K H A L Y S : « La force du cœur »

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« Rien pour l'honneur, tout pour le biff... »

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R I Y H A D

Je la regardais dormir, elle semblait tellement paisible. En dirait quelle avait rien vécu alors que c'est tout le contraire. Cette meuf, je veux faire d'elle ma femme, je veux finir ma vie avec elle.

Balec, demain j'irai voir son père. Faut que je lui parle et à l'autre clochard qui voulait se marier avec elle, et ouais Nadir ma mis au courant pour cet tappette d'Ayden.

Je caressais son visage tout en souriant, je l'aime et j'ai pas peur de le dire.

Khalys - endormie, Riyhad... je t'aime...

Je la regarde et souris encore plus. Je sais quelle ne pensais pas ce qu'elle disait mais même si c'était pas penser, j'ai quand même eu un petit pincement au coeur.

Khalys - toujours endormie, T'es celui avec qui je veux finir mes jours.. tu me comble de bonheur.. je te veux près de moi..

Elle s'accroche à mon tee-shirt et me colle à elle. C'est le seule moment où elle me laisse la toucher. D'ailleurs sa me fait mal à l'intérieur de plus pouvoir la toucher.

Khalys - endormie, Je veux pas que tu me lâche...
- Jamais bébé, jamais je te lâcherai.

Elle finit par collé sa tête à mon torse puis à mettre son bras autour du mien et de lâcher un long soupir. Je m'allonge auprès d'elle et m'endors.

| Le lendemain, 7H39 |

Je me réveille de bonne heure ce matin. Faut que j'aille voir le père de Khalys. Je pars prendre une douche rapide et je fouille dans son placard. Elle a toujours gardé ses affaires à moi et vu que j'avais pas pris de vêtement bah fallait que je trouve des vêtements.

Je met son parfum, c'est du bois d'argent hein croyez pas j'allai mettre la"petite robe noir". Je sais quelle kiffe le parfum d'homme. Surtout celui la parce que c'est le mien. Je lui embrasse le front avant de prendre les clés de la voiture et de partir pour le 92.

| Quelques heure plus tard |

Je venais tout juste d'arriver devant la résidence des parent de Khalys. Je me gare vite fait puis je monte chez eux.

Je ssonne c'est sa petite soeur qui m'ouvre la porte. Elle me regarde sans comprendre puis se met à pleurer.

Thays - T'es pas mort...
- Non, je suis revenue. Tu demandera à ta soeur.
Thays - Rentre, rentre.

Elle se décale pour me laisser passer. J'enlève mes chaussures et je rentre dans le salon. Son père, sa mère et Wesley était présent. Wesley me regarde en mode "Tu fais quoi ici?", je lui répond par un regard puis il signale ma présence à ses parents.

Sa mère - Qu'est ce que tu raconte Wesley? Arrête de salir sa mémoire en faisant des blague pas drôle.
- Si tata, je suis la.

Elle se retourne, son père aussi. Elle se contente d'ouvrir les yeux puis de poser les deux mains sur sa bouche quant à son père, il me regarde choqué.

Sa mère - Mais.. je te croyais mort...
- Non, je suis bel et bien vivant.
Sa mère - Mais comment...
Wesley - Tu demandera à Khalys maman.
Son père - Qu'est ce que tu fais ici?
- Je suis pour vous parlez.
Son père - Je ne veux pas t'écouter, ma fille ne se mariera pas avec toi, point.
- Vous savez même pas ce que j'allai vous dire.
Son père - Je n'en ai rien à fourre de ce que tu as à me dire.
Sa mère - David, écoute le.
Son père - Je n'ai rien à lui dire.
- Écoutez je sais que vous voulez le meilleur pour votre fille mais ce n'est pas en la mariant avec quelqu'un qu'elle n'aime pas qu'elle vous aimera d'avantage. Elle est bien avec moi, même si je l'ai fait souffrir en me faisant passer pour mort, vous avez bien pu observer qu'elle pensait toujours à moi mêmeaprès 6 ans. Comme quoi, l'amour est plus fort que tout. Je vous demande de ne pas vous interposé entre elle et moi, c'est avec elle que je veux finir ma vie c'est avec elle que je veux fonder ma famille...
Sa mère - Faut parler avec Khalys.
Son père - Reviens avec elle demain. D'ici la, je tâcherai de réfléchir.
- D'accord.

Je lui tend la main qu'il saisit puis je fais de même à sa mère et je descends accompagner de Wesley.

Wesley - J'suis désolé que mon père sois aussi dur avec toi.
- Tranquille mais ce qui me soule le plus, c'est qu'il comprend pas que j'aime Khalys.
Wesley - Vas-y laisse le lui, en plus je suis sûre il vas te faire ramer.
- J'lâche l'affaire.
Wesley - C'est sa qu'il veut que tu fasse, T'es bête toi.
- Mais obligé il vas s'opposer à notre union.
Wesley - Lâche pas.
- T'façon c'est même pas sure que je me marie avec elle, elle veut même pas que l'approche.
Wesley - Vu ce qu'elle a vécu, j'aurai pas aime non plus si j'étais à sa place.
- Je devrai faire quoi à ton avis?
Wesley - Eh je viens avec toi chez Khalys hein. Bah à mon avis... laisse lui du temps ou emmène la chez une psychologue, une femme de préférence.
- Ouais viens et ouais. Je lui en parlerai.
Wesley - Bref, pense pas au pire. Un conseil sienne peux te donner. Lâche rien.

(J'ai pensé a Observateur Ébène quand j'ai encore cette pphrase les vraies comprendront).

| . . . |

- Khalys, je suis rentré.
Khalys - Hum, y'a deux pizza dans le four si tu as faim.
Wesley - Je suis là aussi.
Khalys - Hum.

Je monte dans sa chambre et la retrouve allongée sur son lit, les mains sur le visage. Je m'approche d'elle et m'asseoie sur son lit.

Khalys - Je... je veux que tu sorte de cette chambre.
- Khalys...
Khalys - Riyhad, sort.
- Il faut que je te demande quelques choses.
Khalys - Non, je veux rien, je veux plus rien avec toi.
- Allons ensemble voir une psychologue et peut être que ton problème s'arrangera.
Khalys - Non, personne peut m'aider, personne. PERSONNE NE PEUT RESSENTIR CE QUE JE RESSENS EN CE MOMENT.
- Si, moi je le ressens.
Khalys - Non, tu le ressens pas.
- Crois moi Khalys. Qu'est ce que je peux faire pour t'aider?
Khalys - Rien, je veux pas d'aide. Je veux juste qu'on me laisse tranquille, qu'on m'oublie pendant quelques semaines ou même quelques mois.
- Je peux pas t'oublier comme sa Khalys... je veux t'aider, vraiment. Je veux être la pour toi, je veux t'aider à t'en sortir mais si tu refuse mon aide, jamais t'avancera.

Je me lève du lit en la regardant. Elle cogitait. J'ouvre la porte lorsqu'une main se posa sur mon dos.

Khalys - Prend rendez vous sil te plait...

Je lui souris puis sort de la chambre. C'est son premier contact avec moi sans que je ne la force. C'est déjà un bon début.