sixième heures

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Ma soeur arrêta de me lancer ses désagréable remarque pour partager mon inquiétude qui me rendait malade. J'était cassement sûr que le loup était mort, sa faisait trois fois que ma soeur me disait que sa servait à rien d'attendre car il ne reviendrait pas. Mais je n'était pas décidé à partir quand quelque chose fit changer mon avis : Le haut parleur annonça que sa faisait six heures que le chronomètre était lancé. C'est alors que je dis à mas leur que c'était l'heure de partir. Nous étions dans un champs de blé les herbes était très haute et c'était désagréable dans les pieds. Les jambes me grattait de partout et mes jambes me brulait car je ne m'en était pas rendu compte mais on courrait, courrait, j'en pouvait plus j'avais soif et je n'avait même pas de force pour en demander à ma soeur quand ce qui devait arriver arriva je ne sentais plus mes jambes et je tomba au milieu du champs de blé je ne comprenait pas ce que les personnes autour de moi me disait je n'avait plus de force pour parler ou pour entendre, mais je pus distinguer le mot eau et là je parvint à dire oui, ma soeur sortit de son sac une bouteille d'eau, je n'avais pas la force de la prendre mais ma soeur était assez gentil pour me faire boire comme quand j'était petite ma Eline me donna ensuite du sucre pour me redonner de l'énergie puis nous repartîmes.

C'est à ce moment là que je me rendis compte qu'une coccinelle nous suivait depuis que la forêt avait disparu.Je l'observait faire, elle nous suivait comme si on était son seule seoir. Nous arrivâmes devant une marre de bout, je l'observait toujours quand soudain elle disparu comme de la magie ; mais quelque chose me surprit encore plus c'est que au milieu de la marre de bout se trouvait un chemin qui était apparu par magie je ne sais trop comment. Il était apparu comme la coccinelle avait disparu.

vingt quatre heures pour survivreOù les histoires vivent. Découvrez maintenant