Nos compagnons d'armes, mordent à l'hameçon
Ils ne font pas attention à ce qu'ils gobent !
Nos tragiques limites, nous les haïssons
Nous avons perdu, nos chers amis à l'aube !
La vie suit son cours, grâce à l'imprudence
Tu comprends bien pourquoi, nous ne sourions jamais
Les meilleurs d'entre nous, ont l'inconstance
Nous n'avons plus de jus, dans nos âmes fanées !
Maintenant, tu me vois pour la dernière fois
Prend tout ton temps, pour bien me regarder
C'est la nuit, il commence à faire froid
Les lumières nous émettent, des sons lézardés
Dans ma douce tranquillité, insouciante
Je commence à hiberner, dans ce monde
Et j'ai une seule envie inconsciente
De prendre ta main et rentrer dans la ronde

YOU ARE READING
La force majeure
PoetryQuelques réflexions sur la mort dans toute sa signification. Qu'est-ce que mourir?