Chapitre 3

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Un peu plus tard, dans la salle de bain, Nina irriter se demandait comment est-ce qu'aux 21 ième siècles on pouvait encore s'y donner à des activités aussi barbares. L'effet d'avoir été biseautée une heure plutôt ne l'outrait pas, mais juste n'avoir pas été au courant de cela lui donnait envie de mettre le feu à n'importe quoi. Particulièrement, Nina détestait l'effet de surprise, la logique faisait partie intégrante de sa progression intellectuelle.

« Si l'on m'avait prévenue, je m'y serais préparée en conséquence » se disait-elle, mais au fond, la faute lui revenait. Dans sa petite cabine où elle prenait bain, elle prenait soin de mieux hydrater sa peau avec du savon moussé pour éviter des démangeaisons causées par le contact des herbes sauvages sur son fragile épiderme. Son corps nus avait gravement besoin d'une douche, après s'être fait biseauter par les anciennes interne. L'idée de faire cela aux futures internes arrangeait son besoin inégalé de vengeance. D'un geste ovale de la main, elle arrêta la chasse d'eau, ses cheveux mouillés continuaient à en faire progressivement couler. Elle saisie une serviette, s'épongea le visage avec, et se recouvra le corps avec. Elle sortit de la cabine, quitta le couloir bondé des filles qui faisaient la queue.

Après s'être toutes habillées, elles se réunirent à la salle de dressage. La journée d'aujourd'hui était consacrée à la visite des lieux, après avoir visité tout les bâtiments, la salle de dressage serait, pour la journée d'aujourd'hui, la toute dernière qu'elles visiteraient aujourd'hui. Cette salle était grande, luxueuse, meublée des anciens lustres. Les internes étaient priées de suivre un tout petit court de mise en ordre et règlement. Nouvelle comme ancienne s'y trouvaient. La disposition était simple, l'évaluatrice créa un groupe de vingt élèves, sur un totale de 200 élèves, il y 'avait donc 10 groupes, dont chacun des groupes anciens anciennes parmi lesquelles une doyenne qui donnerait des instructions pour le bon fonctionnement de la famille. Elle ferait donc des événements ensembles, des corvées et pleins d'autres choses. Lors de l'attribution des familles, Nina rejoint la famille Sainte-Lucie, un groupe constituer des filles d'approximativement son âge, propre, et discipliner. L'effet d'être dans un groupe lui se sentir bien, pas toute seule. Ces personnes, du même groupe qu'elle, feraient dors-et-déjà partie intégrante de sa vie ici, aucun détails ne devait être négligé, aucune relation prise à la légère. Tous, dans le moindre détail conterait.

Le cours de dressage fini, toutes les familles passèrent donc à table. Un repas riche en protéine, aussi répugna que son nom, servit du souper pour ce soir. Assise autour d'une longue table, une table portant le nom de sa nouvelle famille. Elle se sentait à son aise. Moly la doyenne, une fille plus âgé que toutes celles partageant le repas avec elle, se leva. Un physique remplumer, un visage imperceptible ; elle entama les présentations et mode de fonctionnement avec gaieté et bon sens. Nina remarqua sa libre expression dans cette fluidité de langage et comprit pourquoi, contrairement aux autres anciennes autour de cette table, elle était choisie.

- Permettez-moi de prendre la parole et me présenter. Je m'appelle Morgane Uster, j'ai 17 ans, à daté d'aujourd'hui, l'internat m'a sous son aile il y a de cela 4 ans. 4 ans jour pour jour où j'ai acquise certaines discipline qui ont permis de me focaliser sur mon unique but. Alors que nous auront assez de temps pour nous connaître, je préfère mettre le point sur certaines choses.

