Agent Spéciale 2.

Chapitre 44.

PDV Ethan.

Ma mère dort paisiblement sur le lit, il y a eu plus de peur que de mal.
Les premières sutures n'avaient pas tenu et elle nous l'avait cacher. Je pense qu'elle espérait que ça se refermerait en mettant des pansements dessus.
Quand elle a sauté dans l'eau, ça a du se réouvrir, en même temps elle devait se reposer mais elle fait tout le contraire, comme d'habitude.

Au final, elle a été recousu et on attend qu'elle se réveille. Maxime, mon père et moi sommes réveillés et nous attendons encore et toujours. J'ai prévenu les autres, qui sont rentrés, qu'elle allait bien et qu'elle resterait sûrement quelques jours à l'hôpital.

-Merci d'avoir été la Papa. Dis-je en lui souriant.

-J'ai fait ce que je devais faire. Je ne pouvais pas faire comme si tout allait bien. Répond-il.

-Tu sais, je n'étais pas sensé le dire à toi ou à quelqu'un d'autre, mais elle avait tout prévu dans sa tête pour se jour la, elle avait plusieurs plans, toutes les réactions possibles et imaginable. Maman m'avait confié que si ça n'aurait pas été comme prévu elle repartirait a Miami, que Sarah resterait la pour finir ses études, que moi je ferrais ce que je voulais et que Maxime repartirait avec elle. Maman m'a aussi dit que si tu ne serais pas heureux de la retrouver, elle ne le supporterait pas, elle a beaucoup douter si elle devait revenir ou pas. Racontais-je.

-C'est vrai, même devant la porte à Noël elle voulait faire demi tour. Tu n'es pas au courant non plus mais, elle m'a proposé de partir, de fuir, que sa famille serait plus heureuse sans elle. Mélanie m'a dit que sa famille la croyait morte depuis trop longtemps pour leur faire un coup comme ça, c'est limite elle pleurait pas. J'étais mal pour elle, je l'ai soutenu, je voulais qu'elle retrouve sa famille. Ta mère m'a t'en aidé, c'est pour ça qu'il fallait que je fasse quelques choses pour elle, j'aurais préféré que mes parents me croit mort plutôt qu'il me jète à la rue en disant qu'ils n'ont jamais eu d'enfants. Poursuit Maxime.

-Je sais tout ça les garçons, mais c'est compliquer. Je ne peux pas lui pardonner comme ça du jour au lendemain, j'ai appris que ma femme était morte, que la mère de mes enfants ne rentreraient pas ce soir la ni aucun autre soir. J'ai du préparer son enterrement que j'ai refuser de faire le temps qu'on ne retrouverait pas son corps, finalement on a fait une cérémonie pour elle, tout le monde à pleurer et moi aussi. Je suis resté enfermer dans ma chambre en buvant, en vous laissant seul pendant trop longtemps. Aujourd'hui, je m'en veux beaucoup parce que vous aviez aussi besoin de moi comme j'avais besoin de vous, mais comme toujours je n'ai pensé qu'à moi, je pensais que je souffrais le plus, mais je me trompais. Mais ce qui me réconforte c'est que tu n'es pas mal tourné loin de la, tu lui ressemble tellement, même un peu trop sur certain point. Confit mon père.

-Je sais très bien que tu ne peux pas lui pardonner du jour au lendemain mais essaye de faire des efforts alors. Ça va faire plusieurs jours que tu ne lui parle plus, que tu l'évites. Elle voulait te parler mais vu que toi tu ne voulais pas, elle n'a pas osé. M'énervais-je.

-A nouvel an, j'ai voulu aller lui parler. Mais à un moment j'ai entendu le nom de Sergio, et j'ai péter un plomb. Je me suis dit qu'elle m'avait remplacer la bas et qu'elle n'avait même pas pensé à moi. Du coup, mon cerveau c'est embrouillé, je n'écoutais plus rien et j'ai bu.

-Si tu aurais écouter plus loin, tu aurais su que Sergio a déjà une famille et que c'était un ami, il nous à aider à rentrer. Elle ne pensait qu'à toi, elle ne le disait pas mais je la connais et c'était évident. Franchement des fois tu es désespérant.

-Tu n'as pas à me parler comme tu le fais. Je suis quand même ton père!

-Mon père qui a été absent quand on avait le plus besoin de lui, j'ai dû m'occuper de Sarah, alors que moi aussi je souffrais, tout le monde souffrait. J'ai même parfois du m'occuper de toi tellement tu étais bourré. J'ai fait ton rôle pendant trop longtemps.