Quand je me promène

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Quand je me promène dans la rue, assez tôt

J'entends tant de bruits étranges, sur mon chemin

Sans aucun point commun avec le chant d'oiseaux

Les sons mort-nés, si éloignés du monde humain !


Les  bruits tués et enterrés à la va vite

Sans aucune cérémonie religieuse

Ils sont alliés à une force maudite

De nature souterraine, disgracieuse !


Un couteau de boucher a un attrait certain

Quand on veut avancer dans ce monde vicié

Parmi les créatures guidées par l'instinct

Comme de cafards au comportement grossier


La mort nous prend par surprise, un jour d'été

Naturellement, comme respire le nageur

Quoi qu'il se passe, il n'y a rien à regretter

C'est un bon timing de la force majeure !

La force majeureWhere stories live. Discover now