Anecdotes scolaires

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Il fallait absolument que je sorte cet article aujourd'hui, et comme j'ai presque pas bossé dessus bah j'ai...presque rien à dire à part cette introduction digne d'une histoire bâclée et deux ou trois anecdotes scolaires, donc c'est parti !

Numéro un : Une fois j'étais en cours d'anglais, on devait écouter des phrases et savoir de quoi ça parlait, basique.

Je sais plus comment on est arrivé à parler du port de l'uniforme scolaire, mais tout ça pour dire que mon voisin de banc (appelons Monsieur Slip, vous comprendrez bientôt où je veux en venir) insinua que ça serait tellement cool si les filles devaient se rendre en classe affublées d'une mini-jupe. Et c'est à ce moment que je sors la phrase "Est-ce que tu as déjà essayé de porter une minijupe ?", je renchérit en précisant que c'est hyper inconfortable.

Numéro deux : J'ai la phobie des cours de maths, dès que je vois un cahier d'exercices, que ça soit avec de la géométrie ou encore de l'arithmétique, je sens cette vague de malaise intense qui envahit mon petit corps frêle et tremblant. La panique m'envahit et le stress commence à s'installer. Je ne suis jamais à l'aise avec les prof' de maths, je pense que ça remonte à mes premières années d'école.

Numéro trois : Durant un inter cours, ou la récré', je ne me rappelle plus très bien, Monsieur Slip, un autre type et moi même se tenaient devant une porte, puis un groupe de filles arrive.

Elles étaient en robes un peu légères et Monsieur Slip me fit remarquer qu'elles avaient chacune leur mobile lové dans leur poitrine et me demanda pourquoi. Je lui répondit que je n'en savais rien, peut-être que c'était par ce qu'elles n'avaient pas de poches sur elles, " Bah c'est peut-être pour garder au chaud leur téléphone, comme ça après (je n'ai pas du tout compris le reste de sa phrase, du coup je passe)".

C'est alors qu'il me proposa d'aller leur demander puisque je ne savais pas, j'ai décliné, et quand elles sont revenues Monsieur Slip leur demanda pourquoi elles avaient placé leur mobile à cet endroit. Naturellement, elles l'envoya voir ailleurs.

Numéro quatre : une fois je jouais avec du fil de fer, je l'avais récupéré à partir d'un vieux carnet de notes, bon c'était un peu c* mais je voulais m'en faire un collier parce-que je trouvais ça joli.

Bah j'aurais pas dû, des élèves ont appelé des adultes par ce qu'ils pensaient que je voulais m'étrangler avec, et en plein milieu du cours on m'a appelé pour me dire que "mes petits camarades s'inquiétaient pour moi et que si jamais j'avais un problème je ne devais surtout pas hésiter à les appeler".

Voilà, j'en dis pas plus. Merci d'avoir lu jusqu'au bout !

Paroles d'Autiste (archivé)Où les histoires vivent. Découvrez maintenant