Il vous est déjà arrivé que un jour dans votre vie vous commencez votre journée en vous sentant invincible, et que donc vous vous dites que vous pouvez vous permettre de lézardé un peu. Sauf que dès le moment ou vous avez commencé à vous dire ça, le monde a commencé à vouloir vous montrer à qu'elle point votre conduite n'est clairement pas celle qui faut adopter en vous faisant enchaîner catastrophe sur catastrophe. Surtout que chaque fois qu'il vous en arrive une et que dans le même moment une autre vous pendais au nez, la seule réflexion qui vous semble intelligente à ce moment c'est « ça peut pas être pire ».
Non mais sérieusement, on à tous vu assez de films, séries romans ou BD ou chaque fois qu'un personnage sort cette phrase infâme, il arrive justement pire. Et pourtant, pour une raison inexplicable, on ne peut pas s'empêcher de dire cette phrase. Et c'est la raison pour laquelle je l'ai regretté le moment ou je le dis lorsque l'on était dans la voiture.
Mais ce que je trouvais vraiment ironique dans toute cette histoire, c'est que cette enchaînement de malédiction n'arrivait pas à n'importe qui. Non ! Elle m'arrivait à moi ! Celui qui était sensé régir sur la chance, le destin. Celui qui donnait des punitions et accordait plus de bénéfice au méritant, je n'étais pas sensé recevoir ces punitions. J'étais le contrôleur de l'un des pouvoirs les plus puissant au monde, le Karma quoi ! Et pourtant j'étais là assis à la banquette arrière, en route vers le commissariat pour un crime que je n'avais pas commis et dont je n'en connaissais même pas l'intrigue.
Je commençais vraiment à me demander si je ne devrais pas changer de pouvoir divins par ce que clairement, si ça continuait, j'allais finir enterré vivant ou pire.
Mais en y réfléchissant bien, il est théoriquement impossible pour le Karma de se retrouver dans des ennuis comme ça. Ça voulait donc dire que j'étais vraiment nul pour régir dessus. La vérité même dans ma propre tête; faisait extrêmement mal à entendre.
Je me posais soudain la question de pourquoi l'ancien propriétaire de mes pouvoirs me les avaient justement donné ? Avait-il fini par se rendre compte de la malédiction de ses pouvoirs? Même si c'était le cas, il restait la preuve vivante -façon de parler- que l'on pouvait vivre longtemps avec ces pouvoirs. Mais il était évident que je me faisais juste des films et que me voilais la face.
-Je vous conseil d'avouer directement, lorsque l'on sera arrivé au commissariat, me dit soudain le lieutenant Sarre interrompant par la même occasion et avec soulagement mes pensées tortueuses. Ça nous évitera plein de problème.
-Vous savez, rétorquais-je un peu ennuyé par cette journée sans queue ni tête, si ça me permettait d'avoir la paix, j'aurais été prêt à avouer pour ce meurtre que je n'ai pas commis. Par ce que là, j'en ai vraiment marre. Malheureusement, je n'ai tuer personne et je n'aime pas mentir, et même si je disais l'avoir tué, ça ne se terminerait pas simplement comme ça. Le fait qu'il y ai au moins trois divinités dans cette affaire, prouve qu'elle dépasse l'histoire d'un simple meurtre.
-Vous pourrez nous expliquer ça lorsque l'on sera arrivé, je serais vraiment très curieux de savoir ce que vous aller inventer cette fois.
Il devenait claire que mister Hollywood ne me croirait pas, et vu ce que j'avais pu voir de sa capitaine, pour la convaincre ça allait trois fois plus dure.
Lorsque l'on s'arrêta à un feu rouge, il se tourna vers moi et commença à me sermonner :
-Tu sais je connais les gens comme toi. On en a eu plein ces dernières années. Vous croyez qu'il suffit de tuer quelqu'un et ensuite vous portez la faute sur les divinités, et comme elles ne nous considèrent pas assez elles n'interviendrons pas pour réfuter. Qui plus est, personne n'irait mettre en prison une divinité. Le problème c'est que vos conneries nui à leur réputation et à ceux qui sont associé à eux. Et ça crée plus de tension qu'il n'y en déjà entre les humains et les divinités. Mais vous, vous vous en fichez n'est-ce pas ? Tout ce qui vous intéresse, c'est de sauver votre petite personne hein ? Même si ça signifie détruire la vie de certains, tant que vous allez bien tout vas bien. Par ce que oui, les divinités ne seront jamais touché, mais ces divinités ont des croyants, des fidèles. Plus la réputation de leur divinités sera terni, plus les gens autour d'eux leur mèneront la vie dure parce qu'eux ; ils peuvent être touché. Et ça, ça ne vous aie jamais venu à l'esprit. Pourquoi ? À cause de votre égoïsme. Alors je vous conseil de bien réfléchir pendant le reste du trajet, et j'espère que lorsque l'on sera arrivé vous ne vous défilerez pas. Car soyez sûr que même si vous ne avouez pas, on trouvera assez de preuve pour que vous ne revoyez jamais la lumière du jour.
