Partie 6

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Je me réveil doucement dans le grand lit encore imprimé par mon passage, je ne sais pas bien quel heure il peut être, nous sommes plongé constamment dans le noir et j'ai horreur de ça, le manque de soleil nous affecte tous, vivement que nous arrivions sur Mars.

Je passe ma main dans mes cheveux longeant mes épaules, je me frotte les yeux par réflexe et utilise toute mes forces pour me lever du lit. Jamais je n'avais dormis dans quelque chose d'aussi confortable et vaste. À la maison mon lit est très bien aussi, je ne peu pas me plaindre mais je dois avouer que celui dans lequel je dore pour l'instant est en haut de la liste.

Je m'étire légèrement et jette un cou d'œil vers Carla, elle dort toujours comme hier soir mais est emballée dans sa couverture. C'est vrais qu'il fait plutôt froid, plus que hier en tous cas.

Ma respiration est saccadée et les battements de mon cœurs vont si vite qu'il m'ai impossible de me clamer. C'est assez étrange vu que nous sommes le matin.

Même si je suis toujours en pyjama, je sort quand même de la chambre. La porte s'ouvre sous l'effet de mouvement que je réalise sous les caméras permettent d'ouvrir et fermer. Le bruit me fait encore penser au films de fiction qui nous font tous rêver.

Je sort de la chambre et m'avance dans le couloir à peine éclairé par les néons bleu, le sol est froid sous mes pieds nu et je commence à attraper la chère de poule.

Depuis le début, je me Demande comment cela ce fait que nous ne soyons pas en train de flotter. Bien que je sois extrêmement nul en science je sais quand même qu'à une certaine hauteur il y a se qu'on appelle "la gravité".

Apres mes quelques mètres je peut percevoir dans le couloir d'en face, la silhouette d'une des filles de la navette. Je ne parvint pas à savoir qui s'ait en raison qu'elle me tourne le dos. Mais elle n'a pas l'air très bien et je suis curieuse de savoir se qu'elle fait là à regarder par le hublo si tôt le matin.

Je m'approche plus calmement mais elle ne semble pas me calculer. Je me place donc à quelque centimètre d'elle et jette un œil à son visage. Je la reconnaît maintenant, il s'agit de Marion.

-Est ce que ça va? Demande ai je en la scrutant du regard.

Elle ne détourne pas le regard Et continue de se perdre dans le magnifique paysage que nous offres les étoiles.

-Je ne me sens pas très bien. À vrais dire, j'ai froid et mon coeur ne cesse de s'emballer. Finit t'elle par me dire.

Je hausse un sourcil. Elle ressens les même choses que moi.

-Pareil, mon coeur n'arrête pas de s'en baller depuis Que je me suis levée et je trouve qu'il fait beaucoup plus froid que hier.

Elle détourne enfin le regard Et plonge ses iris vert dans les miens.

-Aurait t'il un problème dans la navette? Demande t'elle.

-Je pense Bien. Ou alors le fait d'être loin de la terre nous procure cette sensation?

-Non. Ce n'est pas possible. Dit Marion. Au lycée j'ai fait de l'aéronautique et le sujet de la graviter et de la terre est le niveau maternelle.

-Je suis pas vraiment très forte en science et tous ce qui est du au Math. À vrais dire je ne suivais pas de cours aussi importent Et ma prof de science n'était jamais là.

-Ce n'ai rien, Tu faisait quoi comme étude avant? Me demande t'elle.

J'avais presque honte de lui avouer mes études. Ce que j'étudiais n'avais rien d'extraordinaire qu'elle. Je voulu répondre Apres un moment court d'hésitation mais Éric se manifesta.

Welcome to MarsOù les histoires vivent. Découvrez maintenant