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En ce moment j'étais vraiment en colère contre ma petite soeur. Pourquoi est-ce qu'elle faisait de l'attitude de la sorte? C'était quoi son problème à celle-là? Je ne me gênais pas de la toiser du regard: un regard de la tête au pied plein de dégoût pour la faire comprendre que je n'appréciais pas.

Ok, elle n'aimait pas mon chéri, mais pourquoi est-ce qu'elle ne pouvait pas jouer le jeu? C'était une petite enfant gâté, et j'en avais marre d'elle.

Malheureusement à cet instant je ne savais pas.Je ne savais pas qu'elle était victime, et que mon chéri avait été son agresseur. Si je l'avais sut peut-être que tout aurait pu être si différent. Pourquoi est-ce que je n'avais rien vu venir en fin de compte?

Maintenant je pouvais m'en vouloir, mais pendant que je l'avais en face de moi, je n'avais rien vu venir Au contraire je l'a blâmais même d'en jouer un peu trop.

moi: Maman, pourquoi elle doit toujours faire la capricieuse?

J'avais besoin du soutien de ma mère car j'en pouvais pu de Loulia.

Rapidement ma mère se mit de mon côté. Loulia se retrouvait toute seule contre nous. Sans dire un mot elle s'en alla s'enfermer dans sa chambre. J'avais trop honte de son attitude.

Me retournant vers Louis pour m'excuser. Après tout il n'avait pas à subir tout ça non plus celui-là.

moi: Je suis vraiment désolée de tout ça.

Louis: T'inquiète ce n'ai pas de ta faute tout de même.

Louis restait tout à fait normal, en cet instant je l'admirais en le trouvant trop fort. C'était un brave type. Fort et fière. Malgré le comportement de ma soeur qui était innaceptable, je le trouvais trop bien. Trop bon, et j'imagine qu'en cet instant je l'aimais encore plus.

Parrallèlement j'en voulais encore plus à Loulia.

C'était quoi son problème de vouloir tout gâcher?

J'en avais trop de haîne contre elle. Pour moi c'était un trouble-maker. Elle n'avait aucune raison d'agir de la sorte. Je ne pouvais pas comprendre. Non je me refusais même d'essayer de la comprendre. En ce moment elle me répugnait même.

C'était méchant de penser de la sorte d'elle.

J'imagine que mon amour pour Louis était trop fort. Je le voyais trop parfait, jamais je n'aurais pu imaginer ce qu'il avait fait subir à ma petite soeur.

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LA RÉALITÉ AMÈREOù les histoires vivent. Découvrez maintenant