The wolf fly [En Pause]

Chapitre 32 : Algardia

J'ai chaud....
Vraiment trop chaud.....

J'ouvre les yeux, mais les referment directement.

Lorélay : Tu t'es enfin vu dans un miroir ? C'est pour ça que tu as fermé les yeux ? C'était trop moche du coup sa t'as aveuglé ?!

Moi : Paaaas dès le maaaatiiin ! De plus c'est ta connerie qui m'a aveuglé !

Lorélay : Mais bien sur....

Je papillonne des yeux jusqu'à qu'ils se soient habituer à la lumière. Je regarde le magnifique ciel bleu, dépourvu de nuage, avec un soleil éclatant.

C'est une belle journée pour reprendre notre marche !

Je tente de me relever, mais quelque chose encercle ma taille.
Je baisse ma tête, et vois des bras musclé.

Je me tourne pour voir mon assaillant et je rougis directement.

Maxime est juste la et il me fixe a moitié endormi .
Il sert encore plus ses bras autour de ma taille et dit :

Maxime : Reste comme sa..... Encore un peux....

Il pose sa tête dans mon cou et inspire mon odeur.

Je sens son souffle dans mon cou, ce qui me procure des milliers de fourmillements à cette endroit.

Il retire un de ses bras qui encerclait ma taille et prend mon menton entre sa mains.
Il se rapproche encore plus de moi et m'embrasse tendrement.

Anièl : Hé ! Les amoureux faudrait penser à se détacher et se levé.

Je me tourne vers mon IMBÉCILE de frère et le fusille du regard.

Lorélay : Il préfère le couteau ou la hache ? Ha non ! Je vais prendre des ciseaux à bourreaux ! Pour une mort douloureuse et atroce.....

Moi : J'aurais été d'accord si c'était pas mon frère....

Je me lève en faisant abstraction du grognement qu'émet Maxime.

Je regarde le paysage et franchement.... C'est juste magnifique!!!!

Nous sommes sur une étendue d'herbe, parsemé de fleurs !

Lorélay : on dirait une recette de cuisine !!!

Moi :......

Lorélay : C'est pas de ma faute si j'ai faim !

Moi :......

Donc je disais, il y a des fleurs à perte de vue !

Anièl : tu vois toute ça ?

Dit-il en montrent le paysage.

Moi : Bah oui !

Il me lance un grand sourire avant de dire :

Anièl : Et bien on va devoir le traversé!

Je le regarde choqué.

Moi : Dis moi que c'est un cauchemar !!!

Anièl : Et non ma belle !

Dit-il en accompagné d'une petite frappe sur le dos.

J'ai envie de me taper la tête contre un mur.... Mais malheureusement pour moi et heureusement pour ma tête, il n'y a pas de mur !