Jen'avais même pas eus le temps de comprendre ce qui ce passait, et ilétait déjà mort.
Ilétait mort, il était mort, il était mort, il était mort, il étaitmort, il était mort...
jene cessais de me répéter ça tout en revoyant dans mes souvenir sescendres se disperser dans cette eau pur qui essayait de laver cecorps étranger et sale venu infester son territoire et le miens.Remplissant mon cœur en instant de la même noirceur que ces cendresse dissolvant.
Chaquefois que je revoyais ces images : le cris, la chaleur, le feu, le feu, le feu.cette chose qui avait d'abord réduit à néant laforce que mon frère avait gagné quelques instant avant, avant defaire de même avec son corps important par la même occasion moncœur. Une si belle couleur qu'est le rouge, mais qu'on fini paroublier lorsqu'il fini par prendre forme dans la réalité.
Cries,chaleur, flammes puis remous dans l'eau. Achevant ainsi espoirs,désirs, victoire et vie.
Plusj'y repensais, plus l'action me semblait me durer des jours, desjournées, des années une éternité.
J'eusbeau ouvrir les yeux pour me sortir les images de ma tête, elle necessait de réapparaître, devenant de plus en plus réel jusqu'à ceque je me rende compte que ce n'était qu'une personne qui venait àma rencontre. Mais ce n'était pas très important, rien ne lesemblait à se moment-là. J'aurais pu le sauver, j'aurais du lesauver. J'aurais du trouver la force de me téléporter sur lui et dele faire venir avec moi. Sauf que maintenant il était mort. Il neservait à rien d'avoir des regrets. J'aurais pourtant du à cemoment là lui ressembler et agir.
-Allez,cria la personne en face de moi d'une façon inquiète, répond moi,ou est ton frère ?
Elleme répéta inlassablement la question pendant un moment avant que jene puis mettre du sens à ce qu'elle dis.
-Ilest, commençais-je avant de m'arrêter ne voulant pas prononcer lemot qui condamnera son état, en faisant un fait réel.
Jechercha un mot inexistant pouvant expliquer à la fois qu'il étaitmort mais que ce n'était pas vrai, mais fini par ne plus vouloirchercher, et me tue.
-Ilest mort, devina la personne avec une pointe de regret dans la voix.C'est bien dommage, que c'est-il passé ?
Laquestion qu'il me posa, me fit étrangement réfléchir et fitremarcher mon cerveau. Et c'est à ce moment-là ou je remarquais queje ne connaissais pas la personne qui se tenait devant moi.se quiétait étrange étant donné que ça voix me disait vaguementquelque chose. Et surtout qu'il dégageait de lui le charisme àl'état pur. Il avait les cheveux courts mais pas rangé, luidonnant une allure sauvage. Mais ce qui était étrange c'est que sescheveux étaient brun sombre alors qu'il semblait plutôt jeune. Maisc'est ce qui amplifiait son charme en plus de ses yeux émeraudesavec quelques reflets rouge. Sa tenue, bien qu'étant une simpletunique -d'unbrun de la couleur du bois de pin-, elleétait sans aucun doute fait d'un tissu précieux, même si jen'arrivais pas à en déterminer la matière.
Ensomme cette personne ne venait pas de notre village, et je l'avaisjamais rencontrer jusqu'à maintenant.
-Quiêtes-vous ? Demandais-je d'une voix fatigué mais sur mesgardes.
-Hein,comment ça ? Répondu l'inconnu. Tu ne me reconnais pas ?(ilse regarda avant de comprendre quelque chose). Ah oui j'avaisoublié que tu ne m'avais jamais vu sous cette forme, je suis Eysopcelui qui ta donné le pouvoir de Ravtèn. Le pouvoir de regarder lepassé dans les rêves.
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Chroniques Des Trois - Ëatros Et Nearmis [EN PAUSE SORRY]
FantasyFir'im et Dax sont deux frères jumeaux. Tous deux sont en quête d'aventure. Mais leur village étant reclus du monde, cette idée d'aventure ne restera pour eux qu'un simple rêve. Jusqu'au jour ils sont choisis pour sauver pas un mais trois mondes pre...