Scott : Tu n'aurai jamais dû te mettre avec lui. Il me dégoûte... Il a laissé son père te frapper sans réagir... Excuse-moi Rebekah
Rebekah : Non tu as raison... Kol est un abruti.
J'écoute Rebekah et Scott discuter. Ça fait un jour que je suis là et ils sont venus me voir. Je suis contente d'avoir des gens sur qui comptez en attendant que ça passe. Scott m'a apporté à manger mais je n'ai pas faim si ce n'est de justice. Le spécialiste a relevé mes empreintes et j'attend qu'on m'annonce que Damon que ce ne sont pas mes empreintes. Il vient le faire sortir. Je me suis dit qu'il allait me libérer mais il m'a emmener dans la salle où l'on interroge les suspect.
Damon : Pourquoi tu as tué ce gosse ?
Marianne : Je ne l'ai pas tué
Damon : Je vais être plus clair, pourquoi tu as tué ce gosse ?
Marianne : Je n'ai plus tué Henrik ! Dans quelle langue je dois le dire ?!
Damon : Okay on se calme, juste une dernière question. Pourquoi tu as tué ce gosse
Je lui lance un regard noir.
Damon : Tes empreintes ont été retrouvé sur le couteau.
Marianne : C'est impossible. Je ne l'ai pas tué... Je n'ai pas touchée de couteau hier soir
Damon : Tu ferai mieux de coopérer. C'est une famille puissante. Ça va pas être tendre sauf si je tu coopères...
Liz arrive
Liz : La bonne vient d'avouer qu'elle t'as vu monter avant la panne.
Marianne : C'est impossible
Liz : Ils ont porté plainte contre toi pour meurtre.
Marianne : Je venais jouer chez vous quand j'étais petite Liz. J'allais à l'école avec Caroline. Vous croyez réellement que j'ai pu tuer quelqu'un ?
Liz : ce n'est pas sur ce que je crois que le juge s'appuiera mais bel et bien sur des faits...
Marianne : très bien...
On me ramène en cellule, j'explique la situation à Bexs et Scott... je vais être jugé.
Rebekah : je vais essayer de convaincre ma famille de retirer la plainte
Scott : ils ne voudront pas. Je vais prévenir maman.
J'hoche la tête. Il sort appeler notre mère. Je prend la main de Rebekah
Marianne : Je vais aller en prison.
Rebekah : Pas question. Tu n'as rien fait... Klaus non plus ne croit pas que tu soit coupable et il est d'accord pour te défendre. Tu aurais du voir mes parents, ils étaient à la limite de la crise cardiaque
Elle essaye de me faire sourire alors qu'elle même retiens ses larmes.
Marianne : Je veux voir Kol... S'il-te-plait.
Rebekah : Kol... Mes parents lui ont fait un lavage de cerveau et il croit que...
Marianne : Je n'ai tué personne je te le jure.
Rebekah : Je sais.
Elle me prend dans ses bras et la me sers fort
Rebekah : J'ai perdu mon frère. Et c'est hors de question que je perde ma sœur aussi
Je pleure dans ses bras. Au même moment je vois Liz venir.
Liz : Elle est ici.
Le shérif ouvre ma cellule, Rebekah me fait un clin d'œil. J'esquisse un sourire. Kol a enfin compris que je ne l'avais pas tué.
Beks : J'y vais.
Il reste debout et me regarde, mon frère m'a apporté des vêtements plus confortable. Je ne suis plus en robe mais j'ai désormais un jogging et un haut. Il me fixe
Kol : Pourquoi ?
Marianne : Quoi ?!
Kol : J'aurai pu t'offrir tout ce que tu désirais... Tu jouais la désintéressée et pourtant tu n'as pas cessé de n'en vouloir qu'à mon argent. Tu te disais que tu pourrais encore en avoir en vendant les bijoux de ma mère ?... Je croyais que t'étais une bonne personne Marianne. Je me suis trompé et je m'en voudrai éternellement. C'est ma faute si Henrik est mort et... Je n'arrive pas à le croire. Tu t'es bien fichu de moi... Voilà ce que j'ai récolté à faire rentrer une fille comme toi dans ma vie.
Je n'ai pas osé parler tout le long de son peech j'ai commencé à pleurer.
Marianne : Comment tu peux penser ça de moi ?!...
Je n'ai pas le temps de continuer que Scott arrive accompagné de ma mère et je crois qu'ils ont entendu
Scott : D'où tu parles à ma sœur comme ça toi ? Tu te prend pour qui ?
Kol : Pour le garçon qui a fait l'erreur de tomber amoureux d'elle.
Il appelle le policier, il vient ouvrir, Kol me lance un regard haineux et s'en va. Ma mère entre et me prend dans ses bras. Elle pleure et me demande de tout lui raconter, ce que je fais
Maman : Tu sais ce que je pense de tout ça.
Ce soir là j'ai compris que mon amour pour Kol était toxique. Qu'il m'avait mené dans cette cellule froide. J'ai compris que j'aurai dû écouter ma famille quand il m'avait dit de prendre garde de ce gosse de riche qui jouait avec moi.
Ce soir là j'ai compris que je n'aurai jamais du sortir avec lui.
Marianne : Oui... Vous aviez raison. Je n'aurai jamais dû me mettre avec Kol.
~Qu'on soit riche, pauvre, de gauche, de droite, du centre ou de nulle part. L'amour traverse n'importe quelle barrières.