Ce discours était vraiment digne d'une réplique d'Hollywood, il était vraiment fait pour ça. J'ai même cru pendant un instant que j'étais vraiment le tueur.
Un tel charisme n'avait rien à faire dans la police, il aurait du être politicien, il gâchait son talent à arrêter les criminels.
-Pourquoi êtes vous si sûr que je suis le tueur ? demandais-je cherchant désespéramment à savoir d'où venait cette haine. Et ne me dite pas que c'est juste par ce que je connaissais Marie.
Il resta silencieux un moment, sûrement pour savoir si je méritais un autre de ces discours si inspirants. Puis il me regarda dans les yeux à travers son rétroviseur :
-Vous savez, commença-t-il en parlant lentement comme s'il cherchait ces mots, vous êtes vraiment bizarre. Vous n'avez pas le profil type de l'innocent : vous ne stressez pas comme lorsque l'on était dans la salle d'interrogatoire, vous ne n'essayez pas désespérément de me convaincre que vous êtes innocent, et vous pensez clairement à autre chose que le fait que vous risquez d'aller en prison. Ce qui est bizarre étant donné que même un coupable jouerait les innocents, surtout dans cette situation. Mais avec vous on a presque l'impression que ça ne vous ne touche pas, que vous n'êtes pas concerné. Attitude que j'aurai pu comprendre si vous aviez abandonné toute idée de vous défendre, mais ce n'est pas le cas. Ce qui me fait demander, quel est votre but ?
Ces policiers avait cette façon étrange prendre ses distance avec vous. Passant du tutoiement au vouvoiement à une vitesse éclaire.
-Donc vous comptez répondre à ma question, par une autre question ?
Aucune réponse.
-Très bien, soupirais-je. Je vous l'ai déjà dit, je veux juste attraper celui qui c'est fait passer pour moi et savoir pourquoi autant de divinités ont été impliqué dans une simple affaire d'enlèvement qui c'est transformé en affaire de meurtre.
Silence de cinq minute, quand :
-Qu'est-ce qu'il y avait d'écrit dans la lettre ? Demanda-t-il d'un coup.
-Quelqu'un, répondis-je ennuyer qu'il ne parle que quand ça l'arrangeait, sûrement le même dieu me dit de le rejoindre au pied de l'obélisque demain à midi.
-Ça veut donc dire que l'on ne peut pas te mettre en prison tout de suite. Très intelligent.
Oui je confirme, il était vraiment impossible de le convaincre. Il ne me restait plus qu'à espérer que j'arrive à les convaincre grâce à la divinité qui se pointera demain. Et je voulais que ça marche, j'avais besoin d'un peut de chance avant qu'on me les confisques. Je sortie donc une pièce tant bien que mal de la poche de mon jean puis la lançait tout en entrant sur le plan karmatique. Malheureusement, la pièce que je sortis n'était que vingt centime, je ne pu prendre qu'un petit fil du Destin et lui ordonnait de me faire rencontrer la divinité à l'heure prévu. Je sortie ensuite une autre pièce en essayant de ne pas me faire prendre par le lieutenant, puis ordonnais le fil du Destin de mettre la chance de mon coté. Je refis cette action cinq fois au moins pour être bien sûr que tout ce passerai bien. Mais ça voulait dire que je payerais cinq fois plus chère plus tard.
Mes préparations terminé, il ne me restait plus qu'à affronter le commissariat, qui serait sans aucun doute une terrible épreuve. En attendant et puisque j'étais déjà sur le plan karmatique, rien ne m'empêchait de regarder un peu le karma de notre lieutenant et découvrir quelques uns de ces petits secrets.
