guren

11 1 0
                                    

Gomen ne ato sukoshi
Anata no namae to nemurasete

Yori sotta sugishi hi wa 
Itami wo yorokobi ai
Ryoute ni utsushidasu
Anata wo omoi naiteiru

Soko ni furu kanashimi wa 
Shiranai mama de ii yo
Ansoku ni furue wo oboeta 
Tari yume wa nani wo miru ? 

Usurenaide anata yo 
Wazukana toiki wo kikasete hoshii
Chiisana kodou de naku
Anata yo koko made oide

Kawarenai yume ni tsuzuki ga aru nara
Douka togirezu ni... 
Koufuku to yobe nakute mo 
Oborete kasanaranu hibi wo

Usurenaide anata yo 
Wazukana toiki wo kikasete hoshii
Chiisana kodou de naku
Anata yo koko made oide

"Sukui no te sae mo aimai de
Byou kizemi no mayu wa ito wo 
Chigirezu ni haru ni naru"

Usurenaide anata yo
Wazukana toiki de kiite te hoshii
Chiisana kodou nomeni 
Kasurenu inori no todoke

Yobenu namae wo daite 
Yubiori kazoeru 
Asu wa kienai 

Mimi wo fusagi kiiteta 
Yurikago yureru oto
Torimodosenu haru ni 
Guren no hana ga saku

Excuse-moi après un moment
Je veux m'endormir avec ton nom

Les jours révolus nous ont laissé plus proches 
La douleur est assortie à l'amour
Les deux mains le reflètent 
Je pleure quand je pense à toi 

Il y a une pluie de tristesse 
C'est juste beau de rester inconnu 
Je tremble pour me reposer, je me suis rappelé 
Que veux-tu voir dans la bande de rêve ? 

Je ne veux pas que tu te fânes 
Je veux juste entendre un soupir 
Un petit battement de coeur qui n'est pas là 
Je veux que tu viennes ici ! 

Les rêves inchangés... S'ils continuent, 
S'il te plaît dans ton bonheur... 
Ne fais pas de pause même s'il faut crier
Souviens-toi des jours étincelants

Je ne veux pas que tu te fânes 
Je veux juste entendre un soupir
Un petit battement de coeur qui n'est pas là 
Je veux que tu viennes ici ! 

Même les mains du salut sont dans le flou 
Y aura-t-il un cocon à intervalles du second ? 
Sans la ficelle du déchirement 

Je ne veux pas que tu te fânes
Je veux entendre juste un soupir 
Un petit rythme du son du battement de coeur 
D'intouchables prières me parviennent 

Le nom qui ne peut être crié, je l'ai retenu 
En comptant avec mes doigts
Je ne veux pas que demain disparaisse 

Mes oreilles n'entendent pas
Le son d'un berceau bercé 
Le printemps ne reviendra pas
Une fleur rouge éclot

the gazetteOù les histoires vivent. Découvrez maintenant