Ardet non consumitur

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Divinités, démons et héros antiques

Aiment bien habiter, le coeur de l'homme

Ne vivent que par nos poèmes épiques

Pendant ce temps-là, tout va très mal à Rome !


Avant de quitter le train fantôme et dément 

N'oublions nos bagages d'apparence 

La mort douce peut bien frapper à tout moment 

Avec une voix enjouée et élégance 


Un grand oiseau de feu, habite mon éther 

Et mes pensées vives, sont ses plumes en flammes 

C'est le feu de sang et de fureur de guerre

Ses ailes sont lourds, quelque chose se trame !  


Le vacarme des vivants idiots, étouffe 

Le silence sidéral  des morts gênés 

Pendant que l'oiseau de feu, manque de souffle 

On abreuve nos esprits avec du sang souillé  


La force majeureWhere stories live. Discover now