Quand on vous dit généralement divinité de la mort, vous pensez forcément à quelqu'un de grand imposant faisant peur a tout le monde d'un simple regard. Imaginez alors un peu ma déception quand je vois la déesse de la mort scandinave alias Hella me faire assoir sur un canapé tout en me parlant des nouvelles spécificités de la nouvelle console précommandé. C'est un peu comme si on vous promettait d'aller dans la maison la plus hanté du monde et que au final vous vous retrouvez dans un salon de thé anglais.
Le capitaine et moi se trouvions dans la salle ou était sensé travailler les médecins légiste depuis maintenant quinze bonne minutes à parlez ou plutôt à entendre parler Asros, au lieu de faire ce pourquoi on m’avait convoqué. Mais étant donné que j’étais encore je suis sûr un suspect potentiel, je ne pouvais pas sciemment me la ramener et lui dire de se taire. Mais notre capitaine au yeux doré si, et c’est ce qu’elle fit.
-Bon, soyons sérieux maintenant, commanda Troy en fixant L’avatar de la mort. As, observe et dit nous si il est impliqué qu’on puisse passer à la suite.
-Oh ne t’inquiète pas, c’est déjà fait depuis longtemps, répondit-elle tout en retournant vers sa console de jeu nous trouvant apparemment mauvais public. Il est clean.
Je ne savais pas de quoi elles parlaient mais j’avais la vague intuition que ce que le docteur de la mort avait dit m’était favorable.
-En tout pour cette affaire, rajouta-elle deux secondes plus tard. Par ce que il y a 21 ans il a été impliqué dans la mort d’au moins deux personnes et il a 20 ans d’une personne.
D’un coup cette salle était devenu un peu plus froide qu’elle ne l’était déjà. C’était donc la raison pour laquelle le capitaine Troy m’avait réellement fait venir dans ce sous-sol. Elle n’écartait toujours pas piste selon laquelle j’étais complice de tout ça. Mais savoir qu’il y a à peu près 20 ans j’ai été impliqué dans la mort de pas moins 3 personnes ; n’allait pas du tout lui faire écarter cette hypothèse. D’ailleurs il y a 21 ans j’avais 2 ans et c’était l’année ou mes parents sont morts, donc ça je pouvais l’expliquer facilement, mais il y a 20 ans, les seuls événements majeurs qui sont arrivés, sont mon adoption, et… l’obtention de mes pouvoirs. La mort de la personne était sûrement sa mort à lui, mais je ne pouvais en aucun cas le leur dire. D’ailleurs un enfant normal ne se souvient généralement pas de ses 3 ans.
-J’étais trop jeune pour me souvenir de ce qui c’est passé, dis-je en essayant tant bien que mal de m’expliquer et résoudre cette tension trop intense à mon goût. Mais c’est sûrement mes parents ; ces morts avec qui j’ai une relation.
Si on oublie le fait qu’il y a 3 mort.
-Ah oui c’est vrai, répondit le capitaine avec un soupir. J’oubliais que vos parents sont morts à vos 2 ans.
Et ses simples mots firent grimper la température de quelques bon degrés. Merci cap’ la nation du Karma vous salut.
Je sortie de la salle du légiste avec notre capitaine Troy soulagé de ne pas avoir eu la chance de voir se qui devait rester du corps de Marie aka, la tête.
-Monsieur Spinoza, m'interpela Troy en me fixant intensément de ses yeux doré en attendant l’ascenseur, je peux vous demander de garder l’identité de madame Stâhlberg secret s’il vous plaît ?
-Est-ce que cela veut dire que vous croyez enfin au fait que je ne suis qu’une victime dans cette affaire ? Demandais-je avec un sourire plein d’espoir.
-Cela se pourrait, répondit-elle en me décrochant un fin sourire. Je pense en tout cas que vous ne savez pas qu’elle est votre rôle et implication dans cette affaire. Mais pas que vous soyez une victime.
-C’est déjà un grand pas en avant, dis-je sincèrement. Je peux vous demandez pourquoi vous étiez sur le point de me tuer quand vous avez cru que j’étais un avatar ?
Et mon ami le silence fit son retour. Le temps que l’ascenseur prit pour arriver. Et lorsque le capitaine Troy entra je n’eus plus aucun espoir qu’elle me réponde. Je la suivie donc avec le regret d’avoir posé cette question.
-Cette affaire est la dernière chance, me dit soudain le capitaine.
-Comment ça, Demandais-je confus.
-Jusqu’à maintenant depuis que je suis capitaine, je n’ai eus qu’un taux impressionnant d’enquêtes non résolu, m’expliqua-t-elle. Et si ce n’est pas ça, les preuves disparaissent soudainement juste au moment où on arrive à clore l’enquête.
-Étrange pour quelqu’un avec un aussi bon esprit de déduction, remarquais-je.
-Ça doit être le Karma qui me puni d’avoir ce talent alors, plaisanta-t-elle.
Je vous assure d’être innocent. J’étais déjà assez puni par moi-même, je n’allais pas en plus m’occuper de punir les autres ?
-Et donc cette enquête est votre dernière chance de prouver que vous êtes capable d’en mener à bien ? raisonnais-je.
-En effet. Et vous alors monsieur Spinoza, pour quelle raison vous tenez absolument à participer à cette enquête ?
-Par ce que j’y suis impliqué, répondis-je sans me démonter.
-Vous savez, très bien ce que je veux dire.
Silence.
-Je vous ai répondu, monsieur Spinoza. Renvoyez moi l’ascenseur.
Je ne sais pas pourquoi mais je sentais que j’avais été piégé.
-Mon secret, dis-je en faisant attention à chacun de mes mots, concerne la personne qui m’a donné mes dons. Et aucune divinités, ne doit savoir que j’en ai reçu de cette personne, sinon je serais poursuivi et sûrement tué.
Sentant la gravité et le sérieux de mes propos, le capitaine se tue et se mis à contempler le miroir de l’ascenseur pendant un moment avant de demander :
-Avez-vous reçu vos dons, d'une divinité maléfique ?
-Non, mais il est aussi redouté que ceux-là.
-Je vous crois, vous n’avez pas l’air de mentir.
L’ascenseur s’ouvre et le capitaine me raccompagnait jusqu’à la sortie tandis que je lui faisais une description du personnage qu’était Jean Duncan en même temps que le message suspect qu’il m’avait adresser par le biais de Mr Buchon.
A la sortie du bâtiment, juste avant de se dire au revoir, j’interpellais la capitaine.
-Ce qu’on c’est dit dans l’ascenseur, commençais je. Je voudrais…
-Ne vous inquiétez pas, m’interrompît-elle, ma bouche sera scellé, autant que la vôtre.
-Merci, dis-je reconnaissant.
Et c’est sur ses mots que je partie en prenant la direction du métro -n’ayant plus de voiture.
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Divinity.K
Mystery / ThrillerLorsque ça parle de divinités, tout le monde lève la tête pour les saluer, mais dans mon cas j'ai été fait accuser d'un meurtre par l'un d'eux et d'enlèvement. Puis ordonner de rapporter le seul objet divin qui puisse sauver les humains de l'apocaly...