troisième heure

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Ma sœur sortit un bandage mais avant que je put enlever le précédant pour pouvoir mettre le nouveau le petit louveteau me lécha. Il y avait un autre point où j'étais la meilleure dans ma famille mais c'était bien le seul autre : c'est savoir avoir ce que je veux. Je demanda à ma sœur de les garder avec nous même si elle n'accepta pas d'un coup je savais qu'elle accepterai donc je la pria et elle accepta.

-Et puis sa nous fera une défense de plus. s'exclama Éline.

J'était très contente mais maintenant il fallait reprendre la route, mais à peine on avait fait trois pas que je vis que le petit louveteau boitait donc je le pris dans mes bras et on continua la route. La forêt était de plus en plus sombre et la lumière de nos lampes n'éclairait presque plus rien donc on avançait très doucement. Je me sentais pas très bien j'avais un nœud dans la gorge mais sans doute parce que je sentais que ni ma sœur ni la petit famille qui nous accompagné me faisait confiance. Qu'elle que secondes après mon hypothèse ma sœur m'en assura:

-Tu es sur de la où on va car on dirait que c'est pas le bon chemin.

-Oui je sais où on va, on est dans la forêt du déplacement.Cette phrase était sortit toute seule et je ne savais même pas ce qu'elle voulais dire quand l'explication elle aussi sortit toute seule. La forêt de déplacement se trouve sur nôtre île et elle se déplace dans toute la ville et là on se rapproche du milieu, mais on est obligé de traverser le milieu pour en ressortir. Une fois qu'on est rentré dedans on ne peut pas ressortir  si on ne passe pas par le milieu.

Après cette explication qui était sortit toute seule ma sœur ne dit plus un mot pour une bonne demi heure de marche qu'on passa en silence, je me demanda même si elle avait entendu.mais apparemment oui car elle me lança une désagréable remarque qui devait lui avoir tourné dans la tête pour cette demi heure.

-Comment tu sais tout sa tu es devenu un génie ou sa se passe comment.

Je n'avais vraiment pas envie de rentrer en dispute avec ma sœur surtout quand il s'agissait de ressortir vivante d'une île. Donc je lui répondu par un câlin.

vingt quatre heures pour survivreOù les histoires vivent. Découvrez maintenant