My Future Is Impossible Without You [Terminé]

Ch.5: "Rentre dedans"

 Là, ils se dirigèrent vers la chambre de Kakashi, en prenant soin d'enlever le maximum de tissu sur le chemin, si bien qu'arrivé devant le lit, ils étaient tout deux en boxer.

Kakashi se laissa pousser sur le lit, ils s'embrassèrent "à la française". Le jeune brun tenta de mettre sa langue entre les lèvres de son amant, qui suivit le geste. Ils s'embrassèrent pendant peu-être 10 secondes ou 10 minutes, ils ne savent pas. Dans ce laps de temps pendant lequel ils laissèrent leur langues mener la danse, le temps était comme figer. Puis Iruka commença à embrasser son cou, puis son torse, un torse bien moulé, avec de beaux pectoraux et des abdominaux parfaits. Il descendit doucement, enleva doucement le boxer du seme, (= dominant / passif en japonais) et prit son membre fièrement dressé d'une main et commença les va et vient. Kakashi laissa échapper un gémissement presque inaudible. Et là, Iruka rêvait. Il se sentait vivant. Il était heureux, car malgré toutes les conquêtes de son bien aimé, c'est de lui, Umino Iruka, le professeur d'Aspirants ninjas que Kakashi est tombé réellement amoureux. Il revint à la réalité, ouvra doucement la bouche et inséra le membre dans sa cavité buccale, faisant des va et vient avec sa bouche et caressant le gland avec sa langue. C'était sa première fois, et pour une première expérience, il trouva cela plutôt ... plaisant. Il allait de plus en plus vite avec des mouvements de langue plus insistants, Kakashi gémissait de plaisir.

- Iruka ...

Il leva la tête et vit le visage de Kakashi. Lui qui d'ordinaire n'enlève jamais son bandeau, cela lui faisait bizarre de voir son visage. C'était la première fois, car lors des baisers précédents, il ne faisait pas attention, trop absorbé par l'amour, la passion et toute les émotions qui accompagnaient ces baisers. Il le fixa quelques secondes, admira son visage. Une peau pâle, un joli nez parfaitement dessiné, de belles et fines lèvres et un beau sourire ... Le plus beau qu'il n'ait jamais vu.

- Arrête-toi, je vais ...

Sur ces mots, il se retira. Il remonta sur le lit au même niveau que son beau gris, et se blottit contre lui. Ils restèrent l'un contre l'autre plusieurs minutes. De longues minutes. Les meilleures minutes de leur vies.

Ça aurait pu se finir comme ça, mais Iruka en décida autrement.

- Kakashi ...

- Oui ?

- Tu ne voudrais pas que l'on aille ... comment dire ... plus loin, si tu vois ce que je veux dire ?

Kakashi voyait bien, mais lui qui d'habitude ne refusait jamais ce genre de proposition, hésita.

- Cela dépend de toi, si tu es prêt.

- Est-ce que ... est-ce que c'est douloureux ?

Le gris avait buté sur ce mot. "La douleur". Il en a trop fait les frais durant sa vie, et il sait à quel point c'est difficile de l'encaisser. Qu'elle soit physique ou mentale.

- Je ne sais pas, je n'ai jamais fais l'expérience, mais si tu décide de le faire, je promet d'y aller doucement, et de prendre toutes les précautions nécessaire pour que la douleur n'ai pas lieu d'être.

La tendresse dont Kakashi faisait preuve était surprenant, lui qui ne faisait pas dans la dentelle d'habitude. Iruka en était touché.

- Alors allons-y.

- Tu es vraiment sûr ? C'est ta première fois et ...

Iruka ne lui laissa pas le temps de finir, qu'il se mit sur le dos et écarta les jambes.

- Vas-y je te dis.

Le jônin ne se fit pas demander deux fois. Il commença tout d'abord par humidifier trois de ses doigts, puis inséra délicatement le premier dans l'intimité du uke (passif / dominé en japonais). Il fit une grimace de douleur, mais s'y habitua au bout de quelques secondes, éprouvant même un certain plaisir. Une fois que Kakashi vit que son brun s'était détendu, il décida d'enfourner un deuxième doigt. Celui-ci se fit tout seul, pas de douleur, juste du plaisir. Vint enfin le troisième. Celui-là, il l'a sentit passer. Une douleur vive qui au bout de quelques secondes s'estompa pour laisser place un un plaisir fou. Beaucoup de plaisir. Au point de lâcher un gémissement. C'était agréable. Que ce soit pour l'un ou pour l'autre. Une fois son orifice habitué, Kakashi prit son membre et le mit à l'entré de trou qu'il venait de dépuceler. Il attendait comme une signe approbateur de la part de son amant.

- Vas-y.

Il l'enfonça doucement. Mais malgré la plus grandes des délicatesses, le professeur poussa un cri de douleur qui se confirmait sur son visage. Kakashi ne bougea pas.

- Tant que tout ne me le dira pas, je resterai immobile.

Il fallu 20 bonnes secondes pour que le brun s'y habitue. Son amant commença donc les va et vient, doucement, lentement, avec une grande tendresse, à laquelle il rajouta quelques baisers, par-ci par-là, à des endroits aléatoires sur le corps de son bien aimé. C'étatit agréable. Le douleur de tout à l'heure à laissé place à du plaisir. Beaucoup de plaisir, alors que le seme n'insérait même pas tout son pénis. Si bien qu'Iruka commença à crier le nom de celui qui le prenait.

- Kakashi ... vas-y ... vas-y plus foooort !

Il le fit. Il enfourna l'intégralité de son membres, mit des coups de reins plus intenses, plus forts, plus rapides. Et Iruka, qu'est-ce-qu'il aimait ça ! Il adorait même. Il laissait sortir de grands cri d'extases, fermant les yeux, comme s'il était au septième ciel, ce qui encourageait Kakashi à aller toujours plus vite, toujours plus fort. Ils voudraient que ce moment soit éternel, les cris de plaisir d'Iruka et les gémissements de bonheur de Kakashi, et pourtant. Le beau gris tenu 5 minutes encore, puis tout ses muscles se raidirent, il poussa un grand cri et déversa son nectar dans l'orifice du jeune professeur. Il s'effondra ensuite sur lui, et là, ils ne dirent plus rien. Ils s'endormirent comme ça, l'un contre l'autre, jusqu'au petit matin.