Chapitre 10

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Je ne sais pas ce qu'il m'arrive en ce moment.
Hier "Ma mère" m'a encore battue.
Cette fois pour prétexte que je ne doit pas toucher à ses affaires, avec mes mains sales.

Et là, je lui ai tenue tête, elle allait m'en donner une.
-Tu oses relever ta main sur moi, cette fois ci je te jure, je ne te parlerais plus jamais, je te détesterais jusqu'à ma tombe.

Parce que là, je n'en peut plus, elle me gâche la vie, ne cesse de m'humilié.

D'ailleurs pour la fête des mères, je ne lui donnerais pas de cadeau parce que :
1-Elle n'est pas ma mère.
2-Elle ne le mérité pas.
3-Elle ne la jamais mérité.

Pourquoi je lui ferais ce cadeau, parce que si je le fais ça veut dire que je lui dit merci pour toute ces années de souffrance avec elle, pour les moments où elle m'a fait pleurer, quand j' essayais de mettre fin à ma vie à cause d'elle.

La remercier, pour tout ce malheur.

Celle qui mérite que je lui donne un cadeau, c'est plutôt "Elle" ma vrai mère.

Même si elle m'a abandonné je l'aime qu'en même, même si que je ne la connais pas.

C'est elle qui m'a mise au monde.
Même si que, je ne sais pas la raison pour laquelle elle a fait ça. 
Il y a beaucoup de raison.
Quand je "Lui" ai tenue tête. J'avais cette voix qui me disait:

Défends toi, ne la laisse pas te rabaissé, je suis avec toi.

J'avais cette force là.
C'est difficile à expliquer. Comme ci elle était avec moi.

Je sais... Je suis un peu folle.
Peut-être que j'ai juste besoin de sa présence, de ressentir ce que l'on ressent quand on a une maman.

Depuis que je sais "la vérité" je me pose certaines questions comme :
Est-ce qu'elle est en vie ? Si oui je lui ressemble ?

Quand "Elle" me bat à la fin je pleure mais cette fois je me suis promis de ne pas verser une seule larme et je l'ai fait.

Hier j'etais fatigué en rentrant de l'école.
-Lève toi on sort.
-je suis trop fatigué et je dois me préparer pour l'examen de demain.
-je te dis de te lever.
-Tu pars sans moi.

Elle va dans sa chambre pour prendre le fouet.

-Lève toi sale ingrate.
-Tu devrais plutôt inverser les rôles comme ça tu pourrais savoir qui de nous deux es l'ingrate.
-Ah... Tu veux jouer à ça..
En levant le fouet.
-Fais tout ce que tu veux je n'irai pas avec toi.
Je ne suis pas ta chienne et j'ai le droit de donner mon avis.
Tu a le droit de faire tout ce que tu veux mais sans moi.
Fais moi du chantage mais je ne céderais pas.

Elle me donne une gifle. Je tombe par terre.
-Bon je vais les appeler. (Ses complices.)
À chaque fois qu'elle me bat, elle dit toujours ça. Je vais les appeler. Ils ne savent ce qu'elle me fait. Elle inverse comme, elle dit que c'est moi qui l'injure.
Et "Eux" la croit.
Quand je dis "Eux" c'est sa famille.

Et elle revient avec son téléphone en main. Elle compose un #.

******
-Ey Marie comment vas-tu.
-....
Et elle s'est éloigné pour que je n'entends la conversation.

Pourquoi au fond de moi je sais qu'elle parle d'autre chose sauf moi.
Pendant qu'elle parlait au téléphone j'ai pu remarquer que je n'ai pas verser une seule larme.
Et j'en suis fière, je ne vais plus avoir peur d'une femme qui ne vaut rien, qui n'a pas de coeur.

J'ai un peu peur, mais petit à petit cette peur va disparaître pour laisser place au courage.

Elle revient.
-Tu me fais honte.
-.........
-Je t'ai expliqué que je dois aller chez ta tante pour régler des affaires.
-Suis-je concerné.
-........
-Et quand j'apporterais une mauvaise note à la maison.

Tu dirais que c'est de ma faute, que ne donne pas l'importance à mes etudes.
Tu dirais n'importe quoi, tant que c'est de ma faute.
C'est bien.

Et au final elle laisse tomber et est partie.
Dès qu'elle avait fermer la porte.
J'ai sauté de joie en disant:

Youpiii la sorcière est partie, je crois que je peux devenir une grande femme d'affaire qui ne se laisse pas marcher sur les pieds.

Elle ne mérite l'amour de personne, elle ne mérite que personne ai pitié d'elle.
D'ailleurs elle ne mérite d'être heureuse, elle mérite tout le malheur du monde.

Le Malheur Où les histoires vivent. Découvrez maintenant