Quelqu'un frotte, une tombe abandonnée
Même le rossignol, s'est mis à chanter faux
Perturbé, par cette gêne occasionnée
Dans l'absolut, le trouble aura notre peau !
Quand la brosse frotte, la pierre tombale
Je cherche un endroit, où le tact existe
Ce bruit fort de frottement, est un scandale
C'est vraiment déplacé , en plus, il insiste !
Dans ce lieu, la mémoire est abrasive
Un regret est censé, d'éponger la faute
Toute culpabilité est curative
Le grillon stridule et le mouton saute
Le métro circule, nos âmes sont grises
L'ennui mortelle, aura bien raison de nous
C'est d'un banal, dans notre temps de crise
Notre âmes sont grises et l'avenir est flou !
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La force majeure
PoetryQuelques réflexions sur la mort dans toute sa signification. Qu'est-ce que mourir?