Étonnement, son karma était à peu près équilibré, même si, il avait apparemment fait plus de mal que de bien. Mais ses bonnes actions bien qu'il en ai fait très peu dans toute sa vie, arrivaient presque à concurrencer ses mauvaises actions. Qui elles étaient nombreuses. Et c'était elles qui m'intéressaient.
La première pièce que je lançais me fit voir une chose inintéressante : lui en train de piquer de la nourriture dans le plateau de son capitaine pendant qu'elle regardait ailleurs. La deuxième fois, je le vis dans ce qui semblait être une salle de médecin légiste, là ou les corps étaient déposé et stocker. Il donnait l'impression de ne pas vouloir se faire attraper car il ne cessait jeter des regard à la seule porte qui donnait sur cette pièce. Il s'avança vers les espèce de coffre ou reposait les corps, pris l'étiquette qui était sur celui de gauche, et le mis à droite. Puis pris l'étiquette initial de droite, et le plaça sur le coffre du haut. Puis enfin pris l'étiquette du haut et le mis dans sa poche et partie avec hâte.
Apparemment notre lieutenant d'Hollywood couvrait quelqu'un, ou faisait dans le trafic de corps humains. Je pense que la première solution était la plus probable, mais je gardais ma deuxième idée au cas ou.
Mais dans tout les cas on pouvait dire que le lieutenant Sarre n'était pas tout blanc du tout. Je n'en attendais pas moins d'un acteur de Hollywood. Mais est-ce que ça voulait dire que si je dévoilais des informations compromettantes sur lui, il allait me faire disparaître et ensuite couvrir ses traces ?...
-Dites moi, dis-je d'une voix mal assuré, vous m'emmenez bien au commissariat hein ? Sans détour ni rien, on est d'accord ?
-Oui bien sûr, me répondit-il en fronçant les sourcils. Vous êtes à ce point là excité d'aller en prison ?
Aussi étonnant que cela puisse paraître, oui. Et c'était en partie de votre faute je vous signal.
Bien sûr, ça ne lui aurai pas venu à l'esprit un instant. On parlait quand même de mister Hollywood.
Mais au moins j'étais presque certain que je ne mourrais pas avant d'avoir atteint le commissariat.
-J'espère juste que tout ça finira le plus vite possible, murmurais-je.
-On sait tout les deux comment tu peux contribuer pour que ça se passe plus rapidement, me répondit-il.
Quelque chose qui n'arrivera certainement pas.
Après un trajet qui me sembla extrêmement long ( sûrement à cause du fait que je connaissais le secret de notre Dr Jekyll) et stressant, on fini par arriver au commissariat.
Dès le moment ou le lieutenant Sarre arrêta sa voiture de police, je sautais presque hors de la voiture. Mes mouvements étaient tellement brusque et précipité, que Sarre cru au début que je voulais m'enfuir et tenta un moment de m'arrêter jusqu'à ce qu'il voit que je me dirigeais vers le commissariat. Il m'emboîta le pas juste après en ne manquant pas de me lancer un regard étrange.
Dès que je franchi les portiques de sécurités, je me dirigeais directement vers l'endroit ou on m'avait fait passer un interrogatoire serré.
Chaque fois que je passais devant un agent de police, il me jetais un regard vraiment, particulier. Il devait sûrement se demander pourquoi un prisonnier se dépêchait d'entrer dans un commissariat de police au lieu d'essayer d'en sortir. Le seul fait d'y penser me mis un sourire au lèvre, mais ça ne me calma pas pour autant.
En tournant la tête je vis que le lieutenant faisait de son mieux pour me suivre.
-Dite-moi, questionna-t-il, pourquoi êtes-vous si impatient de vous retrouver derrière les barreaux ?
Cette seule déclaration fut comme une douche froide et me fit revenir à moi. Il n'était pas question que le lieutenant ai le moindre soupçon sur ce que j'avais trouvé par inadvertance sur lui.
-Ne dite pas ce que je n'ai pas dit, déniais-je. J'ai juste hâte de prouver mon innocence.
Il me regarda intensément pendant un moment, comme s'il se demandait si je méritais la peine qu'il me réponde. Mais après quelques instants, il secoua la tête de dépit et dit :
-Vous êtes vraiment têtu comme personne, vous me donneriez presque envie de vous croire. Malheureusement pour vous, les preuves vous condamnes sans échappatoire possible.
