King Of Bikers - Théo Tome 2

chapitre 6

J'ai besoin de te voir

Théo

Cette fille me rend complètement marteau. Je savais dès ma première rencontre avec elle que cette fille était spéciale, envoutante. J'ai eu le cerveau retourné quand ce pompier s'est approché d'elle pour me l'enlever. C'est complétement irrationnel et je n'ai jamais ressenti une rage aussi folle alors que je connaissais à peine cette fille. Je n'avais qu'une envie ce jour-là, c'était de foutre mon poing dans sa tronche de gentil garçon. Puis j'ai oublié cette nana dans les bras de beaucoup d'autres, mais aujourd'hui c'est diffèrent elle envisage un plan cul « exclusif » avec moi. Rien que d'y penser j'ai envie de sauter sur ma bécane et d'aller la retrouver. Mais je suis parti comme un con sous prétexte qu'elle était trop longue à se changer. Putain mais quel connard je suis ! 

Quand je l'ai revu après deux mois, j'avais envie de la prendre mais l'endroit n'était pas très approprié. J'ai déjà baisé dans des lieux publics mais je ne suis pas sûr que ça plairais à Alice. Elle est tellement classe. Je me demande même ce qu'elle me trouve. Nous sommes si différents et pourtant nous sommes attirés comme des aimants quand on se voit. Je suis un mauvais garçon, c'est une fille bien, mais ce côté-là, à l'air de lui plaire alors je peux bien en profiter le temps qu'elle se rende compte qu'elle baise avec un branleur. C'est pour cela que je ne m'attache à aucunes femmes, elles finissent tous par me jeter un jour ou l'autre. Maintenant c'est moi qui les jettes parce que je suis comme ça, c'est à prendre ou à laisser. 

Depuis tout à l'heure Alice me chauffe avec ces messages, elle veut que je vienne la prendre j'en suis certain. Je l'ai vu dans ses yeux quand j'ai sonné chez elle tout à l'heure. Elle était déçue que nous allions nous balader alors qu'elle voulait que je la prenne dans toutes les pièces de sa jolie maison. Je n'ai pas répondu à son dernier message pour la simple et bonne raison que je tourne en rond depuis 5 minutes. J'ai envie d'y retourner et qu'elle me fasse voir son bel ensemble rouge. Ma queue aussi n'attend que ça, mais ma tête me demande si c'est raisonnable de courir après elle, alors qu'elle me connait à peine. J'ai peur qu'elle prenne peur ou au contraire qu'elle se fasse des idées. On dirait qu'elle est sur la même longueur d'onde mais j'ai souvent eu la surprise par le passé de mettre une femme dans mon lit et qu'elle se voyait déjà une bague à la main. Très peu pour moi et je tiens à ce que ce soit clair.

 Je ne peux plus attendre, elle m'obsède trop, j'ai envie de la voir jouir pour moi. Cette fois je veux sentir son corps nue sur moi, plus de vêtements entre nous et plus de baise à l'arrache. Par contre pour les fraises, nous jouerons une autre fois, je n'ai pas de temps à perdre au supermarché, j'ai envie de la retrouver le plus rapidement possible. J'enfile mon blouson, sort de mon appartement et me voilà de nouveau sur la route pour retrouver la jolie Alice.

Me voilà devant chez elle quelque minutes plus tard, j'ai hâte de la prendre, ma queue en frétille déjà. Je sonne à la porte et son regard surpris m'accueille. Je la pousse sans même qu'elle me dise d'entrer, puis je m'empare de sa jolie bouche. J'attrape ses cheveux pour me rapprocher le plus d'elle. Je veux être collé à elle. Je veux sentir sa peau contre la mienne, je veux tout d'elle, tout ce qu'elle me donnera. Ma langue entre dans sa bouche pour la goûter, elle est si bonne putain. J'ai envie de la croquer. Elle a un goût de vanille. Elle se laisse enfin aller à mon baiser qui n'en est que plus intense. Elle est douée, elle embrasse comme une déesse. Nos corps de frottent et se cherchent. Puis je ralentis mon baiser sans pour autant quitter son corps. Je pose mon front contre le sien. Nous sommes tous les deux hors d'haleine.

— Tu vois que je ne t'ai pas laissé en plan, lui dis-je haletant après notre baiser urgent.

— Tu as bien fait, dit-elle dans le même état que moi.

