Cours tant qu'il est temps !

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Aujourd'hui il ne fait pas très beau : il pleut et il fait froid.                                                                      
Mais me voilà sans manteau en train de courir sous la pluie comme si ma vie en dépend pour je ne sais plus quelle raison que je découvre au final au bout de la rue.                                                                       
 Je croise un homme debout en pleins milieu; vêtu d'un long manteau marron avec un chapeau sur la tête. Une fois l'analyse de faite, je vois qu'il tient une arme dans sa main droite puis entend un coup de feu.

Je comprend ensuite qu'il vient de se passer quelque chose d'affreux  et fais demi-tour de suite en courant le plus vite possible.

Entre temps je me suis retrouvé avec un fusil et j'ai du m'en servir pour me sauver la vie, c'est alors avec du sang et toujours sous la pluie que je continue à courir jusqu'à une pharmacie.

Un corps est allongé en plein milieu d'une foule de personnes qui reste planté là sans rien faire, celui d'une femme. Je m'approche et entre dans la pharmacie. C'est un gros choc lorsque je compris que la femme qui est au sol est en réalité ma mère. Elle c'est pris une balle par l'un de ces voyou. Je m'écroule au sol à côté du corps sans vie de ma mère. Je prend sa tête entre mes mains et décale le corps sur mes genoux en pleure et tout en me basculant en avant et en arrière, devant ces regard de spectatrices et spectateurs que je n'apprecie pas.

- Appelez une ambulance au lieu de rester planté la !

Ce fut la dernière  phrase que j'ai prononcé, depuis ce jours. Je reste chez moi à déprimer le sors de ma charmante mère qui m'a quitté à cause des personnes qui ont laissé faire et n'ont pas bougé d'un poil pour la sauver. Ils auraient fait quelque chose, elle serait toujours la.

Recueil d'Amelya Où les histoires vivent. Découvrez maintenant