chapitre 5

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Moka continue de pleure et Ko désemparé le prend dans ses bars aillant déjà posé les assiette au sol. il caresse lentement la tête de Moka et avec son autre mains il lui frotte le dos. Mais se que les deux enfant ne savais pas s'était que leurs mère les observer de loin, la larme à l'œil elle venais de se rendre compte de tout le mal quelle avais fais. Elle et son mari avait grandement détruis moka. Le fait de l'avoir mit de côte pour préserver l'image de leurs famille avais dans la plus grande discrétion anéantie leurs fils . Elle se rappela le comment du pourquoi cette situation. C'était le jours de son quatrième anniversaire elle avait invitées toute la famille ainsi que des proche amie il les avais fait attendre presque cinq heures mais aucune trace de Moka et quand Ko l'avais finalement retrouver il été couvert de poussière la visage sale surement a cause de larmes et les vêtement déchiré. Les invité n'arrêter pas de critiqué disent qu'il maltraité leurs enfant. alors pour y mètre un terme son époux avais pris les grand moyen a savoir éloigner moka du noyaux familiale le temps que tout se calme, mais voila il avait étais sidéré de voire le changement de comportement de leurs enfant et prie de remords pour elle et plus par fierté masculine pour son homme il ne c'était jamais excuse convenablement auprès de leurs enfant qui de rapproche dangereusement de ses onze année et sa situation aller de mal en pire. Se qui c'était passer à l'école avait alerté les deux adultes de la graviter de leurs chois. Madame Duchard rebroussa chemin et se rendit au petit salon ou elle y rejoins son marie des fille étant déjà aller se coucher laissant au domestique la tâche de débarrasser et de faire la vaisselle.

Commença un jeux de regard entre les parent des ses petites peste, mais elle fut vite remplacer pas une discussion essentiellement basé sur leurs unique inquiétude margeur : la santé et le morale de moka .

-alors a-tu des nouvelle ma chérie ?

-tu sais que ont grandement blèse notre fils avec ta décision ?

-oui mais nous y étions obliger et tu le sais aussi bien que moi .

-mais maintenant nous n'avons plus d'excuse valable...

-mmm tu a raison mais sa ne me dit pas comment vas mon fils .

-je ne sais pas je ne lais ai même pas approcher il faudra demandé à Ko .

-très bien je le ferais va te reposé chérie.

-merci mon cœur.

{ dans la chambre de moka }


Une fois que Ko avais fini de donné les premier soigne à un moka en larme

Et s'attelle a la tâche si complexe qui et de le réconforté. Il savais déjà que son frère été brisé mais jusque a où ? il n'en avais aucunes idée, mais il en voulais à sa mère, son père et surtout ses ignobles sœurs. En soignent son cade il avais remarquer des trace violacé au nivaux de son ventre ,ses cotes droite et sur sa cage thoracique.

Traces qui généralement indique des liaisons ou des fractures de plus son frère avais du mal a respire et a se mouvoir. Ko s'inquiète il se demandé même si il aurais mieux fait de l'emmenais en clinique. son frère s'endormir épuisé par sa journée et larmes.

Il le couche, le borde et retourne dan sa chambre qui au passage et dans un autre couloir et pur y accédé il doit obligatoirement passer par la casse salon et en vue de la lumière il était certain que son père n'était pas encore couché.

Résigner il pénètre dans cette pièce et tombe nez à nez avec son père. S'en suie un jeux de regard et un silence pesant . Le contacte visuel fut briser par Ko et son père pris la parole.

-comment se porte ton frère ?

-physiquement ou psychologiquement père ?

-physiquement jeune homme.

-he bien je ne sais pas trop je ne suis pas médecin je lui ai fais les premier soin mais je pence que ses baisures son bien plus grave.

-comme quoi ?

-je penchais plus pour des fracture et liaison interne.

-je vois il serais judicieux de le faire examinais par des professionnel .

-voici une décision judicieuse père.

Ko mit fin a la conversation et partie dans sa chambre sans souhaitée un bonne nuit ni a son pére ni a sa mére.

Pour s'est parent il était difficile de trouvée le sommeille chacun ayant ses propre tors et ses propre crainte. Il pessaires donc le plus claire de leurs nuit à réfléchir sur leurs motivation et leurs désire commun de se faire pardonné de leur fils cade.

Mais voila, après toute ses année à mètre de côté cette enfant il ne le connaissais plus, et ne savais rien de lui mit à part sa curiosité.


Moka et les 4 légendesOù les histoires vivent. Découvrez maintenant