J'avais vraiment l'impression de suivre une série Hollywoodienne ou le méchant jouait tellement bien son rôle de gentil, que même le héro aurai pu se faire avoir si il n'avait pas eu une preuve irréfutable du fait que le méchant était méchant. Et comme le méchant le savait, il essaye de condamner le héro. Sauf que la on avait chacun une vision différente de qui était le héro dans cette histoire.
Ceci étant dit, notre acteur m'indiquait clairement qu'à moins d'un miracle, je ne m'en sortirais pas. Ce qui voulait dire qu'il y avait sûrement mon ADN sur le corps de la victi... je voulais dire de Marie.
Voilà que je me mettais à parler comme ceux qui essayais de me mettre en prison. Il est si facile de se faire contaminer par les représentants de la loi.
Après quelques minute je me retrouvais donc dans la salle d'interrogatoire avec en face de moi le capitaine Troy.
-Alors... commença-t-elle.
-Avant qu'on commence, l'interrompis-je, vous devriez pas ramener le verre d'eau ? Vous savez celui qu'on met devant le criminelle pour lui donner soif pour qu'il avoue plus facilement tout ça. Il est ou ? Par ce que pour être honnête j'ai un peu soif.
Ma question avait du vraiment l'étonner car elle ne réagit pas avant un moment.
-Tu te rends compte, me dit-elle en sifflant entre ses dents presque chaque mots, que tout ceci n'est pas un jeu ? À moins que ta santé mentale est au plus bas, ce n'est pas vraiment la réaction approprié d'un tueur que tu as là. Ou alors tu penses tout simplement que les preuves que l'on a contre toi sont insuffisantes.
-Honnêtement ? Non je pense au contraire que vous avez tout ce qu'il faut pour me mettre en prison, mais je ne peux m'empêcher de me demander pourquoi je n'y suis pas encore et pourquoi vous tenez absolument à obtenir mes aveux ? Et aussi par ce que j'ai soif.
-La procédure, répondit le capitaine sans broncher. Et pas de verre d'eau.
Le verre d'eau ne restera qu'une légende urbaine après tout.
-Ah bon, moi qui croyais que c'était par ce que vous croyez que vous aurez besoin de moi pour démêler cette affaire sur les divinités. Je suis un peu déçu tout à coup.
-On a peut besoin de vos connaissance sur l'affaire en cours, mais vous n'avez pas besoin d'être en liberté pour ça. De plus je doute fortement que vous sachiez plus que nous sur cette affaire. Non pas que je doute votre implication dedans, mais plus votre importance. Je suis certain que vous n'êtes qu'un petit larcin dans tout ce foutoir et que vous n'avez même pas idée réellement de qui est la tête pensante de votre groupe.
Il est évident que pour faire tout ça il y au moins une divinité assez puissante à vos cotés et au moins deux autre personnes pour concevoir votre plan et enlever la victime. Évidemment la tête pensante avait un alibis en béton quand tout ça c'est passé. Alors, ai-je tors ?
Et moi qui croyais que seul les policiers des séries résonnaient aussi bien, aujourd'hui notre capitaine nous a bien prouvé le contraire, malheureusement...
-Je n'en est absolument aucune idée, répondis-je honnêtement. Mais cette façon de résonner mérite vraiment un prix, tout ce qui vous manque maintenant, c'est les preuves, et les coupables. En fait il vous manque à peu près tout, mais ne vous découragez pas, je suis de tout cœur avec vous. Ah et je ne suis pas un de leur complices, je ne suis personne sauf un employé d'une entreprise ne cherchez pas de coupable en moi.
Je me suis fait la réflexion après que la seule raison pour laquelle j'ai réussi avoir autant de courage à ce moment-là c'était à cause de la fatigue. Car je ne me fait pas d’illusion que en temps normal c'est tout juste si j'oserais parler.
-Bien essayé, mais nous avons au moins une preuve qui nous prouve que vous êtes impliqué dans cette affaire et que vous avez peut être même tué vous même Marie Farel. Saviez-vous qu'en bas de chaque carte d'identité il y avait une série de chiffre unique à chaque citoyens ? Et que sinon il y avait un digicode qui permettait de savoir a qui appartenait la carte si elle était endommagé ?
Comprenant ou tout cela nous menait, je dis :
-N'avez-vous pas dit plus tôt que les papiers retrouvé à l'intérieur étaient des faux ?
