chapitre 17

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Merde merde merde, je cours à m'en faire mal aux jambes, je cours à m'en faire cracher mes poumons, je jette un coup d’œil par dessus mon épaule, le jeune homme que je croyais mon ami est à ma poursuite, ses ongles s'agrandissent, ses yeux rougis, je me baisse de justesse, ouf un peu plus et je perdais ma tête, putain je fais un roulé boulé et il fini par couper en 2 un tableau, représentant la mort qui en menais les âmes dans l'au-delà.
Les seules couleurs sont rouges et noires, sinistres. Il me rattrape, mais c'est bizarre que ce ne soit pas déjà le cas, j'avoue avoir dit que je pouvais me démerder sans l'aide de Harry mais moi je ne suis qu'un simple humain bordel !
Louis: Harry, rien, Harry, toujours rien, putain de bordel de chiotte Harry à l'aide
J'ai beau chercher de droite à gauche aucune trace de la moindre boucle de cette idiot qui était sensé se ramener dès que je l'appelle merde !
....: pourquoi tu cours ? Reviens là, je te promets de te tuer sur le coups
Louis : pourquoi fais tu ça ? Je croyais qu'on était amis !
....: pfou moi ami avec un simple humain, si tu savais le nombre de fois que je me suis retenu de te découper en rondelle et de te manger avec des petits oignons avec peut être des légumes pour la ligne !
Je grimaça à la divagation de ce blondinet
...: couche toi !! Me cria une voix que je connais que trop bien, je fis comme demander et me couchai, une ombre noire passa au dessus de moi, un combat commença, alors que moi, je reprends mes esprits, je gémis assez bruyamment et j'étouffais des jurons quand je me rendis compte que je m'étais mordu violemment la langue, le sang jaillissait dans ma bouche, je déteste le goût de mon sang, je crache une grosse giclée de sang par terre, c'est en entendant un cris que je repris pied dans la réalité, je regardai affoler au plus loin le cœur battant à cent mille à l'heure, mais, mon cœur s'arrêta quand je vis l'état de Harry, ses habits déchiré ici et là, le visage griffé, le sang coulant de ses plaies, un bleu sur le côté droit du menton, d'autre sur les côtés visibles par la déchirure de son haut, le genoux écorché, il se tenait bancale ment sur ses deux pieds, je couru jusqu'à lui avant qu'il ne s'effondre, en m approchant je remarquai un tas de cendre que je pense savoir qui c'est
Louis : Harry ça va ?!
Harry : j'ai...l'air....d'aller bien grommela t il
Louis : désolé je lui fis un petit sourire sanglant étant donné que je suis sur que mon sang à du coloré mes dents de rouge, Harry respirait mal, il mettait tellement de son poids que je m'effondrai au sol lui sur moi
Louis : Harry t'es lourd
Harry releva la tête à même pas deux centimètres de mon visage, mes yeux croisèrent les siens. On resta un moment à se fixer avant que Harry ne fonde sur mes lèvres, il entra directement sa langue dans ma bouche en la suçotant, puis, il passa sa langue sur mes dents enlevant par la même occasion toute trace de sang, il s'arracha à mes lèvres pour tracer un sillon mouillé jusqu'à la base de mon cou pour remonter un peu plus haut, il passa plusieurs coups de langue avant, que sans crier garde il me transperce la peau de ses canines coupantes, me faisant hoqueter de surprise mêler à de la douleur, douleur qui disparut directe après la première gorgé, la même chaleur habituelle, douce et la fois sauvage m'envahit, le même feu se répand dans mes veines, je passe mes mains dans son dos, je gémis et enfonce mes ongles dans ses épaules, inconsciemment j'écarte les cuisses et Harry en profite pour s'installer plus confortablement entre mes jambes. On grogna tous les deux quand nos deux membres qui commençaient doucement à durcir se frottent l'un sur l'autre, je longeai le corps musclé pour venir empoigner ses fesses, j'appuyais de sorte que nos deux corps se rapprochent plus, Harry continuait de me sucer le sang, je commençai alors à bouger d'avant en arrière sans vraiment m'en rende compte.
Louis : ha...HARRY arrête..tOI hmm putain !
Je plaçai mes mains sur son torse et effectua une poussé mais impossible de le bouger, au bout de quelques minutes je n'avais plus de force, je laissai tomber mes bras n'ayant plus la force de les lever, des étoiles dansaient devant mes yeux, puis petit à petit une tache noir grandit pour venir recouvrir ma vue entièrement, enfin, je me retrouvai dans un noir le plus complet.

Pourquoi moi (Corrigée, Terminée)Où les histoires vivent. Découvrez maintenant