Je sais qu'il reviendra,( saga suite Harry Potter)

chap 1 une paix de courte durée

La bataille était gagné, Voldemort n'étais plus là, ses mangemorts étaient emprisonnés, les alliés était soignés, les cœurs était reconstruit, les morts étaient oubliés, les couples étaient reffondé, les peurs de mourir était dissous.. maintenant tout le monde vivait à sa fantaisie, grâce aux sorts, en 3 jours, Poudlard était reconstruit, les cours avaient repris, les 7 èmes année finissaient leur ASPIC, plus personne ne parlait de Voldemort, de ses serviteurs, ou des morts.

***

En ce matin, Harry, Ron et Hermione se levèrent, ils descendirent dans la grande salle.

En arrivant, comme à leur habitudes, un tableau de leur ancien directeur, Albus Dumbledore trônait sur un mur.

On voyait Albus buvant une tasse de thé moldue, le plus beau des sourire aux lèvres, sa main n'était pas noirci, il était vêtu d'une robe de sorcier rouge et or, comme les couleurs des Griffondors.

Harry sourit et s'assit aux côtés de ses deux amis et juste devant l'amour de sa vie, Ginny Weasley.

Ils se sourirent tout deux.

Ils prirent leur déjeuner, dans un vacarme énorme car Peeves l'esprit frappeur avait repris ses blagues.

Non loin de leur table, Drago Malefoy discutait avec deux de ses amis et lançaient l'un de ses sourires charmeurs à une Serpentarde, de première année, que tout le monde prenait pour une nouille.

Harry finit son déjeuner, se leva et passa derrière Drago.

-" Sa peut aller trop vite Drago ! Ne pût-il s'empêcher de lâcher

Le blond ricana, se leva et dit :

- Oh mais c'est déjà trop tard ! Regarde comme elle est rouge, on aurait cru Peeves, hier, quand on lui avait mît du piment extra fort venant d'Inde dans sa Bierre Au beurre.

- Ah oui ! je me demande toujours comment il a fait pour ne pas s'en rende compte, la bierre avait pris une teinte rouge flachi qui pouvaiat se voir à une dizaine de mètres, lui qui est toujours malin et bah là c'était raté, mais bon, laisse quand même un peu cette filette tranquille.

- Aha ! Ok j'arrête.

Les deux garçons rigolèrent mais un énorme bruit sonore leur fit arrêter leur jouissement, à la place, des cris d'horreurs explosèrent, que se passait t-ils ?

Andromeda Tonks apparut avec Teddy dans les bras.

Quand elle fut dans la salle, elle s'effondit sur le sol, ensanglantée.

Harry courut la relevé, Hermione prit le nourrisson dans ses bras et se cacha sous une table, chantonnant des comptine pour apaiser le bébé, hurlant de peur.

Andromeda se relèva et dit : dehors c'est le vacarme, une femme habillé en noire avec une troupe de personnes font la terreur dans Pré Au Lard.

- Qui est ce ? Demanda Ginny

- je ne sais pas, elle avait un masque de mangemort.

- Comment saviez vous que s'était une femme ? demanda Neville

- Elle était fine et elle avait des cheveux longs marrons, telle une femme.

- Andy, rentrez chez vous et restée avec Teddy, on s'occupe du reste. La consola Harry.

- jeune élu, je te remercie. Dit- elle en sortant après avoir prit son petit fils.

-Bon ! On va s'occuper de ses troubles fêtes ! Dit Ginny en mettant sa main sur la poignée de porte. -Non! tu n'iras nul part Ginny, tu n'iras nulle part !

-maman, qu'est ce que tu fais là ?

- ma chérie, tout le monde est là ! Regarde derrière toi, les éléves ont cessé de se nourrir pour aider les blessés, regarde, Poudlard, n'est plus le Poudlard tout beau où ne résidait que des enfants, c'est un centre de refuge maintenant, et je ne souhaite pas que tu suives les autres pour aller te batttre, j'ai déjà perdu Fred lors de la guerre, je ne veux pas perdre ma Ginny.

- Je sais maman, mais il faut que je sauve les gens.

- Tu peux sauver des gens en restant là et en les soignant, tu peux même protéger ta vie.

- Non ! Je suis grande maintenant et ma place est auprès de ceux qui se battent pas ceux qui joue les nounous aux blessés, je veux être comme Tonks, mourir en étant considéré comme une héroïne, pas mourir et qu'ensuite les gens disent que cette fille n'a rien fait de sa vie.

- Ginny

- Au revoir maman.

Ginny ouvrit la porte et sortit, la baguette à la main, le regard décidé, rien ne pouvait l'arrêter.