Point de vue d'Hermione
On était arrivé devant un immense chalet. Je le détaillais, puis je me rendis compte que c'était le même chalet que celui dans lequel j'allais avec mes parents quand j'étais petite. Je restais la bouche ouverte. Drago posa sa main dans mon dos, puis me pousser vers l'entrée, à la suite de Leo. On entrait les uns après les autres. Leo nous laissa choisir nos chambres. On se mit d'accord pour ne choisir nos chambres que lorsqu'on les aurait toutes vu. Instinctivement, je regarder tout autour de moi. Je me baladais au rez de chaussé, plus je me baladais plus les souvenirs me remontait.
Je me voyais encore faire des cookies avec ma grand mère dans cette cuisine, ou encore assise sur les genoux de mon grand-père pendant qu'il me lisait une histoire. Mais une question restait dans mon esprit : comment il connaissait ce chalet, le chalet de mon enfance ? Je m'approchais de Leo qui était dans la véranda à regarder le paysage. Je posa ma main sur son épaule et le professeur se tourna vers moi, un peu surpris.
- Quelque choses ne va pas ? me demanda t-il.
- Comment est-ce que tu connais cet endroit ? repliquai-je de but en blanc.
- Il est de ma famille depuis des générations. Pourquoi ?
- Pardon ? C'est pas possible !
- Ben si pourquoi ?
- Non, ce n'est pas possible, parce qu'il est dans ma famille depuis des générations.
Le brun me regardait ébahi. Il me prit la main avant de m'entraîner dans la pièce que je savais être l'ancienne chambre de mes grands parents. Je n'y étais jamais entrée. Sans attendre une seconde, il tourna la poignée. Il poussa la porte, sans doute à la recherche de réponses. On entra tous les deux et resta bloqué tout les deux, en voyant la photo au dessus du lit de mes grand-parents. Cette photo représentait ma mère haute comme trois pommes, dans les bras d'un petit garçons qui semblait avec trois ou quatre ans de plus. Ils souriaient tout les deux à pleines dents. Je regardais Leo et lui dit :
- Tu vois, là c'est ma mère. Donc si tu ne me crois pas tant pis pour toi.
- Oui, peut-être, mais à côté c'est mon père.
Je croisais leur regard de Leo avant de me rendre compte d'une chose : on était de la même famille, ce n'était pas possible autrement. Je m'approchai lentement du tableau pour lire le commentaire qu'avait ecrit ma grand-mère en dessous : mon fils et ma fille, juillet 1970. Je le lu à haute voix. Je me tournai vers le potioniste qui me regardait bouche bée. Il reprit vite ses esprits, il me fait un grand sourire avant de me dire :
- Bon ben, si j'ai bien compris, on est cousin.
Il écarta les bras, pour me prendre dans ses bras. Même si la situation était bizarre, j'acceptai volontiers son câlin. On ne s'étreignit que quelques secondes, mais malgré tout, ça me rassurait, sans que je sache pourquoi.
On allait se séparer lorsqu'un cri aiguë résonna derrière la porte. On se sépara rapidement avant de se tourner vers la porte. Venus avait crié. Elle avait tout entendu. Les autres ne tardèrent pas à rappliquer, baguette à la main, près à en découdre.
- Qu'est-ce qu'il se passe ? cria Harry, essoufflé d'avoir couru dans les escaliers.
Jade regardai Venus qui agitait les mains en poussant des petits cris, sans réussir a s'en empecher. Jade semblait surprise, elle prit une grande inspiration, essayant de ne pas rire :
- Elle fait une crise de fangirlage.
- Une crise de fangirlage ? demanda Drago.
- Ca m'en a tout l'air. continua la descendante de Salazar.
Tout le monde se mit à rire en voyant la professeur faire une crise comme une adolescente. Une fois calmer, Ron demanda à Venus quoi elle avait fait une crise. Elle lâcha l'information sans s'en rendre compte.
- Leo et Hermione sont cousins !
Tout le monde se tourna vers Leo et moi. Je sentis le rouge me monter au joue. Jade me sauta dessus, me prenant dans ses bras. Elle me claqua un bisou sonore sur la joue avant de crier :
- C'est trop bien ! On est cousine maintenant !
J'entendis Leo déglutir bruiament avant d'avoir une quainte de tout parce qu'il s'était étouffé avec sa salive. Je riais avant de la serrer à mon tour dans mes bras, pendant que Drago tapait dans le dos de Leo en riant.
Le soir venu, après avoir choisi nos chambres, on se retrouva tous dans le salon. On discutait tranquillement quand Venus me demanda :
- Mais si tu as de la famille française, tu parles français ?
- Bien sur, je le parle et le comprend, mais ce n'est pas parfait. répondis-je en français.
Le sourire de la brune s'aggrandit en m'entendant parler la langue de molière.
- Cool, comme ça, on pourra se moquer de mon frère en français alors. continua t-elle dans sa langue maternelle.
- Ne comptez pas trop là dessus. intervint Drago en français à son tour.
Venus et moi nous tournons d'un coup vers mon petit ami, aussi surprise l'une que l'autre. Venus et moi échangeons un regard pour savoir qui allait poser la question. Je lui fis comprendre que je lui laissai la place.
- Tu sais parler français ?
- Bien sur, je n'avais jamais compris pourquoi ma mère voulait que j'apprenne cette langue, mais maintenant, je comprend pourquoi. riait il.
Les autres membres de l'équipe ne comprenant pas le français, nous regardaient bizarrement. Leo leur traduisait rapidement notre conversation, devant nos airs surpris, il nous dit en anglais:
- Ben quoi, moi aussi je sais parler français.
On se mit tous à rire suite à la réponse de mon cousin. On restait tous là, les uns au près des autres, les filles pelotonné dans les bras de leur partenaires. Venus était assise par terre, sur le tapis devant George qui jouait avec les cheveux de la brune. Quand Pansy allait se lever pour chercher une bouteille de vin, Venus lui dit d'attendre. Elle se leva, revint avec dix bières et trois bouteilles de vins rouges.
- Pourquoi tu as ramener dix bières ? On est que huit mecs. intervint George
- C'est pour Hermione et moi. Pourquoi ? Ce n'est pas parce qu'on est des filles qu'on ne peut pas boire de la bière. Si ?
- Je sais, je n'ai jamais dit, ça. C'est juste étonnant. Je n'ai jamais vu Hermione boire, et je ne pensais pas que tu buvais de la bière, c'est tout, je suis juste surpris.
Je riai légèrement en entendant le roux. Je me levai, et allai mettre une claque derrière la tête du roux. Je pris ensuite la bière que Venus me tendit. On trinqua juste tout les deux avant que chacune ne reprennent sa place.
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Léa- Dis Lou ? On t'as déjà fait la remarque ?
Lou- Plus souvent que tu ne crois ! Tu n'imagines même pas le nombre de fois où on me dit : T'es une filles, les filles ça ne boit pas de bière !
Léa- Et tu fais quoi en général ?
Lou- Je ne dis rien, fini ma bière rapidement et vais me chercher une deuxième !
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Last Chance
Fiksi Penggemar"Nous déclarons les enfants des mangemorts, M.Nott, miss Greengrass Daphné et Astoria, M.Zabini, Miss Parkinson, M.Malfoy, innocents. Les témoins en leur faveur ont présenté le fait qu'il devaient suivre les ordres de leur parents. Les témoins M.Wea...