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Je suis dans le couloir de la vie. Parmi toutes ses portes, beaucoup sont fermés. Chacune est différente. Je ne sais pourquoi mais je me dirige toujours vers la même. Celle où une petite fille pleure devant. Elle déverse toute ça tristesse. Et même si je ne veux pas, une force inconnu guide mes pas vers cette jolie fleur en pleurs. J'ai tenté de lui parler, de lui demander la cause de sa tristesse mais elle ne fait que me regardé de ses yeux larmoyant avant de prendre peur et de se réfugier derrière la porte.Elle se cache dans cette pièce qui m'est inconnue. La porte est décoré de ses dessins. Elle est aussi abîmé par l'eau. Sûrement ses larmes. Quand je m'approche je lis alors les inscriptions. "Papa" reviens souvent. Il est la plupart du temps barrer ou à moitié effacer. Mais c'est en rentrant dans la pièce qu'une tristesse infinie me prend. Je laisse alors les larmes couler. J'ai mal. Mon cœur et mon corps saignent. Mais tête bourdonne. Je m'assois et pleure. Je pleure pour évacuer cette douleur qui me pèse. Quand je rouvre les yeux une flaque c'est formée à mes pieds. Je regarde mon reflet et m'aperçois que je suis devenue cette enfant que je tentais de consolé. Je sors de la chambre mais la douleur ne part pas. Je recommence à pleurer devant cette porte maudite. 

Confession d'un soirOù les histoires vivent. Découvrez maintenant