quatrième heures

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Ma  sœur accepta le câlin et me proposa de faire une pose pour manger je n'était pas contre car c'est vraie que j'avais faim. Le haut parleur nous indiqua qu'il ne restait plus que vingt heures, le haut parleur était là que pour me stresser. Éline qui avait vraiment pensé à tout sortit tout le nécessaire pour un pic-nique de son sac rouge vif. Je m'assis sur un tapis bleu et blanc à carreau et pour la première fois qu'on était partit les larmes vinrent gagné mais joues sans doutes car sa me rappelait les pic-niques qu'on avait fait en famille  sur la colline qui fut détruite avant nôtre départ et qu'on n'en ferras sans doute plus. On mangea un bon repas et il y en avait même pour nos trois compagnons que j'avais presque oublié tellement qu'ils était sage, le plus petit pouvais même marché. Après qu'on ai mangé un repas et bu de l'eau nous étions près à repartir. On commença à ranger les gobelets et les assiettes en plastique que ma soeur avait pris. Une fois tous replié nous réprimer la route et comme on ne voyais que un gros point noir au loin j'indiqua à ma soeur que c'était le centre, aujourd'hui bien que ce soit un jour hors du commun ma soeur était toujours là pour me faire des critique: elle me lança

- Moi je le vois pas je ne vois que du noir là bas 

Sa ça voulais dire qu'elle ne m'avais pas écouté tout à l'heure quand je disait qu'au centre personne ne pouvais rien voir. J'avais l'impression d'être dans le film que maman et papa regardait hier il était en noir et blanc et là on ne voyait absolument que du noir et du blanc et encore... C'était plutôt un film en noir et noir ou alors en noir et gris. De penser à nos parents me faisait pleurer donc, je sortit de ma réflexion pour m'apercevoir que nous voyons plus rien du tout et qu'on ne voyait même pas le bout de ses doigts. Je compris alors qu'on était au centre du centre. Le centre ne faisait que dix mètre carré mais sa suffisait pour y rester toute sa vie et de ce que j'avais lu personne en était ressortit mais je n'en dit rien à ma soeur car j'avais peur de sa réaction.

vingt quatre heures pour survivreOù les histoires vivent. Découvrez maintenant