bras dans mon dos, et commença.

- Oulaa ma pauvre Lucette !

Une question me traversa l'esprit, je m'arrêtai brutalement.

-On à des heures de sorties ? 

-On t'a pas mit au courant des bals et des heures de sorties permises ? woaw ! s'exclama t'-elle.

Elle rajouta,

-En passant... il sais danser d'après les rumeurs...

-Pourquoi tu me parles constamment du colonel ? Je crains que tu te fasse des films !

-Je ne pense pas.

Il faisais le tour des groupes. Le voir se taire est vraiment choquant, bien que je le connaisse depuis ce matin.

Ses yeux vert parcours chacun de mes mouvements à croire qu'il veux absolument me punir... Ce n'est malheureusement que le 1er jour et le début du calvaire. Beaucoups de choses m'attendent.