cinquième heure

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On n'avançait pas beaucoup quand quelque chose commença à me chatouiller les pieds et je compris que plein d'insectes me montaient dessus alors je me mis à criait, depuis toute petite j'avais une phobie des insectes et quand ma soeur explosa de rire cela ne m'étonna pas. Mais je ne m'attendait pas à la suite. Quand elle fut calmé Eline me dit que c'était elle qui m'avait chatouillé avec de l'herbe. J'était à deux doigts de lui en mettre une dans le noire mais quelque chose m'en n'empêcha.

Un bruit sourd s'abattit à nos côté je pris plusieurs secondes à comprendre que c'était une pluie de bombe s'acharnant sur nous, je voulu m'éloigner sauf que nous étiômes au centre de l'attaque. Les bombes sifflait dans l'aire et atterrissait dans une grande explosion qui faisait vibrer le sol. On ne voyait pas les dégâts que cela cossé car on ne voyait même pas le bout de nos doigts. Mais Je sus que nous étions entouré d'un nuage de fumé très épais car la brume de poussière vint remplir mes poumons qui me brûlait et je me mis à tousser. Quant à ma soeur elle était allergique à la poussière donc Eline se mit à éternuer. La pluie cessa enfin mais la lumière transperça la forêt c'est là que je me rendis compte que les bombes avaient touché le centre de la forêt et avait donc détruit la grande et sombre forêt . 

Le jour me faisait un peu mal au yeux car ils s'étaient habitué à l'obscurité très sombre. Et je commençait à avoir chaud, il ne devait pas faire si chaud mais puis que dans la foret il faisait froid à en mourir sans les manteau de ma soeur on ne serrai pa ressortit vivant. Je donna alors la veste à ma soeur et elle rangea la mienne et la sienne dans son sac. Je m'aperçut que les loups n'était plus avec nous. Je m'imaginait toute sorte de chose qui pouvait leur être arrivait, ils pouvaient être mort ou toutes sortes de choses ma respiration était irrégulière, ma soeur s'en aperçut, j'aurai préféré qu'elle s'en aperçoivent pas car elle tait très gênante avec ses remarques désagréables, quand le petit louveteau et sa mère arrivèrent mais le père n'était pas là.

vingt quatre heures pour survivreOù les histoires vivent. Découvrez maintenant