AU DEBUT,CE N'ÉTAIT QU'UN PARI (en pause)

Partie 11: ELLE

[ 7 jours plus tard ]
Une semaine écroulée depuis que j'ai su mon amour pour Abiyad. Je ne l'avais plus revue , par peur de l'avouer? Je ne sais pas. Pourtant mon corps, mon âme le réclament.
Mais, au plus profond de moi , j'ai cette peur qui ne pourrait jamais me quitter, cette peur d'être trahis comme toutes les autres femmes qui se laissent faire par amour.
Nous vivons une époque formidable. Formidable mais exténuante. Qui ne nous laisse jamais souffler. Et qui nous rend toujours responsables de nos succès, de nos malheurs, comme de nos joies. Dans ce cas, il faut d'abord revoir ses sentiments, et être sûr d'être aimer en retour par son bien aimé avant de se lancer dans une relation qui pourrait nous détruire sans aucun pitié, Car
Rompre avec son partenaire ou être trahis est l'une des expériences émotionnelles les plus négatives que nous pouvons vivre. Un chagrin d'amour peut entraîner des désordres psychologiques, voire une dépression. Une chose que je ne souhaite jamais m'arriver.

Je reçois un message d'un numéro inconnu
--:  Fait attention à toi , et surtout à tes fréquentations.

Je ne comprend rien du tout, sûrement une personne qui s'est trompée de numéro donc je décide de ne pas répondre.
    Je pars au toilette ,je prend une douche et je m'habille en jogging simple. Je sors pour un peu me balader histoire de prendre un peu d'air et mettre au claire mes sentiments pour Abiyad. Au bout d'un moment , je décide de ne rien l'avouer et éviter tout contact avec lui.

Je sens deux mains me cacher  les yeux, une odeur masculine me frôle les narines , mais je connais cette odeur oui, c'est bel et bien celle de Abiyad , je ne peux jamais me tromper sur ça. Je murmure son nom , il me lâche et me fait tourner pour être en face de lui. Au contact de nos yeux, je l'aperçois avec un magnifique sourire, ce sourire qui me fait perdre la tête, je ressens mon coeur battre à la chamade et je ne comprend pas pourquoi jusqu'à maintenant je n'arrive à articuler aucun mot, aucun son ne parvient à résonner de ma bouche.

- Gkheïma comment vas -tu? Il fait bail qu'on s'est pas vu. Me dit il un peu nerveux
Es ce que à cause de ma froideur avec lui?ou bien n'a t'il pas oublié ce qui s'est passé la fois dernière?
-Bien!  Le seul mot que j'ai pu prononcer
-Et moi tu ne veux pas savoir comment je vais?
- si si désolée, comment vas -tu?
- laisse ce n'est pas très important. Dit moi pourquoi t'es si pâle?
- Juste un peu fatigué sinon rien de grave
- d'accord , ofte je dois te parler sur un truc si ça ne te dérange pas
-oui vas y
- Mais pas maintenant , je peux passer chez toi ce soir?
-Ehhhhhh d'accord
- donc je passerai vers 20h
-Ok
-Allez je te laisse, j'ai quelques trucs à régler. Une fois fini je passe chez toi
-Bye
- Eh j'ai oublié, comment tu as su que c'était moi qui te cachais les yeux? Me lance-t-il avec un sourire au coin.
Le rouge me monte, je tourne direct mon regard de lui et change de direction tout en lui souhaitant une bonne journée.
- En tout cas, tu me répondras ce soir miss. Allez bye

[20h05]
Posée sur le salon, j'attend l'arrivé de Abiyad. Je stresse comme jamais à l'idée d'être seul avec lui ce soir. Quelqu'un frappe à la porte, je crois que c'est lui. Je me lève pour ouvrir la porte.

- Bonsoir miss
- Bonsoir et je m'appelle Gkheïma
- Non tu es ma miss
- D'accord sois le bienvenue
-Merci
On se dirige vers le salon, il se pose tranquillement avant que je lui propose même. Je crois que j'ai a faire ce soir à un enfant psychopathe qui ne connait pas les bonnes manières.
Je le sers à boire et au moment de m'assoir sur l'autre fauteuil en face de lui, monsieur n'a pas voulu car il me fait signe d'aller m'assoir près de lui. J'exécute sans hésitation. À la fin, être à côté de lui me ferra sûrement du bien.

- Gkheïma avant de commencer , je tiens toute fois à m'excuser de la façon dont je me suis comporté avec toi la fois dernière. Je ne devais pas aller trop loin de cette façon avec toi.
- Non j'ai oublié
-tu sais que tu es une fille bien, et sans plus tarder j'aimerai te dire à quel point....
Le téléphone de Abiyad s'est mis à sonner. Il décroche puis change d'humeur. Je sens comme si quelque chose ne va pas chez lui.

- Je suis vraiment désolé Gkheïma, je dois y aller. C'est urgent
-Ok mais dis moi qu'est ce qui ne va pas?
- ma mère est à l'hôpital
- Attend je viens avec toi
-Non il fait tard Gkheïma. Bye
- Bye prend soin de toi
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Coucou mes bijoux.
Voillah je sais pas comment m'excuser de tout ce retard mais je ferai tout pour me rattraper. Allez bonne lecture et un petit vote me fera du plaisir😘😘☺