3-1 Dakar ( Oukam )

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J'ai passé toute la nuit a lire les vieux carnets et fouillée dans la bibliothèque de ma mère. Elle avait voulu faire le tour du Sénégal. Je le ferai, je ne sais pas si elle l'a déjà. Je partirai à la découverte du monde comme elle l'aurai voulu. Je réaliserai ses rêves. Avant la fin de la semaine je partirai, j'irai visité toute les région du Sénégal comme elle l'aurai voulu. Vers dix heures j'irai au centre ville.
D'ailleurs il y a le première appel à la prière qui résonne. Je crois vue que je suis déjà réveiller pourquoi ne pas allez à la mosquée ? Je fais mes ablutions avant de sortir de la maison accompagné par ma grand-mère. Arrivée à la mosquée nous prions, sur le chemin du retour je décide de parler de mes projet à ma grand-mère.

Moi : " Mame " tu sais ma mère voulait faire le tour du monde avec moi.

Mame : Elle l'a toujours voulu mais malheureusement... Elle n'est plus là. Elle disait souvent qu'il n'y a rien de plus beau que de rencontrer de nouveaux visages de nouvelles terres et de culture étrangère.

Moi : Enfaite je veux réalisé ce qu'elle à voulu faire.

Ma grand-mère s'arrêter et m'observe longuement.

Mame : Tu es le portrait craché de ta mère. C'est une bonne idée mais Saly n'oublie pas que tu mène une vie que toutes les jeunes femmes veulent avoir. Tu as un travail que tu voulait depuis toute petite, une belle maison, de belles voitures et tu es sur le point de te mariée Saly. Es-tu sur de se que tu veux faire ? Ne pense tu pas que tu le regrettera un jour ou l'autre ?

Moi : S'il y a une chose que tu m'as toujours dis c'est de ne jamais regretter mes actes et de ne jamais laisser mes rêves s'envoler. Que devrai-je faire à ton avis ?

Mame : À mon avis une grande dame fait son apparitions.

Entre temps nous sommes arrivées.

Mame : Allez retourne au lit.

Moi : Vers dix heures j'irai au centre ville.

Mame : D'accord. Si jamais tu décide de partir quand tu ne sais plus ou allez retourne là d'où tu viens. Allez à présent va te couché jusqu'au levé du soleil.

Moi : Oui "ba thi kanam" (à tout à l'heure).

Vers dix heure, après avoir dus au revoir à toute la famille, accompagnée de mon fidèle sac-à-dos je sors de la maison. Je vais au bord de la route, j'aperçois un bus "TATA" qui arrive. Arrivée à ma hauteur je remarque c'est le 67 il va à Oukam. Je monte dedans t'en mieux comme ça j'irai rendre visite quelques amis. Par chance à cette heure ci il n'y a pas beaucoup de personne. J'achète mon ticket et m'installe au bord de la fenêtre. Le plupart des passagers sont des femmes. Un seau ou une bassine en main et parfois même un enfant sur le d'os, ses braves dames sont pour la majeure partie des commerçantes. De vrai battante, elles vendent des légumes, du poisson fraîchement péché, des fruits, des huîtres etc toute sorte de chose. D'ailleurs demain je ferai un tour à Kayar et au marché de Rufisque. Aujourd'hui j'irai à Oukam au bord du "TATA" 67, à Sandaga d'où je marcherai jusqu'à la place de l'indépendance, de la place de l'indépendance au marché de Kermel, du marché de Kermel au port de Dakar à fin de gagné l'île de Gorée et y passé la nuit. Tiens ! D'ailleurs je suis déjà à la sorti de Rufisque il y'a un gigantesque embouteillages.

Deux heures plus tard

Je suis enfin arrivée à Oukam, rien n'a changé ici. Les rues sont bondé de monde, les Clarkson se font entendre de partout, il y'a beaucoup de bruit, malgré le fait font remarque la pauvreté de ses habitants à première vu cela n'empêche pas les gens d'être joyeux, généreux et toujours aussi souriants. Quelques endroit font exception bien-sûr tel que les riverain du monument de la renaissance africaine et d'autre recoin dont j'ai entendu Parlé. Arrivé à la cité avion comme on l'Apple à cause de sa proximité avec l'aéroport internationale Léopold Sédard Senghor qui est à présent utilisé que par les militaires.
J'appelle mon amie Kiné qui viens me chercher devant la pharmacie. Je pense pas pouvoir la reconnaître.

Noirceur d'ébène Où les histoires vivent. Découvrez maintenant