chapitre 3

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Devant moi, au loin je vis cette espace plus étendu d'où j'étais arrivée, seul quelque arbres étaient présents. Leurs branches étaient aussi massives que leur tronc si bien que je me demandais encore comment il pouvait encore se tenir aussi droit . Les branches étaient tellement grandes que l'on aurait dit que ces arbres étaient en réalité des mains géantes sortant du sol pour nous nous attraper et nous engloutir avec elle dans les entrailles de la terre... Pas très joyeux me direz vous.
Un son étrange provenant de la créature se fit entendre, coeur si elle vomissait c'est écœurant et qu'elle seconde aprés, quelque gouttes d'un liquide verdâtre réussit à se poser sur mon bras. Je hurla de surprise et de douleur.
Putain ! Ce truc crachait de l'acide ! C'était pas suffisant d'avoir des crocs et une aura hypnotisante peut être ? Il fallait aussi que cette bestiole puisse me dissoudre si besoin ?
J'avais eut de la chance de ne pas avoir reçu la totalité de liquide mortelle. J'entendais encore le grésillement du sol se dissoudre par l'acide de la créatures.
Pendant les tous derniers mètres, je me jeta ( littéralement ) dans cette éspace d'herbe qui fut la premiére chose que je vis en me réveillant ici la premiére fois. le monstre bondit à son tour espérant faire de moi son déjeuner. Si je n'étais pas aussi terrifié je lui aurais avec plaisir expliqué qu'un Macdo serait toujours meilleur que ma chair mais bon... on fait ce que l'on peut.
J'avais rouler dans la clairiére et je m'étais royalement vautrée par terre. Une fois dans cette petit clairière, j'entendis le hurlement de la créature. le cris me traversa le corps comme des milliers de poignards, ma réspiration se coupa, je me roula en boule contre le sol. C'était tellement affreux que je priais pour que l'on me tue. On était forcément entrain de m'ouvrir le corps sans anesthésie, c'est pas possible autrement ! Je plantait mes ongles dans le sol en cria à mon tour comme si j'espérais pouvoir couvrir le siens. Ma voix était cependant et malheureusement inaudible face à la sienne.
Lorsque la torture pris fin, je releva difficilement la tête pour découvrir la bête couché sur le flanc aparament sans vie.
Je tenta de reprendre mon souffle malgré la crise de panique qui me prenait la gorge. C'était trop dur, je fonds en larme en réalisant que j'avais frôlé la mort. Je me mets à trembler, j'ai la tête qui tourne et mes pleures redoubles. Je me prends la tête à deux mains pour tenter de retrouver une respiration à peut près correct. Je me mets en position fœtal et je laisse mes pleurs glisser de mes yeux à mes joues.
C'est pas possible... Un truc comme ça ne peu pas exister ! Et pourtant, elle est là... sans vie à l'extérieur de la clairière. Elle allait me bouffer, rien que ça ! m'arracher les yeux lentement, lacérer mon corps de ses griffes ou ses crocs jusqu'à dévorer ma chair et laisser ma dépouille aux corbeaux.
Un hurlement d'injustice réussis à passer à travers ma gorge nouée.... Même pas quelque jours je suis là et je n'en peux déjà plus.
je ne voulais tout simplement jamais revivre ça... quite a me tuer moi même pour ça.
C'était à jamais gravé dans ma tête. Ça façon de me regarder jusqu'à la douleur que provoque son acide.
Je regarde mon bras, il est brulé à 3 endroits gros comme la trace d'un pouce. La douleur fait redoubler mes pleurs.
Aprés 5 bonnes minutes, je m'avance vers la chose inanimé. Elle était brûlé gravement par endroit on voyait même la chair degoulinante de sang sous ses écailles. Je tremblais comme pas possible, j'étais terrifié à l'idée qu'elle se retourne encore en vie. mais je m'approche pour observer l'une des causes qui pourrait justifier mon décès qui ne devrait pas tardé si il y en a d'autres comme celle là.
Hésitante, je touchai finalement les écailles de la créature qui se détachérent du corps sous mes yeux.
J'en pris une qui faisait bien la taille de ma main. Elle était épaisse et dur.
Je regarda la sortit qui même à la clairière et j'y lança l'écaille. Sous mes yeux grand ouvert, l'écaille s'electrifia avant de tomber en poussiére. Whaou ! Je me demande bien qui est ce qui paye l'électricité pour alimenter ces machins ! J'avais une seule façon de vivre pour l'instant... rester protégé dans l'enceinte de la clairière qui est sans aucun doute entouré de champs de force assez puissant en tout cas pour détruire ce genre de monstres sans soucis. Je ne me demandais même pas pourquoi j'avais put y passer, encore trop sonné pour me poser cette question ...
J'essuis les restes de larmes au coin de mes yeux et à ce moment, je compris que pour m'en sortir, l'erreur et le doute n'était pas permis.
J'etais simplement et véritablement passé ,sans en connaître la raison, de ma vie tranquille avec ma famille et mes amis... à une vie solitaire où la peur, des monstres assoiffé de mon sang, des créatures aussi bizarre les une que les autre ainsi que mes cauchemars étaient devenus ma vie quotidienne. On ne m'a pas demandé mon avis, on ne m'a donné aucune indications, aucune explications mis à part un seul mot d'ordre gravé dans ma tête qu'une voix inconnue me répétait en continu comme si je risquais de l'oublier ...
"Survivre"
Jamais je n'avais apporté autant d'importance à un seul mot qu'à celui là. Il décrit exactement ce que je fais. Je ne vis pas.... Je tente seulement de "rester" en vie.

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Hey !
Comment trouvez vous ce chapitre ?
Il est un peu plus cours que les autre c'est vrai mais je me rattraperai plus tard !
À dans un prochain chapitre

Vivre Pour Survivre [En Pause]Où les histoires vivent. Découvrez maintenant