Dans la ville de Masyaf, durant l'année 1181. La cour de la forteresse des assassins est animée. Les jeunes novices âgés entre 11 et 14 ans s'entraînent au combat. Chaque apprenti est muni d'une épée en bois. Parmi ces jeunes personnes, se trouve trois garçons. L'un est brun aux yeux jaunes, tandis que les deux autres ont les cheveux et les yeux noirs. Tous les trois discutent. Au cours de la discussion, le Crédo des assassins est évoqué.
Ne comprenant toujours pas pourquoi leur mentor attache autant d'importance à de simples mots, le brun demande :
- Dites, pourquoi est-ce que les trois phrases que nous rabâche sans cesse Al-Mualim sont aussi importantes pour nos aînés ?
- Parce qu'elles sont le fondement même de notre Confrérie, Altaïr. soupire l'un des autres enfants du groupe, répondant au nom de Malik. J'espère que tu respecteras le Crédo plus tard...
- Ouais, ouais. Ne t'inquiètes pas, je les appliquerai. Je ne suis pas aussi provocateur que tu ne le penses. lâche le brun en souriant et en caressant la joue de son ami.
Celui-ci a un mouvement de recul. Énervé, Malik lance un : "Arrête de faire ça. En temps normal, je tolère ce geste mais pas en public ! Nos frères risque de mal interpréter ton geste." Entre temps, le dernier du trio a quitté ses amis. Remarquant son absence, le noiraud (Malik) balaie l'horizon de son regard. Il repère son petit-frère près de l'arène où se déroule un combat. L'aîné des frères est partagé entre le soulagement et l'inquiétude, tandis que le brun reste impassible. Malik se lève et prend son épée d'entraînement : "Allons rejoindre Kadar, lance le basané." Altaïr acquiesce et se lève à son tour.
Au même moment. Dans une grotte montagnarde du vaste Royaume. Un groupe d'hommes discutent. L'atmosphère semble tendue. Après tout, le plan de ces personnes, de ces templiers est ralenti. Le fait qu'il y a déjà des dirigeants dans les villes principales du pays (Acre, Damas et Jérusalem) rendent les occupants du lieu hors d'eux. L'un d'entre eux, un homme portant un turban marron-blanc et une tunique de couleurs or et rouge prend la parole :
- Afin de nous enlever cette épine du pied, nous devons éliminer ces fichus dirigeants et prendre leur place !
- Calme-toi Tamir. Je sais que tu hais les contretemps ou les obstacles, mais s'énerver ne rime à rien. émet un homme chauve, d'une voix calme mais ferme.
- Robert a raison, restons calme. Je rejoins cependant ton avis Tamir : nos rois actuels doivent mourir. Par contre, comment procéderions-nous pour ces meurtres ? intervient Garnier de Naplouse-qui à première vue, semble être le plus vieux du groupe.
- Eh bien, je propose que nous procédions ainsi. explique un autre templier, en rédigeant des lignes à l'aide d'une plume blanche.
Il expose ainsi son plan à ses confrères. La stratégie a plusieurs étapes. La première consiste à se séparer dans les trois villes. Ensuite, il s'agit de réfléchir à plusieurs moyens d'assassinats qui visent à tuer les successeurs du trône. Enfin, il est question de tuer les rois plus tard. En parallèle de ça, les templiers envisagent également de chercher la Pomme d'Eden-un artefact puissant-et de l'utiliser si besoin ai. Si ils n'arrivent pas à la trouver-ou si ils la perdent lors d'un combat, ça ne sera pas grave (puisqu'elle est peu utile aux yeux des Templiers, pour l'instant). Robert de Sablé sera chargé de trouver la Pomme d'Eden, mais comme il est également un soldat de l'armée du roi Richard Cœur de Lion, il ne pourra pas aider ses frères templiers lors du complot.
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Mots pour ce chapitre : 608.
Salut, voici donc le premier chapitre de cette nouvelle fanfiction. En tout cas, j'espère que ce début vous plaît. N'hésitez pas à me donner votre avis en commentaire ^^. Les chapitres n'ont pas de noms, car je ne savais pas quoi écrire comme titre ^-^.
Bisous et à bientôt pour la suite 😘
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Au-delà de l'amitié [Terminé]
FanfictionAltaïr et Malik sont des amis proches. Ils appartiennent à la Confrérie des Assassins. Un jour, un complot visant les dirigeants du Royaume a lieu. Au cours de leur participation dans ce conflit, les amis d'enfance remettront en doute leurs sentimen...