-Ce dont on vous a parlez oui, mais le morceau que l'on a retrouvé dans la main de la victime n'a pas de jumeaux dans sa voiture. Et je vois mal le tueur dispatcher des cartes d'identité à travers la maison comme si c'était noël, dit-elle de manière sarcastique. Ça aurai alors été trop évident que l'on voulait vous faire passer pour un tueur.
-Effectivement, je suis d'accord avec vous, et si je suis la trajectoire des choses, ça voudrait dire que j'ai fait exprès de mettre de faux papiers et une lettre puis mes vrais papiers dans la voiture, puis tué Marie dans la maison mais avant de mourir elle m'a chipé ma carte d'identité et je ne l'ai pas vu disons ou peut être tout simplement je n'avais pas le temps de la lui reprendre à cause de l'éclaire magique ou un truc dans le genre, c'est ça ?
-À ce que je vois, je ne suis pas le seul avec un brillant esprit de déduction, même si dans votre cas je pense vous étiez là-bas à vivre ces événements. Donc maintenant, allez- vous avouer votre crime ?
-Avant ça, j'aurais trois questions. D'abord, comment est morte Marie ?
-D'après notre analyste, avec une balle dans la tête, la balle n'est d'ailleurs pas ressortie. Mais ça je suis sûr que vous le saviez déjà.
-Donc ça veut dire qu'elle était loin de moi lorsque je l'ai tué, raisonnais-je tout en réfléchissant le plus vite possible. Donc logiquement parlant elle n'aurait pas pu me prendre ma carte d'identité et en imaginant qu'elle me l'ai prise dans la voiture ou je ne sais quoi d'autre, elle ne l'aurait pas tenu dans la main. D’ailleurs je suis sûr qu'en demandant les vidéos surveillance du garage vous verrez que je n'ai amené personne avec moi ni même les trois jours derniers au préalable. Car étant donné qu'elle devait être en vie pour me prendre ma carte, elle n'aurait pu survivre que trois jour. Et si elle a été tué avec une arme à feu, vous auriez du trouver sur moi l'arme ou même à côté, ce qui n'est pas le cas car sinon vous l'auriez dit directement. Ensuite voici m'a deuxième question, il est évident que j'aurais vu une carte d'identité, ce n'est pas comme une carte de poker, c'est trop gros pour être caché. Imaginons un instant que la raison pour laquelle je ne suis pas aller la chercher, c'est par ce que l'éclaire arrivait. Vous croyez vraiment qu'un humain peut dépasser la vitesse d'un éclaire ? Même si on m'avait prévenu quelques seconde avant, vous croyez vraiment que j'aurais pu l'éviter ? En plus ce n'est pas n'importe qu'elle éclaire, il est magique !Et même si on m'avait prévenu de façon à ce que j'ai le temps de m'enfuir, vous avez remarquez que la porte était fermé, alors dites-moi, si j'ai eu le temps de fermer une porte, pourquoi je n'ai pas eu le temps prendre une carte d'identité ? Par ce que à moins d'être totalement idiot, personne ne ferait ce genre de chose.
Mes paroles ont dût faire mouche car je vis que le capitaine était soudain plonger dans une intense réflexion.
-Ah, dernière question, je peux voir cette carte d'identité ?
Le lieutenant Sarre me la montra sans hésiter comme pour prouver malgré les incohérences évidentes, j'étais toujours le meurtrier. Mais lorsque je vis la pièce à conviction dans le sac plastique, j'eus un choc.
-Dite-moi, demandais-je incertains, est-ce que c'est un passeport ?
-Oui.
Je commençais alors à rire. Finalement, le destin n'était pas totalement contre moi.
-Dans ce cas c'est encore plus impossible que ça soit moi, dis-je avec un sourire tout ce qui avait de plus triomphant tout en sortant quelque chose de la poche avant de ma veste.
Et lorsque je le sortis le capitaine eut un ho-quai de surprise et mon cher acteur avait lui une tête très intéressante.
-C'est...
-Je peux vous assurer, dis-je toujours en souriant, que ce passeport à tout ce qui à de plus authentique.
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Divinity.K
Mystery / ThrillerLorsque ça parle de divinités, tout le monde lève la tête pour les saluer, mais dans mon cas j'ai été fait accuser d'un meurtre par l'un d'eux et d'enlèvement. Puis ordonner de rapporter le seul objet divin qui puisse sauver les humains de l'apocaly...