Ma vie de footballeuse//Olivier Giroud [TOME2] [TERMINÉE]

Chapitre 4

Vieille de match.

Vielle de match, de notre premier match de la coupe de monde.
Avec Antoine, rien ne s'est arranger, depuis tout le trajet et à l'hôtel, il ne m'a rien dit, rien fait..
Avec Olivier ?  C'est moins tendu, c'est même lui et mon frère qu'ont limite forcé pour que Didier me prenne. Au début il ne voulait pas par rapport à ma blessure de l'Euro. Il avait finalement accepté.
Mes rapports avec Antoine sont toujours autant catastrophiques.
Mon frère tout comme Olivier essayent d'arranger les choses mais c'est choses perdu.
Notre match c'était bien passé. On allait jouer demain à dix sept contre le Danemark.

Quatre heures cinquante sept, le vingt cinq juin.

J'étais dans ma chambre que je ne partage pas avec mon mari. Ça me fait assez bizarre on a toujours tout partagé ensemble. Faire une coupe du monde sans sa présence me rend nostalgique. Je devais arranger les choses !
J'imitie donc une perte de crampons pour l'approcher, c'est mon mari mais j'ai l'impression de le rencontrer.

"-Olivier ?
-Non Marine j'ai pas trouvé tes crampons !
-Viens dans ma chambre s'il te plaît.."

Il me suiva sans problème.

"-Que se passe t-il ?
-Je veux arranger les choses entre nous deux, t'es mon mari je t'aime, les enfants t'aiment, ils ont besoins de toi, j'ai besoins de toi..
-Marine.. tu sais que je t'aime mais c'est toi qu'à décidée de cette situation.
-T'avais qu'à à être plus ouvert d'esprit j'ai fais tout ma carrière à l'Arsenal je voulais changer voir d'autres horizons et je pensais que mon mari aurait pu être présent pour moi, tout aurait pu bien se passer Olivier..
-Je sais bien mais j'avais peur, peur que tu t'y plaise oui je sais c'est égoïste, peur que tu t'y plaise et que notre mariage tombe à l'eau avec la distance,  peur que tu m'aimes plus, peur de pleins de choses débiles mais j'avais peur.
-Viens pas là  {ouvrant mes bras}."

Je pris Olivier dans mes bras et l'embrassa. C'était un soulagement après tant de guerre entre nous deux. Je l'aimais je n'y pouvais rien, c'était le père de mes enfants. C'était MON mari. Une décharge dans mon ventre m'envahit.

"-Marine ?
-Oui chéri ?
-Je veux un autre enfant."

holà !
voici un petit chapitre avant celui du match de demain.