(la chronique à commencée quand j'était un peu "bête", je sais qu'on ne comprend rien, trop d'emojis mais bon, c'tai avais bref bye)
Terminé. Abandonnée dans un pays musulman, grandis dans un pays qui n'est autre que le sien.
Vivre dans une cité, où...
Vous devez sûrement, vous dire comment j'ai fais pour coucher avec cet enfoiré de Yoann.
Quelques jours plus tôt.
- Déborah : Cest qui qui va venir ?
- Moi : Bah.. quelqu'un.
Yoann allait venir avec Shay. Mais vous savez que Yoann mais longuement fais des avances ? Au lycée, si je refusait de lui faire un bisou, il devenait "fou", il embrassade de forces, puis il me touchait le corps, hamdoullah il avait pas encore pris ma virginité..je ne vais vous sautez les détails hein.
- Moi : Bon vasy j'y vais. J'vais chez les darons.
- Déborah : Non reste un peu, allez j'ai regardée un film d'horreur et j'ai peur la..
J'suis restée à discuter un peu avec elle, et j'suis sortie.
Dehors, j'ai croisé Yoann et Shay, mains dans la mains.
Elle avait l'air tellement amoureuse..de ce putain d'ivoirien.
Elle voit rien à son jeu, il côtoie plusieurs filles..mais orrh.
...
J'étais dans la voiture de mon père, j'snapait.
Quand on toque violament sur la vitre de la voiture.
J'regarde et cetais cette enfoiré de Yoann. J'ai pas calculé, et j'me suis rencontrée sur mon tel. Sauf qu'il insistait vraiment, par peur qu'il casse la voiture de mon pere, alors j'ai ouvert.
- Yoann : Eeh vasy décale décale!
- Moi : Pff.
J'me suis décalée, côté passager.
- Yoann : Pourquoi tu parts ?
- Moi : Laisse moi, toi.
- Yoann : Tu comprends pas que je t'aime ?
- Moi : Mais j'en ai rien à faire ! J'aime déjà quelqu'un, et puis j'suis en couple !
Ce qui est totalement faux.
- Yoann : Grosse pute. Tu sais pas que tous ce que j'fais c'est pour toi, je t'aime ! J'ments à ta pute d'reuss, juste pour te voir. Putain tu comprends R toi !
- Moi : J'accepte pas tu vois ? Puis sort, de la voiture merde !
- Yoann : Ouais ? Ah ouais ? Bah t'sais quoi, grosse pute ! Capte comme tu t'habille pour moi, "j'suis en couple" nanani nanani. Ta vu, t'veut jouer avec moi enft. Ton je-
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(sans la casquette et le sac)
- Moi : N'impor-
- Yoann : JE PARLE ! Ta vu comment tes ? Cheveux bien fais et tout, position écartage de jambe, respiration forte et à la fois sexy, bouche ouverte. Tu vois tous ce que tu fais ? Bah t'sais quoi ? Moi j'profite.
J'ai à peine eu le temps de parler, qu'il avait déjà enlever ses habits, c'est que Yoann est très rapide dans ces gestes.
J'ai voulu crier en guise d'alerte, mais..il m'a mordu le coups archii fort.
Il a enlever mes habits, et comme on dis "il a abusé de moi".
Revenons au "présent"
A
lors ? Voici comment il m'a violée quoi. Mais enfaite comment mon père a su ?
Il a laisser une tache de "sauce blanche" sur le siège.
Et je n'avais pas remarqué.
Mais quand mon père a vu, il a de suite su que cetais moi.
Bref, actuellement je suis chez mes parents, et je ne sais quand je vais retourner dans "mon" appart.
...
Mon père était sortie avec Amina, il ne restais que ma mère.
- Maman : Hakiba..?
J'ai l'ai regardée tristement.
- Moi : Je sais ce que tu vas dire.."je suis déçu de toi je savais pas que tu pouvais faire ca" nanani nanana.
- Maman : Pourquoi as-tu fais ?
- Moi : J'ai rien fais du tout..
Mes yeux commençait à briller (d'ailleurs j'ai les yeux qui brillent moi)
- Maman : Hakiba..pourquoi tu t'es donner à cette homme ?
- Moi : Je me suis pas donnée à lui..
- Maman : Mais si..
- Moi : MAIS NON ! Maman crois moi, juste. Il est pas voulue..il est pas voulue..forcer..voulue..c'est tout !
Mes larmes tombait au fur et à mesure que je parlait, je suis montée sauf que maman ma attraper la main.
- Maman : Hakiba ? Écoute moi..je ne te vire pas de la famille, jamais je le ferais..écoute moi juste. C'est Allah qui a décider ce sort, que tu sois forcé ou pas..Allah en a décider.
Je pleurais silencisement, j'arrive pas à dire que je me suis faites violée par yo- sont prénoms m'éceurent.
- Maman : «Confie-toi donc à Allah. Allah aime en vérité, ceux qui lui font confiance». Confie-toi à lui tu verras..
Elle m'a sourie tristement, puis elle m'a chuchotée dans l'oreille «sourate al imran, verset 159».
Je l'ai regardée, puis je l'ai serrée dans mes bras.
