Chapitre 4

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Cela faisait deux jours que je restais vingt quatre heure sur vingt quatre avec Sue. Elle venait tout juste de perdre son mari et ses deux enfants c'était volatilisé dans la nature.

J'étais tellement inquiète que je ne bouger pas de la maison de Clearwater. Bien sur mes parents m'avaient donné la permission de restait, car je leur avait seulement dit qu'Harry était mort et que Leah avait besoin de moi.

J'avais mal au dos depuis que je dormais sur le vieux canapé, non confortable de Sue. J'entendais Sue tout les soirs pleurais et le plus souvent je me levé la nuit car elle appelais Harry. Bien que sa ne soit pas vraiment mon rôle, j'aidais Sue du mieux que je pouvais... Après tous... C'est pour moi comme une seconde mère.

Seulement toute la journée elle cuisiné. J'ai jamais vue au temps de nourriture d'un coup. Elle appelais Leah et Seth au moins trois fois par heure, mais c'est dernier de répondait jamais.

Ce soir là, alors que Sue dormait depuis une heure, et pour la première fois calmement, la porte d'entrée s'ouvrit à la volets. Je reconnue les pas énervé de Leah. Alors que je me rapprochais, je la vis.

Elle était à présent, plus grande que moi d'aux moins une tête, elle était plus musclé et ne portait qu'un short et un débardeur pour seul vêtement alors que dehors il pleuvait à saut.


- Leah ! Ou était tu passer ? Ta mère et moi étions morte d'inquiétude, lui criais-je dessus.
- Tu n'as pas d'ordre à me donné pétasse, cria-t-elle aussi.


Je restais un moment sans savoir quoi dire... Qu'est-ce qu'il lui prenait ?


- Je... Quoi ? Mais qu'est-ce que ... ?


Sans que je ne mis attende, elle ferma la porte d'entrer qui était resté ouverte, et me poussa de toute sa force, qui avait décuplés... Enfin... Je crois... J'atterris sur le sol froid du salon.


- Je croyais que tu était ma meilleure amie mais tu n'est qu'une salope qui profite de moi ! Continua-t-elle criant de plus en plus fort.


J'entendis Sue descendre des escaliers précipitamment, courant presque.


- Qu'est-ce qu'il ce passe ? Leah ! Tu es rentrer ! Comment vas Seth ? Et toi ?
- Reste éloigner maman ! Et toi, dit-elle me pointant du doigt. Ne met plus jamais les pied ici tu as compris ?
- Leah ! Gronda Sue.
- Qu'est-ce que tu me reproche Leah ? Qu'est-ce que j'ai bien pu faire ? Demandais-je.
- Ce que tu as fait ? Tu me demande ce que tu as fait ? Mon frère, mon petit frère. Le seule que tu ne pouvais pas toucher  ! Et toi des que la première occasion ce présente tu couche avec !Et après tu te dit ma meilleure amie ! En faite t'es qu'une salope qui profite des autres !


Un silence de mort c'était installer dans la pièce. La tête baisser, toujours sur par terre, je sentais les larmes me montait aux yeux. On entendit quelqu'un rentrer dans l'habitacle à l'atmosphère trop lourde. Mes yeux c'étaient levé vers Leah. Je n'aurais pas du sont regard remplis de haine à mon égare me fit pâlir un peu plus. Ses membre tremblait de partout, on aurait dit qu'elle allait éclater. Je rebaissais la tête.

Seth venait de rentrer. Comment je le sais ? Simple. Mon coeur venait d'accélérée.

Je me levais doucement au bout de quelque minute, la tête toujours baissais, je contournais la famille Clearwater. Avant de lâchement partir en courant pour fuir. Fuir ma meilleure amie et son frère, dont j'étais tomber amoureuse.

Je courus le plus rapidement possible jusqu'à chez moi, les larmes ne pouvant s'arrêtais de coulé.

A peine la porte d'entrer de chez moi ouverte, que je vue, malgré les larmes qui me brouiller ma vue, mon père sur le canapé en train de regarder un match de Baseball et ma mère en train de repasser le linge.

Quand cette dernière releva la tête vers moi, elle vue les larmes qui perlait le long de mes joues. Alors que je la voyait ce rapprochais, je courus le plus vite possible dans ma chambre en fermant ma porte à verrous espérant que mon coeur ce remette doucement.

Le noir me submergea doucement, je partais. Loin... Loin de ce monde. Loin de la famille Clearwater. Loin de Seth.

Le lendemain.