Je l'attire par la taille et l'embrasse de nouveau, je suis foutu je ne peux déjà plus me passer de sa belle bouche. De mon autre main je tire sur son chemisier pour apercevoir sa jolie dentelle. Ses seins sont magnifiquement galbés dans ce sous vêtement. J'embrasse sa poitrine juste sous son cou, elle s'étire la nuque pour que je puisse avoir un meilleur accès. Elle me rend dingue je ne peux plus attendre une seconde de plus sans toucher enfin à sa peau. Je pose les deux mains sur son chemisier et je tire d'un coup sec. Elle pousse un cri de surprise avant de poser ses yeux couleur chocolat dans mes yeux bleus. Elle en a envie autant que moi et elle me prend par la main pour m'emmener dans sa chambre. Elle retire enfin ma veste, tandis que je continue de lui dévorer sa jolie poitrine qui est maintenant offerte à moi. Tous nos gestes se font pressent et tous vole à travers la pièce. Une fois nos vêtements retirés, je prends quelques secondes afin d'admirer son bel ensemble rouge qui me fait fantasmer depuis tout à l'heure. Mon boxer se tend encore plus et je me sens à l'étroit sous ce tissu. Je le retire tandis qu'elle se mort la lèvre en me regardant. Ma queue est ravie d'être admirer de la sorte.

— Mets-toi à quatre pattes sur le lit je veux voir tes seins se balancer quand je te prendrais, lui ordonnais je.

Elle ne rechigne pas et obéit, son cul magnifique en l'air. Je me poste derrière elle, passe ma tête entre ses jambes et lui dévore sa jolie petite chatte. C'est une femme qui prend soin d'elle, elle est rasée comme j'aime, le fameux maillot brésilien. Elle se dandine et pousse de jolie cri qui me font bander comme un taureau, si elle continue je vais jouir rien qu'à la regarder prendre du plaisir. Sa mouille me remplie la bouche. Quand je la sens prête, je me redresse et enfile une capote. Elle pousse son joli cul sur ma queue pour me faire comprendre qu'elle est pressée que je rentre en elle. Je tiens ma queue et la pousse dans son vagin. Il est parfait, tendre, fait pour moi. Je ne m'attarde pas, notre besoin est trop violent. Je lui tiens les reins et la pilonne, ses reins se cambre et elle soutient mes mouvements. J'ai chaud, de plus en plus chaud, je vais bientôt me vider en elle, mais avant je veux être sûr qu'elle prenne son pied.

— Viens avec moi ma beauté...

— Plus vite Théo, s'il te plait.

Oui c'est ça ma belle, supplie moi, joui pour moi.

Je la redresse pour qu'elle vienne finir sur moi. Elle prend le dessus et j'adore ça, putain qu'est-ce qu'elle est douée, je prends ses seins et tire sur ses tétons. Elle cri si sensuellement qu'elle me fait jouir à mon tour, je m'empare de sa bouche et aspire les jolis sons qui franchissent la barrière de ses lèvres. Elle se retire rapidement de moi et se laisse tomber sur son lit. Je ne la prends pas dans mes bras et j'espère que la situation lui convient comme ça. Elle n'a pas l'air de s'en plaindre. Je m'allonge à mon tour à ses côtés, je lui prends un sein et la titille. Elle se laisse faire et me sourit. Je devrais partir comme je le fais avec toutes les autres mais je n'y arrive pas, mon corps ne coopère pas, je suis trop bien après cette baise revigorante et son lit et si douillet. Le temps qu'elle ne me fiche pas dehors ça me va. Puis l'idée me vient de faire ce qui était prévu au départ. Une séance photo, rien que tous les deux. C'est un joli modèle, j'ai même cru qu'elle était mannequin quand je l'ai vu. Elle pourrait faire carrière la dedans si elle le voulait. Grande et mince. Parfaite.

— Habille toi, je t'emmène.

Elle me sourit encore une fois, elle a l'air d'aimer cette idée. Nous cherchons nos vêtements, éparpillés partout dans sa chambre. C'est alors que je remarque que la décoration est sobre, très impersonnelle je dirais. Aucune photo n'est accroché ou posé dans un cadre. Chez moi au contraire, il y a des photos accrochées partout, même dans les toilettes. Plus que mon métier c'est une passion et comme je dis toujours à mon patron la photo est l'âme de nos reflets. Alors pourquoi n'en a tel pas ?