Ne crois jamais aux belles paroles.

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Je t'ai fais confiance, tu m'a trahi. Je t'ai cru, tu m'a menti. Je t'aimais, tu m'a trompé.

Je t'ai fais confiance alors que je n'aurais pas dû.
Je t'ai cru alors que je n'aurais pas dû.
Je t'ai aimé alors que je n'aurais pas dû.

Je ne te connaissais pas puis au fil du temps, je t'ai laissé entrer dans ma vie ainsi que dans mon coeur et tu as pris beaucoup de place. Trop de place même. Je te parlais, tu me répondais. Tu me parlais, je te répondais. Sa à duré longtemps comme sa. 5 mois. 5 PUTAIN DE MOIS durant lesquels je te faisais une confiance presque total.

Je dis presque car une infime partie, au fond de moi, me disais de me méfier de toi et de tes belles paroles. Mais j'ai préféré la faire taire, se qui m'a coûté cher. Ne crois jamais aux belles paroles, c'est ce que l'on m'a dit un jour, mais malheureusement, il étais trop tard. Le mal étais fais et tu es parti comme tu es venu, en me laissant seule avec ma douleur et mes sentiments. Car oui, maintenant je le dit, je t'aimais et je t'aime toujours. Je t'aimais de tout mon coeur et je pensais que c'était réciproque, que même si on ne c'était jamais vu, quelque chose étais possible, en tout cas, tu faisais tout pour que je le crois. Et sa à marché. Bravo, je te félicite, tu as réussi ton coup, tu m'a détruite alors que je t'ai confié toute ma vie ainsi que des choses que je n'ai jamais réussi à dire à qui que se soit.

J'aurais dû me douter que quelque chose clochait, que c'était trop beau pour m'arriver à MOI.
J'aurais dû me poser des questions, rester sur mes gardes, garder mes distances mais non, je n'ai rien fais de tout sa, au contraire, je t'ai laissé prendre de la place dans ma vie au point de m'étouffer. Chaque fois que je voyais que j'avais un message ou un snap de ta part, je sautais sur mon téléphone et regardais se que tu mettais. Je restais parfois longtemps à regarder ta photo avec ton doux visage, un visage d'ange. Voilà ce que je voyais en toi, un ange avec un visage d'ange. Mais non, tout sa, se n'étais qu'un masque. La vérité est beaucoup moins belle.

Je me suis attaché et je l'ai regretté. Je me laissais me faire marcher sur les pieds sans rien dire jusqu'à se jour, se jour où tu m'a laissé, se jour où, je me suis dit que peut être, si j'avais accepté se que tu m'avais demandé, tout sa ne serais pas arrivé. Mais pour combien de temps ? Combien de temps ? Sa aurais juste repousser le compte à rebours avant sur je ne découvre ta véritable personnalité et sa aurais sans doute été beaucoup plus dur à accepter.

Mais maintenant, il faut que j'avance et que je laisse cette histoire là où elle est, dans le passé. Jusqu'à maintenant je n'ai pas réussi, je me rappel chaque discutions, chaque message envoyés.
Je me rappelle la première fois que l'on c'est parlé, mais aussi la dernière fois, ainsi que le dernier message que j'ai eu de ta part, "Tu n'es qu'une pute a mes yeux, une pute parmis tant d'autres".
Se message, je ne l'oublierais jamais et dans un sens, c'est un mal pour un bien, de cette façon, je me rappelerais qu'il ne faut jamais accordé sa confiance à quelqu'un alors que cela nous paraît être le meilleur jour de notre vie.

Ne jamais oublier. C'est trois mots sont simple et pourtant si compliqué à la fois.
Je sais que je n'aurais plus jamais vraiment confiance en un garçon maintenant.
Et je me fais une promesse, jamais je n'oublierais se que tu m'a fais. M.

M. Une initiale. Un prénom. Une souffrance.

"Il ne faut jamais croire aux belles paroles, mieux vaut croire aux belles preuves. La confiance se gagne lorsque les promesses se tiennent".

Randbook d'une invisible.Où les histoires vivent. Découvrez maintenant