Alors que je me réveillé, les joues tirés par les larmes qui avaient séché pendant la nuit. Je regardais le réveille 5 heures. Le soleil commençaient seulement à ce levé. Je me redressais sur mon lit fixant mon mur ou ce trouvait une photo de Leah et moi, lors de mon 10ème anniversaire.

Je me levais difficilement pris la photo dans mes mains avant de m'asseoir sur le sol de ma chambre dos au mur. Alors que je croyais mes larmes taris, je découvris qu'elle pouvait encore coulée. Je venais de perdre ma meilleure amie. Le garçon que je pensé aimé... Je ne peux pas l'aimé...

Quelqu'un frappa à la porte de ma chambre, je me relevé en vitesse essuyais en vitesse mes larmes avant d'ouvrir la porte.


- Comment tu te sens ma chérie ? Me demanda ma mère en rentrant dans ma chambre et fermant la porte derrière elle.
- Je... Sa pourrait aller mieux... Murmurais-je m'asseyant sur mon lit.
- J'ai quelque chose pour te remonter le morale, me sourit doucement ma mère s'asseyant à sont tour sur mon lit près de moi et me tendant une lettre. Bon je dois t'avouer que je l'ai ouvert pour regarder et que j'ai refait l'enveloppe après... Je pouvais pas attendre ! sourit-elle.
- C'est ... ? commençais-je.
- Ouvre ! S'impatienta ma mère.


J'ouvris en vitesse la lettre qui provenait de l'université d'art que je voulais faire qui ce trouvais à New York. Je lu la lettre en entier et ... Je suis ACCEPTER !

J'ouvris les yeux en grand. Je... Je suis accepter ! Mon Dieu !


- AH ! Criais-je contente en sautant dans les bras de ma mère. Il faut absolument que je le dise à Le...


Ma joie s'envola d'un coup. Leah...


- Je sais pas ce qui sais passer avec Leah, commença ma mère. Mais je suis sur que ça vas s'arranger.


Alors qu'elle sortait de ma chambre après avoir embrassé mon front, je murmurais : "je n'en suis pas si sur...".

Dans la lettre, c'était dit que je devais être à New York à la fin de cette semaine. Donc pendant les trois jours qu'il me restait à la Push je louer une chambre du pensionna de l'école, je m'achetais trois valise, préparer mes bagages, acheter tous ce qu'il me fallait pour l'université.

Une fois tous cela fait, je me rendis compte que je passais ma dernière journée à la Push. Ma réserve natale. Je regardais une dernière fois tous les endroits qui avait compter pour moi. La plage... La forêt... La primaire... Les falaises... et pour finir... La maison des Clearwater.

Même si elle m'avait interdit de remettre les pieds ici... Je devais lui dire.

Je frappais donc à la porte. La porte ne s'ouvrit que quelque minute après sur Sue. Elle me sourit tristement avant de me prendre dans ses bras et de me faire rentrer à l'intérieure.


- Leah et Seth ne sont pas là... Ils sont tous les deux chez Sam... Me dit gentillement Sue en me proposant un biscuit que je refusais poliment. Laisse un peu de temps à Leah elle te pardonnera. Tu es sa meilleure amie après tous.
- Seulement... Je n'ai pas le temps d'attendre... Soufflais-je.
- Pourquoi ? Me demanda-t-elle paniquer.
- Ne t'inquiète pas, rien de grave. Tu te souviens j'ai posté ma candidature pour l'université d'art à New York. Je... J'y suis accepter. Je pars ce soir, souriais-je tristement.


La porte d'entré claqua d'un coup et on vue par la fenêtre Seth courir vers la forêt en tremblant. Alors que j'allais me levé pour le suivre. Sue me prit la main.


- Laisse-le. Il est amoureux, il a besoin de temps pour t'oublier, me dit-elle en regardant douloureusement son fils partir.


Je baissais la tête et me rassis. Sue me fit la conversation une bonne partie de l'après midi, avant que je ne lui dise au revoir pour partir. Il était à présent 17 heures, je mettais deux heures pour atteindre l'aéroport, et je partais dans l'avion de 20 heures.

Leah n'était pas venue me voir. Pourtant je sentais qu'elle s'avait que je partais loin. Alors que j'aidais mon père à mettre mes valises, dans le taxi, j'entendis un hurlement de loup qui déchira mon coeur. Puis un autre qui hurlais aussi. J'avais l'impression que les deux loups me disaient au revoir à leur façon.

Je souris tristement avant d'embrasser mes parents et leur promettant que je serais bientôt de retours. Ma mère m'avait payer un ordinateur pour qu'on puisse ce voir par webcam. Ils allaient me manqué. Je montais dans le taxi et celui-ci démarra. M'emmenant vers mon université... Mon avenir.

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