AU DEBUT,CE N'ÉTAIT QU'UN PARI (en pause)

Partie6:ELLE

Il me gifle et m'entraine dans une des chambres en me disant de bien m'amocher et de me faire regretter mes mots. Je comprend immédiatement de quoi il s'agit et de quoi il est capable. Dans des tels endroits tout le monde est pareil et personne n'est clément pour m'aider. Je crois qu'après cette nuit ma vie sera détruite.
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À cet instant, j'aimerai qu'il me frappe, me fait tout le mal possible mais sauf ça..Je ne veux en aucun cas perdre ma fierté dans des telles circonstances. La vie n'a jamais été facile pour moi, quitte de mourir, je n'accepterai pas de vivre sans ma fierté.
Je cris à chaude larme , mais cet homme continue toujours à m'entrainer dans la chambre. Ne connaissant quoi faire , je commence à le frapper. Ce qui n'a fait qu'opter un fou rire de sa part.

-Oh sale pute. Gardes tes larmes pour après
-Allez stp lâches moi
-Arrête avec tes bêtises. Je sais très bien que tu kiffes ça. Les filles de ton genre , je les ai beaucoup rencontrées. Vous faîtes les pures or que c'est vous même les grandes putes. Tekass tu kifferas à jamais.

Ces mots me dégoûtent. Je prie et implore Dieu qu'une personne me vienne au secours. Pourtant je sais très bien que dans des tels endroits, il n'existe pas des personnes pareilles.

Je sens une faiblesse une fois qu'il me jette sur le lit. Je sais dorénavant que je perdrai cette guerre. Il commence à se déshabiller; une fois fini, il passe sa main sur ma robe et me la retire sous mes pleurs et mes cris.
Je me retrouve maintenant en soutif. Il avance vers moi et se met sur moi quand soudain j'entends un bruit de verre brisé. Je vois de sang partout, la panique me prend et je commence à pleurer de nouveau. Cette fois-ci ce l'angoisse qui me prend. Je me sens perdu. Je sens une personne me couvrir, je lève la tête, mon regard croise celui de Abiyad. Je ne cherche même plus à savoir ce qu'il cherche ici. L'important est qu'il m'a sauvé de cet homme qui se trouve maintenant par terre, baigné de sang. Je le serre très fort. Il me prend dans ces bras et me chuchote quelques mots.

-N'ai plus peur. Je suis là pour toi

Je n'ai même pas cherché à me couvrir le corps. En soutif je me sens même à l'aise dans ses bras. C'est comme si ma place était là, entre ses bras. Pourtant je ne le connais que récemment. Le sommeil me prend et je dorme paisiblement.
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Je me réveille et m'aperçois en chemise. Je ne sais pas qui est ce qui me l'a mise. Je vois l'heure indiquée 10h15 minutes. Abiyad fait son entré qu'avec un pantalon et un plat en main. J'ai très vite compris que la chemise que je porte est la sienne. Je ne m'imagine pas la nuit dernière. C'est comme si la fille d'hier en soutif que j'étais n'est pas moi actuellement. Je ne comprends pas pourquoi je me suis mise dans ces bras. Ce n'est probablement pas mon comportement. Je n'acceptais en aucun cas qu'un homme me voit en sous-vêtements. Mais hier, ce que j'avais ressenti une fois dans ses bras est inexplicable. Peut être que c'est la panique qui m'a emporté. A la fin, il m'a sauvé sinon ma vie sera détruite.

-Tiens Gkheïma, prend ton petit déjeuné
- Eh merci mais je n'ai pas faim
-Stp oublie ce qui c'est passé hier et mange.
-........
- ça te dis qu'on fasse un tour pour que tu puisses changer de l'air? ....euh je vais dire..... peut être ça pourrait t'aider d'oublier ce qui s'est passé hier

L'inquiétude se lit dans ses yeux. C'est pour la première fois que je vois de l'inquiétude dans les yeux d'un inconnu. Je ne sais pas mais quelque chose en moi me pousse a l'embrasser. Je me lève et met un bisou sur sa joue. Je ne l'embrasse pas pourtant j'ai vraiment envie.

- Merci Abiyad. Je te serai reconnaissante à jamais
- Ce n'est rien Gkheïma

On se regarde dans les yeux. C'est comme s'il existe entre nous un coup de foudre attirant l'un à l'autre. Un moment, je sens son visage près du mien. Son souffle ainsi que l'odeur mentholée de son allène me déstabilisent. A cet instant, je ne veux qu'être dans ses bras comme la nuit passée. Nos lèvres se rapprochent mais a peine nous embrasser , la porte de la chambre s'ouvre laissant apparaître la silhouette de ma cousine Leina.

- Oh my God, je reviendrai plus tard. Faîtes comme si je ne vous ai pas vu.
-Attend Leina. Ce n'est pas comme... Je n'ai même pas fini ma phrase qu'elle ferme la porte et s 'en va.
- Euh suis désolée Abiyad. C'est ma cousine et....
-Non t'inquiète Gkheïma. Elle a bien fait d'ouvrir la porte sinon j'allais faire une grosse erreur

Quelle honte! Pourtant j'avais vraiment envi que tu fasses cette erreur. Mais qu'est ce qui m'arrive.

- T'es trop belle quand tu rougies.

Et merde. Déjà que je ne suis pas à l'aise , il me le rajoute. Je lève ma tête et aperçois ses yeux gris me fixés. Je n'aime pas quand on me voit de cette manière.

- Hé je dois y aller. Ma cousine doit nous penser entrain de....
-Entrain de quoi?? Finit ta phrase
- Je veux dire qu'elle va avoir des idées pervers
- C'est quoi des idées pervers?? Genre elle va penser quoi sur nous

Je sais très bien qu'il fait ça juste pour me mettre mal à l'aise.

-C'est à toi que je parle Gkheïma. Dis-moi elle doit penser quoi ta cousine.
- Hé je sais très bien où est ce que tu veux venir donc arrête j'aime pas parlé sur ce genre de sujet
- Mdrr okkk princesse

Princesse???? Mais pourquoi a-t-il jamais brusquement. Ou bien c'est moi qui ne l'a pas compris dès le début?? Était-il bien avant si gentil?? Ou bien fait-il juste semblant?? Toutes ces questions me préoccupent mais je dois être optimiste.

-Merci beaucoup pour le repas. C'est délicieux
-(toujours en me fixant) De rien

Bah sérieux j'aime pas qu'on me regarde la

-Qui est ce qui a preparé? Vu le repas , ce n'est pas un truc commandé d'un fast food
-Ce n'est rien ça, je devais faire plus que ça mais je n'ai trouvé que des oeufs dans la cuisine
- Donc tu veux dire que c'est toi qui as préparé?
-Oui
-Merci beaucoup
-Oh arrête de me remercier stp. Ça me gêne là.
- Je ne sais pas par comment te rendre tout ce que tu as eu à me faire. Sans toi, hier, je serai sûrement......

Je me mets à pleurer . Il me prend encore dans ses bras et passe ses doigts sur mon visage pour effacer les quelques larmes coulés le long de mes joues.

-Je ne veux plus jamais te voir pleurer. Et tu n'as pas à beaucoup me remercier mais si tu veux me rendre un service, accepte mon invitation de faire un tour toi et moi.

-Ok avec plaisir MR ABIYAD

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Salut les filles. Comment allez-vous et comment avez-vous trouvez cette partie?? Je sais, elle est un peu courte que d'habitude mais bon allons avec pour l'instant.

Allez bisou j entends vos votes et commentaires.