Elle marqua une petite pose et balaya le tour de la table du regard. Toutes semblaient concentrées à ce qu'elle disait. Son expression mature et polie faisait que Nina la suive de près, d bout des lèvres. Elle n'avait que 17 ans pensait-elle. 17 ans mais déjà assez mature que toutes les filles qu'elle avait connue jusqu'à aujourd'hui. C'est vrai qu'elle fréquentait pas grand nombre de personne, mais d'après le peu qu'elle savait sur l'estime de l'autre, elle était prête à affirmer que cette personne en était bien une, une fille mature. Sous le moment, sa confiance à ses capacités baissa, elle se sentait comme dépourvue de toutes ressources intellectuelles. Cette personne étant d'une année vieille qu'elle, laissait percevoir des signes des potentiels énormes acquis des jours en jours passer ici. il y avait rien à rajouter, elle était parfaite comme modèle.

Après avoir attirée l'attention de tous le monde, elle reprit sous le même ton.

- Bien que vous soyez nouvelle, sachez qu'il va vous falloir vous conformer à toutes les règles, et ce, avec discipline et travaille. Une habitude en sera établie dès demain. Une habitude pas nouvelle, car elle a déjà été utiliser par celles avant nous, et celles qui les ont précédés. N'ayez crainte, ça n'a rien de compliquer. Posez-vous la question « pourquoi êtes-vous ici », en ayant ce but en tête, vous surmonterez tous les obstacles qui se dresseront en face de vous. Cette famille de 20 personnes y comprit moi, n'est pas qu'un groupe de personne partageant un repas, Non ! C'est plus que cela, c'est une flamme que chacune de nous apporte pour faire briller ce lieu somptueux et nous faire décoller vers d'autres horizons. Les toutes premières familles et les suivantes ont immortalisées ce lieu en y laissant un message brodé sur leur photo attachée à ce mur. Ensemble nous pouvons y arriver, nous pouvons vaincre, ce mal qui nous empêche d'évoluer et nous épanouir. Être doyenne n'est pas synonyme d'avoir tout le droit sur vous et y exercer une forme d'oppression, Non ! C'est un titre éphémère qui m'oblige à m'acquitter d'un devoir, celui de vous édifier tout au long de vos premiers pas, j'aimerai vous connaître du bout de doigt, en commença par vos noms si possible, merci.

Ému par ces jolies paroles, Nina, comme toutes les autres, fut subjuguée par elle. Ce discours à peine improviser fit l'effet d'une explosion du ressentie de chaque être autour de cette table. Toutes les filles étaient conquises. Ce charme et cette noblesse immortalisa cette prise de contact. Comme hypnotiser, elles ne purent se priver le plaisir de l'envier, de voir en elle un futur modèle féminin.

Après que les anciennes se soient présentées, les nouvelles en furent de même. Nina se sentait en sécurité, c'était plus que ce qu'elle espérait. Cet endroit était absolument fabuleux, se retrouver dès le premier jour entourée par autant des personnes surpassait ses attentes. Néanmoins, elle était complexée par le niveau que la doyenne avait. Le simple fait d'y penser, penser qu'il y auraient d'autres comme elle ici, lui fit encore plus douter de ses capacités. Serait-elle à la hauteur ? Se posa-t-elle la question. C'est alors qu'à 8 heure du soir, la cloche aigu retentit de son sifflement, signalant la fin de toutes activités. Une par une, chaque famille sortit du lieu en direction du dortoir. Pendant que la Sainte-Lucie sortit à son tour, Nina se retourna, elle espérait voir quelqu'un en particulier, qui ?

Étant déçu de ne l'avoir pas vu elle, elle s'endormit sous ce terme. Lumières éteintes, silence absolu. Ce lieu était un véritable trésor, un trésor que seul celle qui cherche trouve. Heureuse d'être enfin près de son objectif, une fulgurante tristesse se peignit dans elle. Qu'arriverait-il si tout ne se passait pas comme prévu ? Pourquoi cette fille était-elle seule ? Et pourquoi Diable ne s'était-elle pas excusée ?

Elle n'eut pas le temps de trouver des réponses à ces questions, puisque ce sommeil qui tardait à arriver l'emporta avec douceur.

PARADOXEOù les histoires vivent. Découvrez maintenant