The wolf fly [En Pause]

Chapitre 33 : dragon

Je me fais réveiller par le son merveilleux de la voix cristalline de Lorélay....
Enfin "merveilleux ".... Je parle de son point de vue....

Si seulement un jour cette louve pouvait comprendre que le matin c'est sacré....

Lorélay : LA LA LA STROUMPF LA LA, LA LA LA LA LA !

Moi : Qu'est j'ai fais pour endurer ça?!

Lorélay : LIBÉRÉE !!! DÉLIVRÉE JE NE MENTIRAIS PLUS JAMAIS !!!!!

MOI : J'ai compris, j'ai compris... Je me lève du lit....

Je sors avec grand regret de mon havre de paix et me dirige vers la cuisine...

Hier : arrivé à Alguardia :

Après avoir contempler ce si jolie panneau, nous avons décidé de chercher un endroit ou se loger quelque temps...
On a chercher pendant 1 h !

Et au final, vous savez quoi ?

IL Y AVAIT UN HOTEL JUSTE DERRIÈRE LA PANCARTE ALGUARDIA!!!

Comment dire que ça m'a légèrement....énervé....

Nous avons chacun une chambre,  relié par un salon, relié à la cuisine, qui lui même, est relié à la salle de bain et aux toilettes !

Alors c'est petit, mais je crois que je me suis perdu a l'intérieur au moin une quinzaine de fois, en une soirée !

Bref ! Je suis fatigué....

Je me dirige vers ma chambre temporaire et ouvre la porte.

Et la, je vois Anièl en caleçon !

Moi : Oups, je me suis trompée de porte!

Malgré le faite que ce soit mon frère.....  c'est gênant !

Je trouve enfin la bonne chambre et m'éffondre dans le lit.

Fin.

Une fois dans la cuisine, je vois que tout le monde est déjà levé.

Je prends du pain et le tartine de beurre.

Anièl : T'es en hibernation ou quoi ?

Je lève les yeux aux ciels et dis avec sérieux :

Moi : M'énerve pas dès le matin en plus :

1) ma couette a essayer de me séquestrer.

2) Ma louve m'a réveillé avec sa voix de crécelle.

3)  Ne m'embête pas si tu tiens a la vie...  

Mon frère lève les mains au ciel et dit avec un sourire espiègle :

Anièl : Alors.... J'ai pas envie de mourir aujourd'hui.... Et surtout entre les mains d'une perverse, qui matte son frère a moitié a poil !

Je le regarde en plissant des yeux.

Lorélay : Tu sais ma proposition d'hier tien toujours....

Moi : C'étais quoi déjà ?

Lorélay : Le tuer avec des ciseaux a bourreaux.....

Moi :....... J'hésite..... Si je le tue, qui me préparera les meilleurs crêpes au monde ?

Lorélay : Ha pas faux !